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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 02:46

LA GROSSE HONTE LORS DE MON PREMIER BIZUTAGE

Ma première grosse honte a été vécu lors d'un camp de vacances. J'avais alors 13 ans et je n'osais pas prendre de douche en présence des autres garcons ne voulant pas leur dévoiler mon anatomie.

 Un soir les plus grands ont décidé de bizuter les plus jeunes et bien sur le bizutage est tombé sur moi.

Je dormais profondément enfermé dans mon duvet lorsque je me suis senti "porté en l'air" sans comprendre se qui m'arrivait.
Pour ne pas être reconnu  et de peur d'être dénoncés par la suite , je me suis retrouvé allongé dans la salle des douches avec un bonnet enfoncé jusqu'au coup et pour qu'il tienne en place l'un des "bizuteurs" a fait plusieurs tours de scotch autour des yeux.
Je ne pouvait voir ce qui se passait et  j'étais mort de peur et de honte. Je voulais crier mais là également les grands avaient bien préparer leur affaire et je me suis retrouvé avec un morceau de tissu dans la bouche le tout bien maintenu par le sctoch qui me tiraillait les cheveux et maintenait en place le baillon qui m'empéchait de parler. Enfermé dans mon duvet avec seulement la tête qui dépassait et qui était déjà 'hors d'état de nuire", je ne pouvais que subir.

Lorsqu'ils ont décidé de me faire une véritable "mise a l'air" , j'ai entendu les rires des garcons mais aussi des filles. J'avais envie de pleurer et de crier mais je ne pouvais pas. J'ai soudain senti mon tee shirt passer au dessus de mes épaules et dans les secondes qui ont suivi , mon slip a lui aussi été enlevé sans ménagement. Lorsque je l'ai senti glisser à mes chevilles, j'ai réalisé que cette soirée allait être terrible pour moi car je ne pouvais m'opposer à cette mise à nu.

Je me suis retrouve nu étendu sur le carrelage des douches, les bras et les jambes maintenus écartés par plusieurs mains solides. Une main vigoureuse tirait en l'air mon sexe pour je ne savais encore quelle raison.

 J'essayais de me débattre mais l'un d'eux s'est trés vite assis sur mon torse afin de me bloquer solidement au sol. Pour mieux m'immobiliser, l'un de mes bourreaux m'avait maintenant attaché les mains derrière le dos à l'aide du rouleau de scotch.

Je sentis soudain une main se refermer sur ma verge et commencer à me masturber devant tout le monde. "On va le faire bander comme un fou" s'écriat la voie féminine qui me secouait la verge dans tous les sens. Cela faisait mal, mais bizarrement je ne pouvais stopper le début d'un timide érection.


J'entendais une voix qui annoncait le supplice à venir: "Il faut lui faire la bite au cirage"
 

Les rires fusaient, les reflexions sur la petite taille de mon sexe et les commentaires allaient bon train. Je devais être rouge de honte, mais cela ne pouvait se voir.

"Le cirage, le cirage réclamaient les filles".

L'une des filles qui riait de plus en plus fort prés de mon oreille avait décidé de me carresser le sexe afin de faciliter le passage  du cirage. N'ayant plus de force pour me débattre, je ne bougeais presque plus et je comprenais que c'est justement cela qu'attendait mes bourreaux pour pouvoir agir plus facilement. J' étais en nage à force de gesticuler et de me contortionner pour essayer de cacher en vain ma nudité.

Je sentis soudain le contact d'une brosse sur mon sexe , ce qui créait un effet assez bizarre de honte et de plaisir à  la fois. Quelques rires de filles amusés par la scéne me donnait envie de mourrir et j'entendais des voix connues qui commentaient mon début d'érection. Le cirage devait faire son effet car la brosse avait de plus en plus de mal à passer sur mon sexe et entre mes jambes et je sentais le cirage coller aux polis de mon ventre et sur mes cuisses.

"La fessée, la fessée, demandaient maintenant des voies ennemies".

Tout d'un coup je fus retourné sur le ventre et je senti presque aussitot les premier claquements sur mes fesses nues. Un "grand" ou une fille devait me fesser avec la paume de  car le contact était souple et le bruit était trés sec. Je sentais peu à peu mes fesses me bruler sous les claques.

Heureusement cette punition s'arréta aprés une vingtaine de claques qui avaient du "rougir" mes fesses car malgré le baillon j'essayais de crier  tant et plus.Je pense que c'est cela qui m'a sauvé d'une trés longue fessée et la peur que mes cris étouffés soient entendus a fait cesser cette terrible humiliation.

Le bizutage allait prendre fin aprés que mes fesses aussi eurent été également passées aussi au cirage. Le devant ne leur suffisait pas, il leur fallait aussi "colorier" le côté face pour rendre complète cette humiliation.

Je sentais la brosse passer et repasser sur mes fesses et même dans la raie des fesses. L'un des bizuteurs écarta avec ses mains mes fesses pour mieux pouvoir passer la brosse et le cirage. Les filles étaient  "mortes de rires" de voir mon intimitée ainsi dévoilée et barbouillée.

J'entendais des reflexions et des commentaires plus humiliants les uns que les autres.
Avant de me libérer l'un des garcons a ordonner que l'on me passe le bout du gland au cirage. Je me suis donc retrouvé immédiatement retourné à nouveau avec sur mon visage les fesses d'un des plus lourd de la bande.J'avais du mal a respirer,c'était terrible à vivre.

Je sentais à nouveau la brosse passer sur le bout de mon sexe et je ne pouvais retenir une trés faible  érection qui me faisait honte devant tous ces témoins. Puis ce fut la fin de mon supplice. Je fus maintenu les jambes serrées le temps pour mes bourreaux de me remettre dans mon duvet pour faciliter leur fuite.

Pour pouvoir s'enfuir en toute impunité et ne pas être reconnus, l'un d'eux avait fait plusieurs tours de rouleau adhésif autour de mon duvet,mes bras avaient été eux aussi scotché dans mon dos, heureusement pas suffisament fort pour les ligoter définitivement.
J'entendais des rires s'éloigner en courrant, mais je ne pouvais les identifier.

Quelques minutes plus tard j'arrivais à me redresser en m'appuyant sur l'un des murs de la salle de douches et je pu  libérer mes bras à force de gesticulations. J'enlevais immédiatement mon baillon et le bonnet qui m'empéchait de voir le résultat de ce bizutage.

Une fois devant le miroir des lavabos je voyais devant moi un corps couvert de cirage , mon sexe mais aussi mes cuisses et mes fesses étaient enduites de cirage noir. Le cirage collait  à mes poils et lorque je mis ma main sur ma peau je compris tout de suite que faire partir le cirage serait trés difficile car il avait eu le temps de sécher.
Le seul moyen de le faire partir était de passer sous la douche et de me savonner jusqu'à ce que toute trace de cirage soit partie.

Je ne sais pas combien de temps j'ai passé dans la salle de bain pour fair partir ce foutu cirage, mais cela m'a parru une éternité.J'avais les mais pleines de cirage et le savon ne nettoyais pas trés bien. Cette nouvelle épreuve m' a parru durer des heures. Le gras du cirage était extrèment difficile à nettoyer completement et il en restait encore sur ma peau aprés plusieurs nettoyages au savon.

Pendant ce temps j'imaginais les conversations des témoins de ce bizutage. J'ai fini par regagner le dortoir et en me recouchant j'ai entendus les chuchotements et les gloussements des autres pensionnaires qui essayaient de deviner ce qui m'était arrivé.

Je n'arrivais pas à m'endormir car j'imaginais la honte qui allait être la mienne le lendemain au petit déjeuner lorsqu'il faudrait affronter le regard des filles et des garcons qui m'avaient vu nu et couvert de cirage.
Qui m'avait bizuté ? qui m'avait fessé ? Qui avait vu mon intimité et aussi mon infirmité ?

Le pire c'était de ne pas savoir qui avait participé et qui m'avait  vu dans cette position honteuse.
Le lendemain je n'osais pas me lever et rejoindre les autres pensionnaires. Il a fallu que le pion me force à me lever et à me rendre au réfectoire. J'aurais voulu m'enfuir de cet enfer que je devais à nouveau endurer.
Je crois que cette journée fut pire que le bizutage en lui même car je sentais bien les rires et les commentaires dans mon dos. Personnes ne me parlait directement et c'était un cauchemar éveillé que je vivais.
Les jours qui suivirent furent pour moi un véritable calvaire car je n'osais pas aller voir le directeur ou le suveillant général pour raconter mon malheur. J'étais bel et bien pris au propre piège de ma timidité maladive.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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