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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:42
 HUMILIATIONS AVEC L'EQUIPE DE FOOT

Une année, alors que j’avais presque seize ans, les joueurs de l’équipe de foot m’avaient surnommé « timide » car je ne prenais jamais de douche avec eux après les matchs, prétextant à chaque fois une bonne raison. Cela intriguait et j’avais de plus en plus de mal à trouver de bonne raisons. Une fois, après un match joué dans le village voisin, notre entraineur imposa à tous de prendre la douche avant de quitter les vestiaires. Je ne pouvais plus me dérober et je fus contraint de me déshabiller moi aussi et d’aller à la douche avec les autres en essayant de me faire voir le moins possible.

 

Ne prenant jamais de douche avec les autres, je n’avais bien sur ni savon ni serviette. Je n’avais pas réalisé sur le moment le calvaire que cela allait me procurer. Ne pouvant comme certains m’enrouler dans une serviette, je dus me rendre aux douches intégralement nu sans protection visuelle et montrer à tous les joueurs qui étaient devant moi mon petit sexe tout rétracté par le stress et la honte qui devait se voir sur mon visage. Les premières « vannes » et les premiers rires fusèrent. Les plus moqueurs me demandaient si j’arrivais à me voir pisser, d’autres se moquaient de moi et disaient qu’ils en parleraient aux filles de la classe.

 
Je ne pouvais rien faire et rien répondre, et devait accepter d’être humilié ainsi par tous.

Sous la douche j’essayais tant bien que mal de me mettre de dos et de me faire oublier, mais même si j’avais pu récupérer un savon pour me laver, je comprenais qu’il y allait y avoir un problème une fois sorti de la douche pour me sécher.

 

Une fois sorti de la douche l’un des plus grands me prit même le sexe à pleine main et tira dessus en essayant de me faire tourner autour de lui. J’étais ridicule ainsi tout nu au milieu du vestiaire tournant autour de mon bourreau qui ne lâchait pas prise, essayant de me cacher t me protéger avec mes mains. Mais étant mouillé je glissais sur le carrelage et je ne pouvais que suivre le mouvement.

 

Sous les rires des autres joueurs je fini par glisser sur le sol et c’est à ce moment là que les autres en profitèrent pour me plaquer au sol. Je me retrouvé plaqué au sol les bras écartés par des mains vigoureuses et les jambes maintenus écartées par le reste de la bande. J’essayais de crier mais l’un d’eux me mit sa serviette sur la figure pour étouffer mes cris.

 

Pendant ce temps j’entendais les quolibets et les moqueries. Ils étaient plusieurs à observer mon anatomie et tous avaient également remarqué que j'avais un pénis trés petit. Je sentais que l’on tirait sur mon sexe et même sur la peau de mes bourses. L’un d’eux essaya même de faire rentrer mes testicules dans le bas ventre en les enfonçant avec ses doigts. Ils riaient en disant que je n’avais plus que la bite entre les jambes. Mon surnom allait désormais être « micro-pénis ». J’étais pétrifié de honte. Mon supplice prit fin avec l’arrivée de l’entraineur dans les vestiaires. Il ne comprit pas bien ce que je faisais assis par terre, tout nu et essayant de reprendre mes affaires pour me rhabiller. Ce fut pour moi un vrai cauchemar qui dura jusqu’à la fin de la saison.

 

Lors d’une défaite à Juvignac , les joueurs m’accusaient d’avoir mal joué et pour se venger de ma piètre prestation, une « mise à poil » fut décidée par une majorité de joueurs.

En quelques secondes je me retrouvais plaqué au sol et mes vêtements furent enlevés les uns après les autres. Aprés mon maillot, puis mon short, ce fut au tour de mon slip. L'un des joueur de l'aquipe tirait dessus pour le faire descendre sur mes chevilles. Les bras maintenus par les autres garçons, je ne pouvais empêcher cette "mise à l'air".


 Une fois nu comme un ver, les joueurs firent un mur devant moi et me poussèrent dehors à l’extérieur des vestiaires. Je ne savais pas comment et ou me cacher, et j’ignorais comment allait se terminer ce nouveau supplice. J’étais une fois encore dans une position ou tout le monde pouvait me voir dans une position ridicule. Je tapais à la porte du vestiaire mais elle était maintenu fermée par les garçons qui riaient et se moquaient de moi en criant tous en cœur, « il est à poil dehors, il a une petite bite ». Cette épisode me reste encore aujourd’hui gravé dans ma tête car je dus affronter les regards des joueurs de l’autre équipe qui sortaient des vestiaires en riant de me voir à poil dans la cour du stade avec les deux mains devant mon sexe pour essayer de cacher ma petite verge. Au bout d’un temps qui me paru être une éternité, la porte des vestiaires s’ouvrit enfin et je pus, sous les rires et les vexations, me rhabiller et rejoindre le minibus qui attendait pour le retour à Montpellier. Le voyage en cars fut aussi très pénible car je dus supporter pendant le trajet les moqueries des plus vindicatifs à mon encontre.

 

Je savais bien que lors des derniers matchs à disputer j’allais certainement avoir encore à supporter les moqueries et les brimades.

 

Le match suivant, une étrange impression me fit penser que quelque chose se préparait à mon encontre. A voir certains chuchoter dans mon dos, j’étais sur que j’allais à nouveau être la cible des plus forts.

A la fin du match, je compris soudain que mes craintes étaient exactes. Toujours les mêmes à me faire subir les pires humiliations. Je fus plaqué au sol par les plus forts qui me tenaient fermement après m’avoir à nouveau plaqué une serviette sur le visage et sur la bouche.

Ne pouvant me libérer car l’un deux était allongé sur mon ventre, je finis par capituler et cessait de gigoter dans tous les sens.

Une fois mon slip enlevé, mes jambes furent écartés par des mains fermes et je sentis une drôle de sensation sur mon sexe. Je finis par comprendre ce qui m’arrivait. Ils étaient en train de m’enduire le sexe et l’entre jambe de mousse à raser. J’entendais le bruit de la bombe qui se vidait sur moi, pendant qu’une main inconnue étalait la mousse sur mon pubis, mon sexe, mes testicules et mon anus. J’avais envie de vomir tant était grande cette nouvelle humiliation devant toute l’équipe.

 

« Le rasoir » cria l’un deux. Je venais de comprendre que j’allais être « tondu » pour le plus grand plaisir de mes bourreaux. Je sentis le rasoir passer sur mon pubis et enlever au fur et à mesure les poils qui cachaient un peu ma petite verge.


Puis ce fut le moment le pire. L’une d’eux me tira le sexe vers le haut afin de pouvoir passer le rasoir sur mes bourses et sur la peau ainsi que de chaque coté de mon anus. Ils riaient et faisaient des réflexions sur la taille de ma verge qui finit par se tendre sous la pression de la main qui la tirait vers le haut.

J’étais entrain de perdre les quelques poils qui me faisaient un piètre rempart à ma nudité.

Le plus humiliant et le rasage de mes testicules. Bien en vue de tous et qui petit à petit perdent eux aussi leurs quelques poils. Je vais ressembler à un bébé.


Le rasoir fait son oeuvre et je vais bientôt me retrouvrer sans aucun poil sur le pubis.
Les rires vont fuser.

Une fois le rasage de mon sexe fini l'un  des joueurs tira mon sexe vers le haut en prenant dans ses mains la peau de mes testicles. Il tendait la peau pour bien montrer à tous le rasage parfait qui avait enlevé tous les poils.

Lorsque le rasoir passa sur mon anus et entre mes fesses, je ne pus contenir des larmes et c’est certainement ce qui m’a évité que le supplice continue car m’entendant sangloter, les garçons décidèrent de me laisser aller me rincer et me nettoyer dans les douches. Je filais sous la douche sans demander mon reste et je fus obligé de me laver devant les regards moqueurs.
 

Je voyais maintenant le résultat. Je me retrouvais sans aucun poil sur le pubis, rasé sur tout le sexe, même entre les fesses. Mon sexe ressemblait à un cou de poulet plumé, je sentais une légère brule sur mes bourses et mon anus due à la fraicheur de la bombe de mousse mentholée qui me chauffait et me brulait. J’étais ridicule et mon sexe ainsi exposé paraissait encore plus petit. Je pus voir dans la glace ce spectacle de désolation qui allait mettre plusieurs mois à repousser.

 
Par bonheur la fin de saison approchait et je jurais de ne plus retourner dans ce club de foot à la prochaine rentrée.
 
Par Eric - Publié dans : bizutages
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