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Mercredi 21 mars 3 21 /03 /Mars 12:04
Chaque année le premier vendredi du mois d'Octobre est la journée consacrée au tirage au sort des épreuves de bizutage des "deuxième années" de l'ESCAE.

La tradition maison veut que chaque garçon soit bizuté par une fille de quatrième année et chaque fille par un "major".

Je m'appele Bertrand, j'ai dix neuf ans et je suis donc en deuxième année avec la ferme intention de réussir mon examen de passage en troisième année.

Le bizutage est totalement différent à l'ESCAE car contrairement aux autres fac, il ne se fait pas en public. Les bizutages ont lieu chez le bizuteur qui choisi lui même l'épreuve à accomplir. Un rapport écrit et accompagné de photos ou vidéo du bizutage est ensuite transmis aux majors qui doivent voter la réussite ou non de l'épreuve.

Les "recallés" doivent alors subir des épreuves en public et chaque année cela donnne lieu a des remords pour tous ceux qui n'ont pas accepté sur leur épreuve initiale.

Pour ma part, j'ai vu l'an passé les bizutages publics et je compte bien faire tout mon possible pour ne pas avoir à en subir un.

Le tirage au soir du vendredi m'a attirbué Joelle comme bizuteuse. C'est une petite brune trés sportive qui pratique l'athlétisme et qui est deplus pompom girl pour l'équipe de basket de la fac.

Elle se doit d'annoncer publiquement le bizutage qu'elle va me faire subir et les majors doivent le valider ou choisir eux mêmes de le compléter si nécessaire.

Joelle, dont je ne connait absolument rien, sort un papier de sa poche et lit à haute voie l'épreuve que je devrais subir:

"Bertrand devra se rendre chez moi à pied samedi aprés midi. Il sonnera et se rendra imméditament dans ma chambre. Là il devra strictement obéir à mes ordres.
Son bizutage consistera à recevoir une fessée cul nu. Une fois allongé sur le lit et une autre fois sur mes genoux.Il recevra au total cinquante coups sur les fesses.
 La scéne sera filmée à l'aide de mon camescope. Si le nombre n'est pas atteint, le bizutage en public sera appliqué.
Ensuite Bertrand devra subir le supplice du chaud et du froid.
S'il resiste à ces trois épreuves sans se plaindre ni s'arréter en cours de bizutage, le rapport confirmera la réussite de l'épreuve". Annonca t-elle d'un ton solannel.

Je confirmais mon acceptation aux majors et m'en allait en attendant l'épreuve du lendemain.

Je ne savais pas si je pourrais résister, mais je ne voulais pas passer pour un dégonflé.
Le lendemain, je me rendais chez Joelle qui habitait apparament seule dans un bel appartement de plusieurs chambres.

Comme convenu une fois rentré, je la laissais me conduire dans sa chambre, sans prononcer la moindre parole. J'étais trés intimidé cependant de me retrouver seul devant une inconnue qui allait me corriger comme un petit enfant.

Joelle me fit assoir sur une chaise de sa chambre et me dit d'un ton qui ne souffrait pas l'objection:
"Allonge toi à plat ventre sur mon lit, les genoux aux sol et ne bouge plus".

Connaissant l'enjeu, je m'exécutais sans chercher à négocier. Le ton emplyé par Joelle m'avait surpris par sa fermeté.
Elle me poussa en avant pour me mettre en position en me mettant la main au fesse pour me forcer à mettre mes cuisses au bord du lit.


Je sentis deux mains décidées, passer sous mon ventre et s'attaquer à la ceinture de mon jeans.
Joelle savait parfaitement comment s'y prendre pour défaire mon pantalon. Elle dégraphait un à un les boutons et un fois la braguette complètement dégagée, elle tira vers le bas mon jeans et mon calçon à carreaux.
Je me retrouvais le cul à l'air, le pantalon et le calçon sur les genoux, en position pour recevoir la fessée promise.

Joelle tenait dans ses mains une véritable arme de combat. Je ne sais pas ou elle avait pu acheter cet instrument de torture, mais je devinais qu'il devait faire extrémement mal sur les fesses.

Sans plus attendre elle comenca à compter en partant de cinquante. Les coups tombaient régulièrement , avec méthode et précision.  Elle devait certainement jouer au tennis ou au ping pong car ces coups étaient préçis et toujours donnés avec la même force.

Au vingtième coup, je ne pu retenir un cri de douleur. Il en restait encore trente à subir et j'avais déjà  les fesses en feu.
Joelle s'appuya sur moi pour éviter que je ne me redresse et continua à frapper avec précision le bas de mes fesses.
Ca me brulait terriblement et j'avais envie de m'enfuir.

Au vingt-cinquième coup, elle me dit de me mettre debout et de veni s'allonger sur ses genoux.
Joelle avait prit place sur la chaise et me traitant comme un enfant de dix ans, elle m'installa sur ses genoux, les fesses bien exposées pour pouvoir reprendre le compte à rebours.


Sa main gauche était terrible car aucun coup ne ratait sa cible.
Tantot sur le haut , tantot sur le bas de mes fesses. Toutes les zones de mes fesses étaient la cible de sa "raquette". Mes fesses me piquaient comme si des milliers d'abeilles m'avaient piqué le derrière. La douleur était à peine supportable, mais je devais faire front si je ne voulais pas être obligé de subir le bizutage public.

Je voyais devant moi l'objectif du camescope posé un trépied, qui enregistrait  depuis le début et qui montrerait aux majors cette scéne humiliante.


Au bout d'un temps qui me sembla durer des heures, j'entendis: "Zéro".
C'était la fin de ma première épreuve. Je me frottais les fesses pour essayer d'en atténuer la douleur.

Joelle me dit aussitot:
"Tu vas aller t'allonger dans l'autre chambre, car j'ai préparé l'épreuve du chaud et du froid".
"Si tu supporte cette épreuve sans te plaindre une seule fois, tu auras réussi ton bizutage.

Je me relevais et enjambais mon jeans car Joelle me dit que je devais être entièrement nu. Je devais en plus enlever ma chemise.
Je m'exécutais sans chercher à comprendre, et nu comme un nouveau né, je rejoignais la deuxième chambre.

Là , comble de l'horreur, je me retrouvais face à une grande jeune fille qui m'était totalement inconnue. Ce devait être la "co-locataire" de Joelle. Je compris instanément que leur plan était préparé d'avance. Elle avait du assister à mon bizutage sans que je m'en rende compte et maintenant c'était à elle de prendre le relai.

Elle me regarda droit dans les yeux et m'intima l'ordre de m'allonger sur le lit.
"Tu as eu le chaud, maintenant tu vas avoir le froid" me dit-elle d'une voix décidée.
"Si tu fait le moindre mouvement pour t'en aller, tu devra subir le bizutage public".

Je vis arriver Joelle, qui tenait toujours son camescope dans la main et qui filmait en continue pour pouvoir apporter un témoignage incontestable aux majors.

"Tina, tu peux commencer, je vais m'approcher pour filmer de plus prés" dit Joelle.

Je vis donc Tina s'approcher de moi tenant dans ses mains de fines cordelettes. Pour plus de sécurité, elle m'attacha les bras en croix aux pieds du lit et je me retrouvais dans une position ou il m'était impossible de me protéger avec les mains.
Elle prit chaque cheville et fit de même afin d'écarter mes jambes au maximum. Même si les cordes n'étaient pas trop tendues, je ne pouvais pas bouger et j'étais donc complètement sans défense.

Tina alla chercher quelque chose et je la vis revenir tenant un trés grand verre à la main.
Le verre était rempli de glaçons.

"Nous allons te refoirdir le zizi" me dit-elle en pouffant de rire.
Sans plus tarder elle reversa le verre en emprisonnant mon sexe à l'intérieur. De sa main experte, elle secouait légèrement le verre pour que les glaçons se mettent bien autour de ma verge. 
Elle se mit à faire un léger mouvement circulaire avec le verre et cela eu pour effet de provoquer immédiatement une érection de mon pénis. Les glaçons se mettaient en place et ma verge était maintenant complètement entourée de glace. La sensation n'était pour le moment pas désagréable.

Tu vas rester comme cela et compter jusqu'à 300. Si tu te trompe tu seras puni autrement.

Je commencais à compter en me concentrant afin de ne pas me tromper. Pendant ce temps Tina continuait à faire bouger le verre et la sensation de froid devenait de plus en plus intense.
De l'eau glacée coulait sur mes testicules. Je continuais à compter espérant arriver au chiffre final sans me tromper, mais le chiffre de 275 me fut fatal. Je m'embrouillais et n'arrivant plus à me concentrer, je sautais le chiffre 276.

Tina se mit à crier immédiatement: "Tu n'est même pas capable de compter correctement, je vais devoir te punir plus sévèrement".

Elle enleva le verre de glaçons de mon pénis et j'eu quelques instants de repos. je regardais ma verge qui était  toute violacée par le froid.

Tina revenait en tenant à la main un petit panier. Elle se remit à coté de moi et s'employa à me faire rebander en me passant un glaçon sous les testicules.

Mais rien à faire le froid m'empéchaitmaintenant toute érection. Rien n'y faisiat elle avait beau me caresser avec le glaçon, mon pénis restait terriblement rabougri par le froid.
"Je vois que tu n'as plus aucune réaction, j'ai ce qu'il faut pour te réchauffer la bite" me dit-elle d'un ton agressif.

Elle plongea sa main dans le panier et déposa sur le lit huit petites pinces à linge en bois. Elle commenca par me presser la peau des bourses et y mis plusieurs pinces.
Elle entreprit ensuite de me recouvrir la verge avec le reste des autres pinces à linge. En quelques secondes, je fus recouvert par ses petits engins de tortures et je compris trés vite que j'allais souffrir pour de bon.
La pression sur ma peau était intense, et la souffrance à peine supportable.
"Tu vas rester comme cela pendant que nous allons préparer la suite de ton bizutage" me dit-elle.

Elle quittérent la pièce et me je retrouvais seul, nu , attaché les bras en croix et les jambes écartées, la verge et les testicules emprisonnés par les pinces à linge, et ne sachant pas ce qui allait m'arriver par la suite.



Au bout d'un bon quart d'heure, je souffrais le martyre. La chair de mes bourses était à vif et ma verge me brulait attrocement. J'avais eu beau essayer de résister j'avais de plus en plus envie d'abandonner et de choisir l'humiliation publique.

Les deux filles firent à nouveau irruption dans la chambre. Joelle tenant toujours son camescope dans les mains et Tina portant dans ses mains un petit sac et une boite d'allumettes.
Lorsqu'elle sorti du sac une grosse bougie noire, je compris tout de suite ce qu'elle allait faire.
Elle s'approcha de moi et m'enleva une à une avec lenteur les pinces à linges.

"Puisque tu ne sais pas compter, nous allons t'apprendre" dit Tina.
Tu vas compter avec nous les gouttes de cire qui vont couvrir ton corps.
"Tu comprendras ce qu'endurent les filles lors des scéances d'épilations" complète Joelle.

"Nous en étions à 276, il va falloir aller jusqu'à 300" dit Tina.

A chaque goutte qui tombait et qui me brulait la peau je me remis à compter. Tina déplacait la bougie avec précision afin que chaque goutte atteigne son objectif. Elle commenca par ma poitrine, mon ventre et mes cuisses.



Au bout de quelques minutes je commencais à être couvert de cire. Tina commenca alors à me faire couler de la cire sur le pubis et sur la peau de mes testicules. La sensation de brulure était terrible à supporter. Comment les filles pouvaient elles se faire épiler de la sorte ???

Lorsque je fus intégralement recouvert de cire, Tina se mit à genoux sur le lit et se mit à m'épiler le corps en tirant séchement chaque petite plaque de cire.
Je ne pouvais retenir un cri à chaque fois qu'elle m'arrachait des poils.
Puis vint le moment de s'attaquer à mes poils pubiens et à mes bourses.
Elle arracha en même temps mes poils pubiens et les poils de mes testicules. Je hurlais de douleur.
Les filles se mirent à éclater de rire.
"Mais comme il est douillet. Nous on supporte ça régulièrement sans se plaindre"dit Joelle
"Te volia épilé comme nous".

Tina commenca à enlever mes liens. Une fois déttaché, je me frottais le corps pour essayer de faire disparaitre la douleur.

"Vas te rhabiller et rentre chez toi, tu as réussi tes épreuves" annonca Joelle.
"Je garde la cassette pour la montrer aux majors".

Je filais récupérer mes affaire et aprés m'être habillé en vitesse je quittais l'appartement sans plus attendre. Il fallait que j'aille prendre le plus vite possible une douche ou un bain pour appaiser mes souffrances.

Je mis à courrir dans la rue et sutant de joie car je venais de réussir mes épreuves et j'allais échapper au bizutage en public.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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