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Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 12:20

Mon pire souvenir de jeunesse aura été mon année passée à Reims. Etudiante en deuxième année d'infirmière, j'ai du affronté les pires situations crées par les étudiants qui ne penssaient qu'à une seule chose: " je faire de la jeune infirmière".

Mais comme il faut parfois faire des sacrifices pour arriver au but que l'on se fixe dans la vie, j'ai pris mon mal en patiente et j'ai serré les dents.

Le bizutage des "deuxièmes années" et ce que l'on fait de pire dans le domaine du bizutage. Tout y passe: les vexations, les abus sexuels, les situations les plus humiliantes, avec pour seul fil conducteur, se moquer des filles et les mettre dans des situations les plus dégradantes possibles.

Mon bizutage a eu lieu en forêt comme beaucoup d'autres filles avant moi. Je fus emenée, par un aprés midi de plein automone, dans un coin bien isolé afin d'y subir mon épreuve. Une fois rendu sur place, et en présence de tous les élèves infirmiers qui étaient une bonne trentaine et des filles qui étaient au moins autant, je dus me déshabiller entièrement et donner mes vêtements à l'un des "maitres de cérémonie".

Pendant de longues minutes je restais là, nue devant tous ces yeux qui m'inspectaient de la tête au pieds et qui faisaient des commentaires à haute voie sur mon anatomie.

La taille de ma poitrine était au centre du débat, car je dois avouer que de ce côté là, je ne suis pas trés gâtée par la nature.

Mon épreuve devait durer une bonne partie de l'aprés midi compte tenu du fait que d'autres bizutages devaient aussi avoir lieu.

Joël, en tant qu'organisateur s'approcha de moi et me demanda trés gentillement de m'appuyer contre l'arbre qui était derrière moi. Je m'exéctutait. Il me fit mettre les bras au dessus de ma tête et plaqua mes mains contre le tronc de l'arbre.

A l'aide d'un grand rouleau d'adhésif marron, il me lia les poignets en faisant un grand nombre de tours autour de l'arbre.
"Tu vas rester ainsi pendant que l'on s'occupe d'une autre fille me dit-il" et il se retourna pour rejoindre les autres élèves qui commencaient à s'occuper de Floriane qui se trouvait à une cinquantaine de mètres de moi.
Je me retrouvais seule, entièrement nue, attachée à une arbre, et dans l'impossibilité de me détacher ou tout simplement de cacher ma nudité. La position accroupie qui était la mienne ne tarderait pas à être douloureuse.


Au bout d'une bonne vingtaine de minutes, je vis revenir vers moi les garçons. Je leur dit que je ne pouvais plus rester dans cette position car je souffrais énormément et des crampes commencaient à venir.
Joël me fit mettre debout afin de pouvoir m'attacher plus confortablement. Il me passa une main derrière le dos et l'autre au dessus de ma tête. Puis il fit avec le rouleau d'adhésif des tours sur mon corps afin de bien me plaquer contre l'arbre. Bien sur il évitait soigneusement de cacher mes seins et mon sexe. Mes jambes étaient serrées les une contre les autres et je ne pouvais plus bouger




Une fois attachée autour de l'arbre les garçons firent des photos de moi pour le "livre d'or" de l'école. Je fus prise en photo sous toutes les coutures.


Pour éviter de montrer mon visage, pétrifiée par la honte de m'exposer ainsi devant l'objectif, je baissais la tête et mes longs cheveux arrivaient à cacher en partie mon émotion.

Le préposé aux photos s'approcha de moi et fit un gros plan sur mon sexe que j'avais en partie épilé, quelques jours auparavant. Si j'avais su vivre un tel calvaire, j'aurais au moins conservé ma grosse toison, cela aurait en partie caché mon sexe.

Mais rasée au plus prés, mon intimitée était parfaitement visible par tous. Même serrée mes cuisses n'arrivaient pas à dissimuler mes grandes lèvres. J'étais au bord du désespoir car j'avais orriblement envie de faire pipi, mais je n'osait surtout pas en parler, car j'imaginais ce que cela aurait pu provoquer comme réaction de la part de mes bourreaux.


Pendant que je restais à nouveau seule dans la forêt, les élèves retournaient à nouveau auprés de Floriane, qui était une autre "bizut" de la journée.

Floriane avait été attachée les bras en croix à une branche qui servait de "poutre de maintien".
La grande branche été elle même attachée entre deux grands arbres.

Floriane été ficelée avec des cordes d'alpinismes, les bras écartées plaqués contre la branche.  Une  grande corde passait également autour de son coup et lui liait les genoux pour mieux l'immobiliser.

Pour mieux l'humilier, on lui avait mis un baîllon sur la bouche, mais bien pire, l'un des garçons lui avait mis des pinces sur le bout des seins et il passait une corde entre ses cuisses.


Il devait faire trés certainement de l'alpinisme depuis longtemps car il semblait être un expert en "cordages".
Il fit une gros noeud au niveau du sexe de Floriane afin qu'à chaque mouvement il frotte et rentre dans son sexe. Floriane était intégralement épilée et pour elle, s'était encore plus humiliant car elle offrait à tous le spectacle de son sexe rasé qui ne demandait qu'à "avaler" au premier mouvement, le gros noeud de la corde.


Afin qu'il rentre au maximum dans son sexe, la corde avait été passée dans ses fesses et tendue au maximim pour être attachée sur la poutre.
Pour éviter que le noeud la pénètre, Floriane devait se tenir sur la pointe des pieds. Cette position allait trés vite devenir insoutenable, et elle ne pourrait empêcher le noeud de faire ce pourquoi il avait été consu.




J'observais Florine, qui luttait de toute ses forces pour se maintenir sur la pointe des pieds. Elle avait une volonté de fer et j'admirais son courage.
Moi de mon côté, je ne pourrais bien longtemps me retenir et si le bizutage durait encore un moment j'allais devoir me soulager la vessie devant tout le monde.

Mais heureusement pour moi et pour Floriane, notre supplice prît fin et l'on nous détacha toutes deux, car il fallait maintenant rentrer pour assister au dernier bizutage de la journée.
Sans demander notre reste, Floriane et moi nous nous étions rhabillée et sous le quolibets et les plaisanteries grossières des garçons, nous sommes rentrés au campus.

Une fois arrivés dans l'une des salles de repos, deux élèves infirmiers décidèrent de s'occuper de  Linda, notre superbe élève "Russe" qui devait elle aussi subir son bizutage.
Un traitement de faveur lui était réservée.

Les deux garçons allaient jouer au "docteur" avec Linda devant nous tous. Nous étions tous assis sur les chaises de la salle et faisions face aux trois "interprètes du "scénario" que les garçons avaient préparés.

Linda était assise sur une chaise et les deux "médecins" lui annoncaient qu'ils allaient devoir l'examiner pour un contrôle approfondi.


Linda du retirer son chemisier et son soutien gorge. Une fois les seins à l'air, les deux "faux médecins" lui palpairent les seins sous toutes les coutures.


L'un d'eux jouait avec un mamelon et tirait dessus comme pour en faire sortir quelque chose. Pendant ce temps l'autre palpait son sein droit, le soupesait et faisait semblant de chercher une grosseur anormale.


Une fois ce premier exament terminé, l'un deux lui demanda de s'allonger sur la table.
Linda du se pencher sur la table et pendant ce temps l'un des garçons lui enleva sa jupe et fit descendre le slip rouge de Linda sur ses genoux.
"Il va falloir te prendre la température" dit l'un d'eux.
Pendant ce temps le "photographe" prenait "cliqués sur cliqués".

Aprés avoir passé ses gants de consultation, il commenca à enfoncer le thermomètre dans l'anus de Linda qui ne pu retenir un petit cri de douleur. L'autre comparse lui prenait le rythme cardiaque.


Une fois cette humiliation publique terminée, on lui annonça qu'elle allait être examinée de façon plus intime.

Les deux doigts gantés de l'infirmiers commencèrent à pénéter dans le vagin de Linda, pendant que l'autre garçons lui maintenait le fesses écartées.
Linda n'osait pas se relever, mais toute le monde voyait bien qu'elle avait du mal à s'exposer ainsi devant tout le monde. Même si dans cette profession on est habitué à la nudité, c'était dur pour elle d'exposer ainsi son intimité la plus secrète aux regards des élèves.

Son sexe rasé laissé voir son anus imberbe et ajoutait encore à l'humiliation qu'elle subissait.
Les garçons faisaient en sorte de ne pas se presser pour que tous et toutes, nous puissions nous rincer l'oeil du magnifique cul de Linda. Ce n'était pas tout les jours que l'on pourrait voir un corps aussi parfait, alors il fallait en profiter, et les garçons comptaient bien en profiter le plus longtemps possible.


Cette journée restera longtemps gravée dans ma mémoire. A bien y repenser, je ne peux pas dire que cela ne m'est pas procuré un certain plaisir secret. Même si j'ai eu beaucoup de mal à exposer ainsi mon corps devant les autres, le spectacle des autres filles en train de se faire "bizuteré m'a provoqué une certaine excitation. Au fond de moi, je sais bien que  j'aimerais bien revivre cette journée.
Publié dans : bizutages
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Commentaires

amusant et tres sympa
commentaire n° :1 posté par : XEES le: 02/03/2010 à 19h01

idiot; incroyable;m^mepas grossier. Enfin cela luia permis d'e soulager sa libido

commentaire n° :2 posté par : scuelly le: 10/07/2012 à 13h55

Les trous farcis au tabasco comme moi

commentaire n° :3 posté par : Maryse le: 28/10/2022 à 11h30

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