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Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 12:03

Je vais vous raconter la scène dont j’ai été le témoin privilégié lorsque j’étais en internat au Lycée à Blois.

 

Nicole, était une vraie peste, et toutes les filles la soupçonnaient de voler dans les placards, car régulièrement des affaires disparaissaient le samedi matin avant de renter dans nos familles. Mais à ce jour nous n’avions aucune preuve et il fallait trouver un moyen de la coincer.

 

Laure eu l’idée de laisser dans son placard ouvert deux billets de 50 francs dont elle noterait les numéros. Il fallait simplement à la sortie de l’école les lui faire sortir pour vérifier si c’était elle la voleuse.

 

Le samedi suivant Laure plaça les billets dans son placard, et bien évidement à midi, les billets avaient disparu.

Laure avait demandé à Bernadette qui était ceinture noire de Judo (et considérée par nous toutes comme la plus forte des filles du Lycée) de suivre Nicole jusqu’à la station de Bus pour voir si elle sortait un billet de 50 francs.

Une fois derrière elle à la montée dans le bus, elle vit Nicole payer avec un billet de 50 francs.

Pour être en mesure d’apporter la preuve de son vol, elle demanda au chauffeur de lui échanger le billet contre cinq pièces de 10 francs.

Elle alla s’asseoir à côté de Nicole et lui dit qu’elle devrait descendre avec elle au prochain arrêt. Tout en lui serrant le poignet fortement, elle lui intimant l’ordre de ne pas protester.

 

A la sortie de la ville, le bus stoppa pour faire descendre les premières filles, et Bernadette força Nicole à la suivre. Laure, Evelyne, Julie et moi étions descendues aussi pour assister à la punition qui attendait Nicole.

 

Une fois rendue derrière le mur qui délimitait la grande propriété agricole du « Cherny » Bernadette sortie le billet de 50 frs et dit devant nous quatre qu’elle allait devoir payer pour tous ses vols.

 

Sans attendre sa réponse elle força Nicole à se déshabiller. Dans un premier temps elle lui releva sa jupe pour nous faire voir sa culotte blanche.


Nicole commençait à avoir réellement peur, mais elle n’osait pas prononcer le moindre mot.

 

Ordre lui fut donné d’enlever tous ses vêtements et de se mettre totalement nue.


 Bernadette avait récupérée une baguette en bois qui servait de tuteur à des plantes.

Laure prit la parole et annonça à Nicole qu’elle allait recevoir cinquante coups de baguette sur les fesses pour la punir de tous ses vols.

 

Bernadette lui intima l’ordre de se mettre à genoux et de nous tourner le dos afin que l’on puisse se délecter du spectacle et voir son petit cul blanc rougir sous les coups.


 

Bernadette commença à compter à haute voix et à chaque fois on entendait le sifflement de la baguette qui venait frapper les fesses de Nicole.

 

Son cul devenait de plus en plus rouge au fur et à mesures que la baguette faisait son œuvre.

Nicole n’osait pas crier de peur qu’on là découvre dans cette tenue et dans cette position.

 

Nous comptions les coups en même temps que Bernadette.


Une fois arrivé à cinquante, l’une des filles dit :

«  Qu’elle se relève que l’on voit son gros cul de voleuse »

Bernadette tenait Nicole par l’épaule afin de parer à toute tentative de fuite.

Une fois debout devant nous, nue, les fesses aussi rouges qu’une tomate mure, Aline ramassa les vêtements de Nicole et lui dit.

«  Les voleuses, ça n’a pas besoin de vêtement. Tu n’aura qu’à voler les feuilles des arbres pour couvrir ton gros cul »

 

Julie qui n’avait pas bougé jusqu’à présent, sortie sa trousse de son sac et en sortit son gros feutre noir indélébile.

Elle s’approcha de Nicole, se mit à genoux devant ses fesses en lui ordonnant de ne pas bouger.

Julie enleva le bouchon du gros feutre et commença à écrire sur chaque fesse de Nicole.

Sa tête nous cachait le texte et c’est seulement lorsque Julie se releva pour ranger son feutre, que nous pûmes voir ce qu’elle avait écrit.

 
Sur chaque fesse était écrit en majuscule : Voleuse.

Nicole se mit à pleurer, mais n’osait pas bouger. Ses joues étaient aussi rouges que ses fesses et quand elle nous vit repartir toute les cinq avec ses vêtements, elle comprit qu’elle allait devoir rentrer chez elle à poil. Elle se mit accroupi et réalisa soudain que l’encre noire allait prendre des semaines voir des mois à partir. Toutes les élèves allaient voir ses fesses dans les vestiaires et dans les douches. Sa punition ne s’arrêtait donc pas aujourd’hui.

 

Il était treize heures, nous étions à la sortie de la ville et elle allait devoir faire plus de trois kilomètres à pied à travers champs pour espérer rentrer chez elle sans qu’on la découvre ainsi :

Nue, le cul tuméfié par les coups et le texte terrible écrit sur son derrière qui allait prendre des semaines avant de s’effacer.

 

En attendant le bus suivant, nous regardions Nicole s’éloigner en essayant tant bien que mal de courir dans le champ avec une main sur ses seins et l’autre devant son sexe. Cette attitude nous fit rire car elle allait se ralentir énormément en courant de la sorte.

 
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Commentaires

tres belle histoire , y a t-il des perssones qui l on vu comme ca ?
commentaire n° :1 posté par : titepuce718 le: 11/05/2008 à 23h09

Ensuite mise en foyers de migrants pour rembourser 100 fois son forfait à 1 euro la saillie

commentaire n° :2 posté par : Pyton le: 28/10/2022 à 11h26

Réinsertion des délinquantes avant la mise en abattage en foyers de migrants

commentaire n° :3 posté par : Maloria le: 30/03/2024 à 10h56

Arrivée d'une opposante au régime, dix ans de travaux forcés

commentaire n° :4 posté par : Kovic le: 30/03/2024 à 11h01

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