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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:21
Ma première relation sexuelle avec Patricia :
 

Je venais d’avoir dix sept ans et j’étais toujours puceau. Incapable de pousser plus avant une relation avec les filles avec qui je « flirtais » lors de nos sorties et des « boums ». Je me contentais le plus souvent de le caresser sans oser aller plus loin de peur d’avoir à me déshabiller devant elles.

 

Patricia fut la première fille avec qui se me sentis en confiance. Elle était très en avance pour son âge et je n’étais pas son « premier petit amis » attitré. Elle pratiquait aussi le naturisme, ce que j’ignorais au départ de notre rencontre.

 

Un été à la plage, après seulement quelques jours de « flirt » nous nous retrouvions dans sa chambre ( ces parents ayant un appartement dans un immeuble de la grande motte ) et je dus surmonter mon angoisse et lorsqu’elle commença à enlever ses vêtements et se mettre torse nue devant moi je fus obligé de faire pareil car elle attendait assise sur le canapé en me faisant fasse afin de ne rien manquer du spectacle de « strip tease » que j’allais lui offrir. Je sentais mes joues chauffer et je devais être rouge comme une pivoine. J’imaginais et redoutais l’instant où j’allais devoir enlever mon slip et lui montrer mon tout petit sexe. Mais je ne pouvais pas reculer et je finis par enlever en hâte tous mes vêtements et laissait tomber mon slip sur mes talons.

Patricia était devant le canapé en cuir, debout devant moi en jeans les seins à l'air qui se trouvaient sous mon nez, et moi nu comme un ver a attendre je ne sais quoi. Voir ses seins à quelques centimètres de moi me fit un effet immédiat, je commencais à voir mon pénis se redresser.


Patricia amusée par cette réaction, prit mon sexe dans sa main droite et commenca à me masturber le sexe d'avant en arrière en compressant ma verge le plus possible.


Ne pouvant pas tenir bien longtemps je ne pu me retenir et je jouis dans un temps record qui devait lui faire comprendre que j'étais un vrai puceau.


"Mais tu as joui dans mes mains gros cochon, je vais devoir te punir" me dit elle.
Tourne toi et met toi à genoux. Je m'exécutais sans oser dire non.

Mon jeans encore sur les genoux , elle passa ses mains à l'intérieur pour le baisser complètement. je me mis maladroitement en position et attendit.


J'étais les fesses offertes et vraiment géné par cette position qui ne cachait rien de mon ventre jambes. Elle me fit basculer en avant  et m'enleva mon jeans.

J'étais à quatre pattes nu, les fesses écartées dans un position ridicule.
"Je vais te traire comme une vache tu as trop de lait dans ton ventre" me dit-elle en éclatant de rire.

Elle saisi mes bourses avec une main et de l'autre commença à me carresser.
Puis elle décida de passer à la véritable "traite". Appuyant une main sur mes fesses pour me forcer à rester en place, elle se mit à me masturber à toute vitesse avec l'autre main.

C'était agréable mais la position impudique que je devais conserver m'empéchait de bander correctement, je ne pouvais détacher mon esprit de la vision qu'elle avait de mes fesses, de mon anus offert et de mes testicules maltraitées.


Je ne pus retenir longtemps mon envie d'éjaculer et  je lui joui une deuxième fois dans les mains.

"A c'est bien, tu commence à te vider" 
Ce n'est rien me dit-elle, nous allons recommencer........
Elle prit à nouveau mon pénis entre ses doigts et le caressa pour me faire à nouveau bander.

Patricia compris très vite que je n’avais jamais pénétré une fille et elle prit les choses en main pour guider mon petit sexe redevenu dur comme du bois vers la toison que je devinais en regardant les yeux baissés.

 

Ce premier contact chaud et humide se traduit immédiatement par un effet à la fois atroce et incontrôlable. Je sentis une poussée irrésistible dans ma verge et je ne pus une fois de plus me retenir. Je jouis dans les secondes qui suivirent avant même d’avoir pu réellement la pénétrer.

 

Patricia eu les mots qu’il fallait pour me réconforter et sa patience força mon admiration lorsqu’elle entreprit de me caresser pour me faire rebander. Elle me fit mettre à genoux devant le canapé, le pantalon baissé pour pouvoir bien dégager mon pénis et les bras relevé au dessus de ma tête. Elle saisi à pleine main mes testicules tout en les massant et les tirant avec ses doigts experts. Elle tirait en l'air mon pénis avec vigueur.


Puis elle me fit de nouveau allonger sur le lit. Elle approcha sa tête de mon sexe et le prit délicatement dans sa bouche. Elle entreprit de me refaire bander une troisième fois en me sucant profondément avec sa bouche. Sa main gauche guidait le mouvement de va et vient.


J’étais aux anges, enfin je pouvais me retrouver nu devant une fille sans avoir envie de fuir. Le reste de l’après midi fut très agréable et je pensais pouvoir maintenant laisser derrière moi mes complexes.

 

Quelques jours plus tard, elle me dit que nous allions aller retrouver des amis et sa famille à la plage pour partager avec eux un pique nique. Je me retrouvais donc avec elle sur la plage de Maguelone qui était réservée aux nudistes. Je me sentais pris au piège, mais je ne pouvais faire marche arrière. Une fois arrivé sur la plage, je fus présenté à tous ses amis et parents qui étais tous nus comme des vers et bronzés comme des antillais. Moi qui étais blanc comme un linge, le contraste était frappant.

 

Je dus enlever tous mes vêtements et je me retrouvais dans le plus simple appareil en présence d’inconnus qui semblaient ne pas faire cas de ma particularité. J’étais gêné par la position des femmes qui me faisaient face et qui avait une vue plongeante sur mon entre jambe exposé à leurs regards. Etant assis en « tailleur » comme les autres pour partager le repas, je ne pouvais serrer les jambes et lui cacher mon intimité.

En face de moi se trouvait la fille de l'un des amis de Patricia. Elle devait avoir  une vingtaine d'année , c'était une superbe brune, ses seins étaient petits mais trés jolis. Ils portaient la marque de bronzage du maillot et cela accentuait le coté érotique. Elle ne semblait absolument pas génée de se trouver en face de moi les jambes écartée, me laissant voir son  sexe qui été parfaitement épilé. Seuls quelques poils sur le pubis montraient qu'il ne s'agissait pas une enfant.


Les mères étaient également assises les jambes écartées et me regardaient avec interêt.
L’une d’elle eut un sourire à peine dissimulé car elle se rendit compte de mon embarras et de sa cause. Elle fixait intensément mon pénis recroquevillé et semblait s’en amuser à mes dépends.


Son mari assis à coté d’elle avait un sexe qui me paraissait énorme à coté du mien. Plus je pensais à cela et plus mon sexe semblait se rétracter et rentrer dans mon corps. Si cela continuait bientôt on ne pourrait plus le voir.

 

Après avoir mangé, les filles décidèrent de faire une partie de ballon  et je dus me mettre debout avec elles pour former une équipe mixte. Je regardais du coin de l’œil tous ces sexes exposés sans aucune gène et qui ne faisaient qu’accentuer mon complexe et ma différence. J’avais l’impression d’être un nouveau né tout nu devant des adultes, mais surtout géner de m'exposer devant les filles de mon âge.


 La gêne accentuait la rétractation de mon pénis et cela ne pouvait passer inaperçue. Les filles elles jouaient tout naturellement sans se préoccuper de leur nudité.


 

Cette partie de ballon fut pour moi un véritable supplice car à chaque mouvement je sentais mon sexe être l’objet des regards amusés. Les filles devaient se moquer de moi dans leurs têtes car leurs regards semblaient être plus attirés par le spectacle affligeant de mon mini pénis que par le jeu en lui-même. J’étais exposé à la vue de tous grands et petits et chaque fois que je tournais la tête, c’était pour voir un garçon ou un homme avec un sexe bien plus gros que le mien. J’avais du mal à cacher ma honte.

Je retournais m'assoir au bord de l'eau, pour ne plus me montrer, mais devant moi trois filles de la famille des voisins de Patricia me faisaient face. Elles étaient allongées toute les trois sur le sable et se faisaient bronzer entièrement nues et sans aucune gène.


L'une d'elle me proposa de venir m'assoir. J'étais mort de honte de me tenir ainsi tout nu devant les filles dont le visage était à hauteur de mon pénis. Je ne pouvais pas me cacher et je mis à bredouiller.

 En face de moi une autre fille me faisait face, entièrement nue, les jambes croisées de façon trés naturelle.
"Viens avec nous, on va aller se baigner" me dit-elle

"Je dois rentrer à l'appartement , j'ai trés mal à la tête, sans doute le soleil" lui répondis je complètement décontenancé par son aplomb.

Je décidais de partir et j'ordonnais à Patricia de quitter la plage avec moi, car je ne pouvais plus supporter de me montrer à tous comme une bête de foire. Elle fut trés vexée de ce départ précipité et me demanda de la suivre chez elle.

 

Une fois dans sa chambre elle me dit que ma réaction était stupide et qu’il fallait qu’elle me punisse pour l’avoir privée d’une superbe après midi de plage.

Je ne compris pas tout de suite le sens de ce mot punition. Elle me dit que si je voulais continuer à sortir avec elle, je devais lui obéir sans discuter. Elle me dit que j’allais devoir rester ici car elle comptait bien retourner sur la plage avec ses amis et parents.

 

Elle m’enleva mon maillot de bain et mon tee-shirt et je me retrouvais nu devant elle. Elle me dit de reste là et de m’attendre sans bouger. Elle revint avec un gros rouleau de cordes et me demanda de me retourner et de mettre mes mains dans mon dos. De peur de la sanction promise, je préférais lui obéir sans poser de questions. Nous étions seuls, abrités des regards indiscrets et apparemment je ne risquais pas grand-chose à lui obéir.

Elle se mit à me ligoter les poignets et les bras.La corde passait derrière mes coudes et je ne pouvais absolument plus faire le moindre mouvement.


 J’étais sans défense et je ne pouvais plus me protéger. Elle me poussa sur le lit et je tombais à plat ventre. Patricia me replia les jambes en arrière, les genoux écartés au maximum pour être bien en appui sur le lit afin que je ne puisse pas me retourner. Elle attacha ensembles mes chevilles avec plusieurs tours de cordes. Une fois mes genoux écartelés solidement bloqués et mes chevilles attachées entre elles, elle les tira vers mes bras et refit passer à nouveau les cordes entre mes poignets et mes chevilles afin que je ne puisse plus bouger et faire un mouvement.

C’était cela ma punition j’allais devoir rester là attaché et nu, à plat ventre dans l’appartement de ses parents et attendre que Patricia veuille bien venir me délivrer. La peur de l’entendre dire qu’elle ne voulait plus sortir avec moi me fit accepter cette punition sans un mot de réprobation.

 

Patricia me dit de ne plus bouger. Elle revint quelques secondes après et me banda les yeux pour une raison que je ne comprenais pas. Mais loin de moi l’idée de discuter. J’acceptais la sentence sans broncher.

J’entendis la porte claquer et je ne pus éviter un frisson de peur compte tenu de ma situation.

Il m’était impossible de me retourner, je devrais donc rester dans cette position inconfortable pour un temps que je ne pouvais évaluer, en espérant que personne d’autre ne vienne dans l’appartement avant que Patricia ne revienne.

 

Plaqué contre le lit, je commençais à transpirer sur le dessus de lit, quelques minutes plus tard, j’étais en nage et je commençais à glisser sur la soie du dessus de lit. Pour ne pas avoir de crampes j’étais obligé de remuer régulièrement pour éviter un engourdissement de mes muscles. Ces manœuvres me faisaient peu à peu glisser vers le bas du lit et je dus arrêter de bouger pour ne pas risquer de tomber.

Le temps passait et toujours pas de Patricia en vue. Il devait être environ Quatre heures et mon calvaire devrait donc durer jusqu’au moment ou elle déciderait de revenir me délivrer.

 

Après plusieurs heures d’attente, je fus obligé de gesticuler pour éviter une crampe dans mes mollets. Ces gesticulations furent fatales et je glissait soudain en arrière et me retrouvais par terre sur le carrelage de la chambre, sur le dos, trempé de sueur et sans voir ou j’étais réellement. Je devinais que la porte de la chambre n’était pas bien loin. Peut être qu’en me faisant glisser jusqu’à la cuisine je pourrais attraper quelque chose pour me délivrer.

 

Décidé à ne pas subir la douleur des crampes que je sentais venir petit à petit, j’essayais d'avancer sur le carrelage en poussant sur mes bras et mes mains. La transpiration me faisait glisser sur le carrelage et je pus au prix de multiples efforts me retrouver au milieu de la porte de la chambre qui était restée ouverte.

 

Au moment où je décidais de continuer ma glissade vers la cuisine et me retrouvais au beau milieu de l'appartement, j’entendis le bruit d’une clef dans la serrure et tout de suite la porte d’entrée de l’appartement claqua. Les yeux bandés ; je ne pouvais voir qui venait de rentrer dans l’appartement. Aucune parole, aucun bruit me permettant d’identifier le visiteur. J’entendais pourtant marcher à pas feutrés et mon angoisse devenait de plus en plus grande car j’imaginais être regardé par la grande sœur ou pire par les parents de Patricia. Je ne parvenais pas à identifier cette respiration, mais une odeur de parfum me fit penser à une présence féminine.

 

Pétrifié de peur et de honte ainsi exposé, les jambes écartées et mon sexe offert à la vue de tous, les bras attachés dans le dos me rendant complètement vulnérable dans cette position humiliante. Je décidais de ne plus bouger et d’attendre que l’on me libère.

 

Je sentis cette présence se rapprocher de moi et je compris qu’elle venait de s’agenouiller sur moi pour m'imobiliser, car je sentais un corps s'appuyer de tout son poids sur mes épaules et sur ma tête. Que faisait-elle ?

 

Soudain j’entendis le bruit caractéristique d’un aérosol et presque instantanément une brulure sur tout mon sexe. Un liquide coulait sur ma peau, c’était sans aucun doute du parfum en vaporisateur car je sentais son odeur. Mon bourreau continuait de m’asperger le sexe et j’étais en feu. La brulure était intense et même mon anus me chauffait et me brulait. L’alcool du parfum me donnait l’impression d’avoir trempé mon sexe dans du vinaigre.
Elle s'était maintenant assise à califourchon sur ma tête pour m'immobiliser et m'empécher de gesticuler. Je ne ne pouvait presque plus bouger.


Je ne pus retenir un cri de douleur. Un éclat de rire me fit reconnaître la voix d’Annick, la grande sœur. J’étais pétrifié de honte de savoir qu’elle abusait de moi et se régalait du spectacle que je lui offrais. En moi-même je me disais que sa présence n’était pas due au hasard et que Patricia devait y être pour quelque chose.

 

J’entendis un deuxième rire qui était celui de Patricia. Elle avait assisté à toute la scène et à cette seconde punition en se délectant de la situation.

 
Je sentis son corps remonter sur mon visage et pour augmenter mon humiliation Annick enleva sa culotte et posa carrément ses fesses sur mon visage. L'odeur de son intimité emplissait mes narines. Le nez collé entre ses fesses, je ne pouvais pratiquement plus respirer. Elle me maintenait la tête avec ses mains comme pour mieux guider mon visage vers ses fesses. J'étais humilié par cette position qui devait être ridicule.


 

Toujours allongé sur le carrelage, je sentis une main chaude passer sous mes fesses et commencer à jouer avec mon anus. Mes sphincters se contractèrent immédiatement en signe de réprobation. Loin de capituler un doigt inquisiteur força le passage et je me trouvais dans la situation de subir cette pénétration que je ne pouvais empêcher malgré mes contractions. C’était bien le doigt d’Annick qui s’introduisait ainsi au fond de mon anus.


Pour accentuer mon humiliation, elle tournait son doigt et je sentais son ongle gratter la paroi intérieure de mon colon. J’étais pétrifié de honte, mais le comble c’était que je sentais mon pénis se redresser sous l’effet à la fois de la brulure du parfum, mais surtout maintenant du fait de ce doigt qui fouillait au plus profond de moi.

Pour accentuer mon humiliation, elle tournait son doigt et je sentais son ongle gratter la paroi intérieure de mon colon. J’étais pétrifié de honte, mais le comble c’était que je sentais mon pénis se redresser sous l’effet à la fois de la brulure du parfum, mais surtout maintenant du fait de ce doigt qui fouillait au plus profond de moi.

 

Annick riait de plus belle, encouragée par Patricia qui lui dit de « me finir » selon ses propres termes. Elle me saisi immédiatement la verge à deux mains et commença à me branler à toute vitesse pour me faire jouir. Au bout de quelques secondes, je devais capituler et je sentis mon sperme couler dans ses mains.

 

Pour aller au bout de mon humiliation, elle mis ses deux mains sur ma bouche et s’essuya sur mes lèvres en me forçant à lécher ce liquide qui souillait ses paumes de mains.

Quelques instants plus tard, je compris qu’elle venait de partir car je fus retourné sur le ventre par des mains que je reconnaissais et le claquement sec d'une paire de ciseaux me délivra de mes liens.

 

Patricia me dit qu’elle me pardonnait de mon attitude et que je devais considérer cette expérience comme un simple jeu érotique, sans plus. Pour elle, ce n’était qu’amusements, découvertes et réalisations de ses propres fantasmes. Elle m’accompagna sous la douche et entrepris de me laver elle-même comme on le ferait avec un enfant.

 

Cette fin de journée agréable me fit en partie oublier l’humiliation subie en présence de la sœur de Patricia. Elle me promis de ne plus recommencer.

 
 
Par Ptitbit - Publié dans : bizutages
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Commentaires

moi aussi c'est ma femme qui préfère que je reste toujours tout nu elle adore me montrer tout nu à tout le monde comme j'ai aucun poil nul part rien du tout ça dérange personne de me voir tout nu le dimanche en été elle m'emmène tout nu au marché faire les courses ou elle m'envoit tout nu à pied au village à la boulangerie chercher du pain elle aime bien me traire le pis par derrière pour me faire dégorger je dois rester tout nu à genoux à quattre pattes penché en avant la tête posée sur le sol le cul en l'air cuisses écartées et elle me tire la bite toute raide en arrière entre les cuisses et elle commence la traite ma belle mère lui a dit ça a l'air très facile à traire le pis d'un garçon alors ma femme lui dit oui c'est comme le pis d'une chêvre c'est fait pareil et ça a la même forme alors ça se trait de la même façon moi je gemis je couine et je crie de toutes mes forces à chaque giclée alors ma tante lui dit ça fait plaisir de l'entendre crier aussi fort comme ça au moins ça veut dire que ça lui fait du bien et qu'il adore ça moi au début je me rend pas compte que tout le monde me regarde me faire traire le pis parceque je gemis et je couine très très fort mais c'est après quand je commence à reprendre mes esprits que je me rend compte que tout le monde m'a regardé me faire traire le pis alors je suis géné ma belle mère me dit de ne pas être géné que ce sont des éjaculations spontanées ça se contrôle pas on peut rien y faire il faut laisser le petit jus gicler tout seul par petites giclées saccadées que c'est très mignon à regarder elle me dit ça sert à rien que tu essaies de retenir ton petit jus tu n'y arrivera pas il faut le laisser gicler tout seul les amies à ma femme qui viennent regarder comment se passe la traite lui disent on voit très bien son petit trou du cul qui s'ouvre en grand tout seul à chaque giclée c'est mignon à regarder quand je me fais traire le pis ma tante me prend la tête entre ses mains et elle me dit regarde moi bien dans les yeux elle me parle et me pose des questions pour me faire parler pendant la traite mais c'est pas facile de parler en même temps que je gémis et que je crie et c'est très humilant de regarder quelqu'un dans les yeux et de jouir en même temps la bouche grand ouverte en poussant des cris et en couinant c'est très humiliant mais elle insiste elle me dit regarde moi bien dans les yeux quand on va se promener sur le chemin en fôret si je marche la bite toute raide dressée en l'air d'un seul coup y'a le petit jus qui se met à gicler tout seul ça part d'un seul coup sans prévenir alors ma femme et ma belle mère sont obligés de me soutenir en attendant que ça s'arrête de gicler et que je reprenne mes esprits parceque j'ai du mal à tenir debout sur mes jambes quand ça gicle et quand je crie très fort alors elles sont obligées de me soutenir et elles attendent que je reprenne mes esprits après j'ai la honte quand je réalise que tout le monde a regardé mon petit jus gicler tout seul et m'a écouté gémir couiner et crier de toutes mes forces

commentaire n° :1 posté par : Bruno le: 29/08/2012 à 00h28
commentaire n° :2 posté par : Emile Karl le: 16/11/2014 à 20h41

ma femme dit que ce soit un pis de vache, un pis de chèvre ou un pis de garçon, tous les pis sont fait pour se faire traire matin et soir que c'est la nature qui veut ça c'est pour ça qu'elle s'occupe de me traire le pis par derrière tous les jours matin et soir elle dit à ses amies et à ma famille il faut le faire dégorger tous les jours et le dimanche c'est la grande purge complète je dois le traire complètement jusqu'a ce qu'il n'y ait plus rien du tout qui gicle il ne faut jamais arrêter la traite même si le petit jus est en train de gicler

commentaire n° :3 posté par : Bruno le: 22/07/2015 à 00h12

Il a bien cracher son lait le petit cochon !!

commentaire n° :4 posté par : Bizut 88 le: 19/04/2022 à 16h47

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