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Dimanche 11 mars 7 11 /03 /Mars 16:57

Je vais vous raconter mon bizutage vécu l’hiver 2002 à Mulhouse ou j’étais pensionnaire.

Les autres filles de l’internant se moquaient tout le temps de moi parce que je dormais avec Victor toujours avec mon ours dans mes bras.

 

J’avais alors dix sept ans et cela leur paraissait tout à fait anormal qu’une terminale tienne dans ses bras un ours en peluche.

 

Un soir où je dormais à poings fermés avec Victor dans mes bras, je fus réveillée par l’arrivée d’une dizaine d’internes filles mais aussi garçons, qui me réveillèrent en me secouant par les cheveux. Une paire de main ferme qui devait être celles d'un garçon me bloqua la tête et le bras gauche replié dans le dos.

 

« Nous avons trouvé une solution pour t’empêcher de tenir ton ours dans tes bras toute la nuit » dit l’une d’elle.

Les filles m’enlevèrent mon pyjama et je me retrouvais en culotte et mon soutien gorge dégrafé. J’essayais tant bien que mal de cacher ma poitrine.

 

Les filles se jetèrent sur moi et me mirent toute nue. Mon soutien gorge fut enlevé par-dessus les bras et je sentis ma culotte descendre le long de mes cuisses et s’en échapper malgré mes jambes serrées au maximum. Je me retrouvais allongée à plat ventre sur le lit maintenue par des bras fermes qui empêchaient toute résistance de ma part.

 

Je sentis soudain mes poignets tirés en arrière et attachés solidement avec une corde qui faisaient plusieurs tours.

L’une des filles me replia les genoux  et me croisa les jambes afin de les écarter pour me bloquer dans cette position et m’empêcher de me retourner. Une fois mes jambes croisées, mes chevilles furent attachées ensembles par de nombreux tours de cordes et repliées au maximum sur mes fesses. Mes coudes furent aussi attachés ensemble pour mieux m'immobiliser.

 

Mes poignets tirés vers le bas furent alors attachés à mes chevilles et j’étais dans l’incapacité de faire le moindre mouvement.

 

« Tu vas rester attachée comme cela toute la nuit Victor pourra dormir en paix » me dit l’une des plus grandes.

 

J’avais beau essayer de me retourner, il m’était impossible de faire le moindre geste.

Les filles me laissèrent dans cette position humiliante pendant une bonne demi-heure.

 

J’étais rouge de colère et de honte d’être obliger de rester ainsi les fesses exposées à la vue de toutes les filles. Les jambes écartées qui montraient mon sexe offert aux regards amusés et curieux des filles.

 

Au bout d’un temps qui me paru une éternité, les filles me mirent sur le côté, presque sur le dos. Mes seins étaient offerts à la vue des filles et des garçons qui se rincaient l'oeil avec plaisir.

Tu vas dormir comme ça, ce sera plus confortable, mais tu ne pourras pas te détacher. Si Victor arrive à dormir grâce à ton silence, nous viendrons te détacher demain avant que le pion arrive dans les chambres. Si tu proteste ou si tu appelle au secours, on te laisse comme ça. Pour être certaine que je ne puisse pas crier, une corde me fut passée dans la bouche en guise de baillon.

Jusqu’à ce que le pion te découvre et tu auras droit à un autre bizutage plus sévère dans quelques temps.

 

J’étais vaincue et j'acceptais donc mon supplice pour la nuit.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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