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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:12
Visite médicale :
 

Mes parents ne m’ayant jamais expliqué les raisons de mon anomalie anatomique, je ne savais absolument pas pourquoi un seul testicule était descendu dans mes bourses.

 

Lorsque j’appuyais sur le coté droit de mon ventre, je ressentais une légère douleur qui en fait été due à la présence de ce testicule non descendu.

 

Lors d’une visite médicale pour les trois jours, le médecin m’osculta attentivement et fut très surpris de constater que le testicule non descendu n’avait pas été enlevé. Après m’avoir palpé sous toutes les coutures en présence des autres appelés, il me demanda de prendre rendez vous avec un urologue.
Je fus reçu quelques jours plus tard par une trés grande jeune femme en blouse blanche qui me posa des questions sur mon anatomie. Elle me fit déshabiller dans la salle et je me retournais pour ne pas me montrer face à elle.

Elle enfila des gants, me fit mettre en face d'elle, debout les bras le long du corp et commenca à me palper le sexe et à presser mon testicule pour tester ma réaction.


Elle le soupesait, le faisait rouler sous ses doigts, le mesurait.
Puis elle prit un metre ruban pour prendre les mesures de mon pénis.


Aprés l'avoir mesué ren longueur, elle mis son mètre ruban autour de mon prépuce pour en mesurer le diamètre. J'étais rouge de honte.

 Elle me demanda ensuite de m’allonger sur la table de consultation et de poser mes pieds dans les étriers prévus à cet effet. Je devais donc écarter au maximum les jambes pour faciliter son examen.

Cette position ne pouvait rien cacher de mon anatomie.
 
Equipée de ses gants en caoutchouc elle m’enduisait maintenant l’anus d’une pommade qui me fit me contracter un peu plus. Elle me dit de me détendre enfonça une canule à lavement et appuya fortement pour libérer le liquide dans mon ventre.

Elle me demanda de rester en place quelques minutes sans bouger le temps que la potion agisse.

Il fallait avant tout nettoyer mon rectum pour un véritable examen.

Lorsque je senti le liquide commencer à couler le long de mes cuisses j’essayais de me retenir mais elle appuya sur mon ventre pour libérer le liquide. Le vase métallique placé en dessous permis de recueillir le liquide noirâtre. Une fois purgé, elle me fit une rapide toilette avec des lingettes parfumées. J’étais honteux de cette posture et d’avoir du déféquer devant quelqu’un.

 
Elle me dit de me détendre et de ne pas contracter mes sphincters. Facile à dire !!!

Elle enfonça alors deux doigts enduits de pommade dans mon rectum. Je sentais ses doigts palper les parois de mon rectum et cela était très désagréable. J’avais mal et je me sentais dilaté par ses doigts. 


Je voyais son visage à quelques centimètres de mon pénis tout recroquevillé. Cela ne semblait pas la déranger. Elle avait l’habitude. Pour moi c’était un véritable supplice de devoir être ainsi exposé.


 Son diagnostic fut sans complaisance. Il fallait rapidement m’opérer pour faire l’ablation de ce testicule non descendu.
 
Je me retrouvais donc le mois suivant en clinique pour y être opéré.

A peine installé la veille dans la chambre que je partageais avec un autre malade, la porte s’ouvrit et un médecin accompagné de trois étudiants  et deux jeunes infirmières se mirent devant mon lit. Je me pensais à l’abri sous les draps, mais le médecin pris le drap de dessus et le replia pour pouvoir m’examiner en présence des élèves.Seule une petite serviette de toilette posée sur mon ventre me protégeait en partie.


Il prit ma verge avec sa mains gauche et pinca la base pour en voir la réaction. Le fait d'être nu exposé aisni qux regards des autres m'enlevait toute idée d'érection. Cependant la pression des doigts du médecin avait pour effet de gonfler légèrement mon pénis, mais sans plus. S'il pensait que j'allais avoir une érection ou qu'il cherchait à la provoquer, il en serait pour ses frais.


Le voisin de chambre me regardait du coin de l’œil et ne semblait rien perdre de la scène. Aucun paravent n’avait été installé entre nos deux lits. J’étais donc parfaitement visible par lui et il ne perdait rien du spectacle offert.

 

N’ayant pas mis de bas de pyjama à la demande de l’infirmière lors de mon inscription, je me retrouvais nu devant cinq personnes qui commentaient à voie haute ma prochaine opération.

J’étais très gêné par cette situation et par cet examen intime qui était réalisé sans aucune pudeur. Le médecin me palpa la verge, retroussa mon précpuce et soupesa mon testicule. Il demanda à chaque élève de faire pareil et d’appuyer sur mon ventre pour bien sentir celui qui restait en haut.

 

Mon voisin assistait à la scène et me voyait dans mon intimité la plus secrète.
 

Ce que je vivais comme une véritable humiliation semblait tout à fait naturel pour les autres personnes. Les commentaires fusaient entre eux et ils s’étonnaient tous de la petite taille de mon pénis. La taille de mon testicule fut aussi l’objet d’une longue discussion.

Le medecin chef demanda aux deux infirmières de me prendre la température. Je fus retourné sur le ventre par les deux jeunes femmes et l'une d'elle commenca à m'enfoncer un thermomètre sans l'anus. J'étais trés humilié par cette position et me contractais afin de ne pas laisser échapper un vent.


Quelques minutes plus tard, l’infirmière en chef entra dans la chambre et le médecin lui dit qu’il faudrait prévoir un rasage pour l’opération. J’étais paralysé par la honte d’être ainsi exposé nu devant tout le monde, mon petit sexe bien en vue.

Quelques heures plus tard, deux jeunes infirmières entraient dans la chambre pour procéder à ma toilette et au rasage demandé. L’une d’elle fit en sorte de tourner le dos à mon voisin pour m’épargner cette nouvelle humiliation.

 

Après m’avoir fait une toilette rapide du bas du corps, l’une d’elle me talqua le sexe, le pubis et le dessous des bourses. C’était la méthode employée dans les cliniques pour raser les patients. Quelques minutes après, je me retrouvais sans aucun poil. Mon sexe ressemblant à celui d’un petit ange.


Les deux jeunes infirmières devaient bien rire en secret car non seulement je n’avais pu m’empêcher de bander lors de mon rasage et elles avaient du faire des prouesses avec le rasoir pour arriver à me raser correctement, mais maintenant j’avais l’air d’un enfant pubère tondu et lisse comme un nouveau né.

Constatant mon état la plus jeune entrepris de me laver avec un gant de toilette mouillé. Je sentais sa main sous son gant passer sur mon sexe et entre mes fesses et je ne pouvait plus bouger, exité par cette toilette intime , mais paralysé par la gène et la honte d'être ainsi "nettoyé" à côté de mon voisin qui devait bien se marrer en douce.

Une fois rasé et lavé, l'autre infirmère me dit que je devais rester au lit et ne plus bouger jusqu'au repas. Je lui demandais cependant de me mettre enfin sous les draps ce qu'elle m'accorda bien évidement.

Par Ptitbite - Publié dans : bizutages
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