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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 14:28
 
Le vieillard
 

En chemin, Valéria songeait à la nouvelle épreuve qui l'attendait et qui lui avait été présentée par Rodolphe comme une bonne action. Ils se rendaient chez un vieillard que ses infirmités clouaient sur un fauteuil roulant. Depuis bien longtemps il n'avait approché aucune femme et précisément Rodolphe demandait à Valéria de lui offrir sa jeunesse, sa fraîcheur, sa beauté.

Ce fut une robuste matrone qui leur ouvrit : elle devait être une sorte de gouvernante chargée de prendre soin du vieil homme. Manifestement, elle avait été prévenue de leur visite, car elle les conduisit immédiatement dans la chambre de celui qu'elle appelait monsieur Adrien. Elle les laissa devant le vieillard qui était recroquevillé sur son fauteuil roulant, serrant frileusement autour de lui une couverture. Son visage décharné et livide semblait sans vie. De lui on voyait seulement deux mains osseuses qui étreignaient fébrilement la couverture. Son regard s'anima quand il vit la jeune femme qui accompagnait Rodolphe.

- Monsieur Adrien, permettez-moi de vous présenter Valéria!

- Bonjour, belle enfant, murmura le vieillard.

Il pria Rodolphe de s'asseoir dans un vaste fauteuil de cuir qui se trouvait près de lui et demanda à Valéria de s'approcher.

- Elle est vraiment charmante, dit-il en tournant avec effort la tête vers Rodolphe.

Valéria se sentit détaillée par son regard. Elle portait ce jour-là un petit tailleur gris très chic sur un polo rose pêche. La jupe courte laissait voir ses belles jambes presque jusqu'à mi-cuisse. Ainsi examinée longuement, elle avait le sentiment que le vieillard imaginait déjà son corps nu qu'elle allait devoir lui montrer dans quelques instants.

- J'ai grande envie de voir mieux les jolies jambes que cette petite jupe laisse voir. Voudriez-vous la retirer?

Valéria obéit et laissa tomber à ses pieds la jupe. Le vieillard admira les cuisses dorées qu'il put voir jusqu'au petit slip blanc qui couvrait le ventre de la belle fille. Il lui ordonna ensuite de retirer sa veste, puis son polo et de faire quelques pas dans la pièce.

- un corps magnifique, murmura-t-il.

Valéria se sentait exposée, mais après tout elle n'était pas plus dévêtue que si elle avait été sur une plage : le pire était à venir.

- J'aimerais bien voir ses seins déclara faiblement Monsieur Adrien.

Sur un signe de Rodolphe elle retira son soutien-gorge et toute honteuse cacha ses seins qu'elle venait de découvrir.

- Ah! non s'écria Adrien, ne nous cachez pas ces merveilles. Mettez vos mains derrière votre tête.

Valéria dut lever les bras et laisser voir ses seins fermes et délicieux. Son visage s'empourpra à l'idée de se voir ainsi exposée devant ce vieillard exsangue. Après avoir longuement admiré sa poitrine, il lui donna l'ordre de retirer son dernier vêtement le petit slip de coton blanc. Elle se tourna suppliante vers Rodolphe

- Oh non épargnez-moi cela : j'aurais trop honte!

Sévèrement Rodolphe lui répliqua qu'il n'admettait pas qu'elle refuse d'obéir et qu'il s'en souviendrait. Tremblante et presque pleurant, la jeune fille comprit qu'elle aggraverait son cas en différant davantage d'exécuter cet acte qui l'humiliait tant. Alors courageusement, elle fit glisser le slip jusqu'à ses pieds et s'en dégagea. Elle était désormais totalement nue devant Rodolphe et le vieillard. Elle n'osait pas croiser leurs yeux et regardait au loin. Le vieillard voulut l'humilier davantage et lui demanda de le regarder droit dans les yeux et de lui dire comment elle était et ce qu'elle ressentait. Elle dut prononcer ces mots qui redoublaient sa honte :

- je suis toute nue devant vous et j'ai très honte que vous me voyez ainsi.

Elle fut obligée de rester là immobile sous le regard des deux hommes : on la fit tourner sur elle-même pour qu'elle expose tout son corps, qu'elle offre son ventre, son sexe, ses cuisses, ses fesses et ses seins à leur implacable examen. Elle fut alors priée de s'asseoir sur un petit tabouret qui était placé en face de monsieur Adrien : celui-ci lui demanda de se renverser en arrière jusqu'à ce que ses mains touchent le sol, tandis qu'elle était priée d'écarter largement ses jambes. Elle se sentit alors totalement livrée aux regards du vieillard qui pouvait détailler avec ses jumelles les moindres plis de son sexe. Comme dans un rêve, elle entendit les deux hommes parler de lèvres, de vulve, de vagin et de clitoris. Elle savait qu'Adrien se repaissait de son intimité et que Rodolphe prenait plaisir à la livrer ainsi à la convoitise de ce vieillard lubrique. A l'idée de ce qu'elle leur montrait ainsi, elle sentit une soudaine moiteur s'insinuer entre ses cuisses. Une fois de plus, la vive honte qui l'empourprait se mêlait à un sentiment plus trouble.

On la fit se retourner et adopter un position semblable en appuyant son ventre sur le tabouret. Comme elle dut une fois encore écarter le plus largement ses cuisses, elle sut qu'elle ne pouvait cacher le sillon qui séparait ses fesses et le petit anneau délicat dans lequel, pour mieux marquer sa honte, Rodolphe enfonça un crayon qu'il tendit ensuite à monsieur Adrien.

Après avoir fait durer cette exposition de longues minutes, les deux hommes se regardèrent.

- il me semble, dit alors Adrien, que vous étiez tout à l'heure mécontent de cette jeune personne -

- Effectivement, répondit Rodolphe, je ne l'ai pas oublié. Valéria mérite une punition.

Il commença par ordonner à la jeune fille d'aller se mettre debout, le visage tourné vers le mur comme une écolière punie qui a été mise au piquet.

- Avant de corriger cette désobéissante, nous allons prendre un petit apéritif, proposa Adrien.

Il agita une petite clochette et quelques secondes après la robuste matrone qui les avait introduits pénétra dans la pièce. Bien qu'elle lui tournât le dos, Valéria ne put s'empêcher de rougir en pensant que cette femme sévère la voyait ainsi toute nue dans une position humiliante.

- Que désirez-vous prendre?

- Oh simplement un whisky avec un glaçon, répondit Rodolphe

- Amélie, vous apporterez donc un scotch pour Monsieur, et pour moi un doigt de porto.

- Et pour...mademoiselle ? risqua Amélie.

- Rien, bien entendu, vous voyez bien qu'elle est punie.

Lorsqu'Amélie revint avec un plateau portant deux verres, il fut décidé que Valéria allait être corrigée avec le beau fouet que Rodolphe avait pris le soin d'apporter. La jeune fille ne put s'empêcher de frémir quand elle apprit que c'était Amélie qui allait être chargée de la fouetter. Elle craignait la vigueur de cette femme et aussi l'hostilité qu'elle avait lue dans ses yeux dès qu'elle était entrée. Buvant son porto à toutes petites gorgées, Adrien indiqua l'endroit où il souhaitait qu'eût lieu la punition : il avait en effet un vif désir de voir de près la jeune fille au moment où elle se tordrait sous le fouet. Il demanda même à Rodolphe s'il était possible de lui infliger la moitié de la punition le dos tourné vers eux et l'autre moitié en leur faisant face. Rodolphe remit le fouet à Amélie en lui disant de commencer par administrer cinq coups sur les fesses et les cuisses de Valéria qui dut lever les mains au-dessus de sa tête avec interdiction de les abaisser sous peine de voir sa punition doublée.

De toutes ses forces, Amélie cingla la croupe de la jeune fille qui ne put s'empêcher de pousser un hurlement. On entendit les coups se succéder, accompagnés des cris perçants de Valéria.. Comme Amélie laissait passer quelques instants entre les coups, Valéria avait le temps de se représenter le spectacle qu'elle offrait à monsieur Adrien. Il se délectait certainement d'entendre la lanière claquer sur la peau nue et de voir ce corps délicieux se tordre de douleur. Après les cinq premiers coups, Valéria reçut l'ordre de se retourner et de regarder Monsieur Adrien pendant que le reste de la punition lui serait administré. Amélie reprit position derrière elle et recommença le châtiment. Obligée de regarder monsieur Adrien pour ne pas aggraver son supplice, Valéria put le voir guetter sur son visage et sur son corps les signes de la souffrance. Les larmes coulaient lentement sur son visage. Lorsque la correction fut terminée et qu'Amélie se fut retirée, on la laissa un long moment sangloter debout, nue et frissonnante.

M. Adrien lui demanda ensuite de s'approcher de lui : il commença par examiner la trace des lanières sur ses fesses et ses cuisses, puis délicatement il passa ses mains osseuses sur la peau meurtrie de la jeune fille. Les caresses se firent plus insistantes et on lui ordonna de décrire ce qu'on était en train de lui faire; les plus humiliantes précisions lui furent demandées. Elle s'entendit dire à haute voix :

- vous passez vos mains sur mes fesses, vous caressez mes seins, vous en touchez les pointes qui se dressent à ce contact, vous écartez mes fesses, vous introduisez votre doigt dans mon anus, vous remontez le long de ma cuisse. Vous écartez les lèvres de mon sexe. Vous introduisez votre doigt dans mon vagin; vous massez mon clitoris.

Le contact des doigts, la honte qu'elle ressentait à ces investigations qu'elle devait commenter, tout la plongeait dans un état second où elle ne s'appartenait plus. A sa grande honte, elle se sentit devenir toute humide sous les griffes décharnées de monsieur Adrien. Se remémorant tout ce qu'on venait de lui infliger, en pensant que belle, jeune et nue, elle était ainsi livrée à cet infirme moribond, elle sentit monter en elle une jouissance qu'elle ne pouvait plus retenir. A ses gémissements succédèrent des cris voluptueux. Pour Rodolphe, ce fut un spectacle troublant que de voir cette belle fille nue se tordre de plaisir sous la main noueuse du vieillard.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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