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Dimanche 25 février 7 25 /02 /Fév 12:16

Elisabeth était la plus dévergondée du dortoir des terminales. Nous nous doutions qu’elle entretenait avec Florence une relation homosexuelle. A plusieurs reprises Elisabeth avait été surprise entrain de prendre Florence par la main.

 

Dans les douches de l’internat, elles étaient systématiquement à coté et il était évident que leurs échanges de regards trahissaient leur plaisir à se regarder réciproquement. Plusieurs fois, Elisabeth avait proposé à Florence de lui laver le dos, mais notre présence avait fait reculer cette dernière.

 

Un mercredi après midi, alors que toutes les autres terminales décidaient de sortir en ville, Elisabeth et Florence décidèrent de rester dans la chambrée. Persuadés qu’elles allaient en profiter pour avoir des relations sexuelles, nous avons décidé de les surprendre.

 

Afin de ne pas éveiller leurs soupçons, nous annonçons que nous allons toutes au cinéma pour voir le dernier James Bond. Elles tombent dans notre stratagème et nous regardent partir avec satisfaction. Elles savent qu’elles vont disposer de plus de deux heures pour être seules dans le dortoir.

 

Un bon quart d’heure après que nous soyons sortis de la chambrée. Elisabeth décide de passer à l’action. Elle commence à déshabiller Florence et l’allonge sur son lit pour la caresser. Bien plus avancée dans sa sexualité, elle sort de son placard une petite boite en carton et en extirpe un vibromasseur chromé du plus bel effet. Florence encore vierge le regarde avec étonnement.

 

Florence a un corps d’enfant pour son âge. De tout petits seins et un ventre encore imberbe. C’est certainement ce qui a plu à Elisabeth. Profiter de ce corps d’adolescente doit lui procurer une forte excitation.

 

En position assise sur le lit Florence voit le vibromasseur s’avancer vers son sexe encore vierge. Elisabeth appui avec douceur le métal contre le clitoris de Florence et met en marche le vibromasseur ce qui provoque une réaction immédiate chez Florence.

 

Elisabeth a maintenant décidé de lui introduire le vibro dans la chatte. Elle lui fait replier les jambes en arrière afin de faciliter son introduction. Cuisses écartées, dos appuyé contre le mur de la chambre, Florence ferme les yeux et se laisse faire sans dire un mot.


Après plusieurs essais infructueux causés par sa virginité, Elisabeth fait allonger Florence sur le lit. Elle lui écarte au maximum les cuisses et recommence son va et vient afin de forcer le passage. Elle commence à déflorer se sexe qui est encore vierge à 17 ans.


 

Depuis le début de leur jeu, nous suivons leurs ébats par le vasistas du couloir. Il est situé en hauteur et chaque fille montée sur une chaise peut suivre en restant sur la pointe des pieds la scène. Les deux filles n’imaginent absolument pas que depuis le début elles sont sous les regards de toutes internes de la chambrée.

Au moment ou Elisabeth pense réussir à dépuceller Florence, nous entrons toutes en même temps dans la chambre. Honteuse d’être surprise dans leurs ébats, Florence s’enroule dans la couverture du lit pour cacher sa nudité, elle se met à pleurer en cachant son visage.

Elisabeth décontenancée, reste là devant nous sans pouvoir bouger, en petite culotte, les seins à l’air.

 

«  Salope tu n’a pas honte de profiter d’une plus jeune pour assouvir ta perversion » lui dit la délégué de classe.

Florence continue de pleurer en se rhabillant.

« Il faut la punir cette salope, lui faire payer son viol » cria Brigitte

Joignant le geste à la parole elle sauta sur Elisabeth et la plaqua par terre. Les autres filles en firent de même et en quelques secondes Elisabeth se retrouva immobilisée. Geneviève prit son foulard pour attacher les mains d’Elisabeth dans son dos, afin quelle ne puisse plus se défendre.

 

« On va la foutre à poil sur la pelouse du collège, cette salope » proposa Dominique.

«  Il faut aller chercher des cordes au gymnase » compléta Caroline.

 

Deux filles partirent chercher des cordes et pendant ce temps, les autres filles transportèrent pendant ce temps Elisabeth à l’extérieur. Heureusement pour nous, il n’y avait personne aujourd’hui sur la pelouse du collège et l’on pu choisir le meilleur emplacement pour faire subir à Elisabeth son châtiment bien mérité.

 

Elle fut allongée sans ménagement sur la pelouse les bras et les jambes écartées au maximum.

Geneviève qui ne manquait pas d’initiative était allé récupérer une dizaine de pieux en bois qui servaient à tenir les plantes le long du mur.

 

Après avoir planté dans la pelouse les pieux pour pouvoir y attacher Elisabeth, Geneviève donna l’ordre de passer les cordes autour des poignets, des chevilles et des genoux d’Elisabeth afin de pouvoir la maintenir plaquée au sol, et dans la position la plus écartée possible.

Une fois les cordes en place elle ne pouvait cacher son sexe épilé. Sa posture était humiliante et obscène. Elle gesticulait dans tous les sens pour se détacher, mais lui était impossible de se relever et de serrer les jambes pour nous cacher sa nudité.

 

Geneviève la plus remontée avait disposé un pieu entre les fesses d'Elisabeth.Elle prit en main le martinet qui servait au gardien pour les chiens et commenca à lui labourer le cul. 

Aprés un bonne vingtaine de coups sur les fesses étaient de plus en plus rouges, les filles  décidèrent d'attacher Elisabeth de manière qu'elle ne puisse en aucun cas se détacher.

On lui lia donc les chevilles aux poignets pour bloquer toute tentative de mouvement et le haut de ses cuisses fut attaché à un pieu bien enfoncé dans le sol.
Une autre corde fut passé autour de ses seins et de son dos, pour la bloquer sur le côté.
Le piège était parfait et elle ne pouvait absolument plus bouger.


Une fois le ligotage terminée, on annonça à Elisabeth qu’elle resterait là , attachée à poil, le cul à l'air, jusqu’au soir. Ce serait sa punition. Son humiliation serait terrible dans le cas ou des élèves passeraient par le jardin du collège. Mais elle l'avait bien mérité !!!!

Elle eu beau supplier qu'on la détache, aucune fille ne céda.


Nous avons vu bien tard dans la soirée, le jardinier qui passant dans le jardin s'étonna de voir une forme bizzare étendue sur la pelouse du collège et fut donc le premier à profiter du spectacle. Malheureusement pour Elisabeth, au même moment, la classe de première "A" rentrait d'une sortie collective.

Ils eurent le privilège de voir Elisabeth dans la tenue d'eve, se tortillant dans tous les sens pour essayer de cacher sa nudité. Les rires et les moqueries fusaient et ce deavait être terrible pour elle d'entendre les commentaires les plus divers, sur la forme de ses fesses, sur la grosseur de sa poitrine, sur son sexe poilue. Un vrai cauchemard !!!

Par Martine - Publié dans : bizutages
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