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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:33

    UNE CURIEUSE EXPERIENCE QUI TOURNE AU CAUCHEMARD

J'avais environ quatorze ans et nous étions en vacances à la grande motte. Mes parents ne venant à l'appartement qu'aprés le travail, nous étions tous les deux en fin d'aprés midi dans ma chambre avec Mireille, la trés mignone voisine qui habitait l'appartement situé deux étages en dessous du notre. Nous avions fait connaissance grace à la bande de copains qui jouait au foot le soir sur la plage devant l'immeuble.

Je fus trés surpris lorsqu'aprés avoir embrassé pour la première fois avec la langue, Mireille me demanda de me mettre debout devant elle. Je n'osais pas refuser et le faible éclairage de la pièce me mettait en confiance. La suite allait me donner tort.

Une fois debout devant elle, Mireille me demanda de fermer les yeux et de ne pas les rouvrir tant qu'elle ne m'en aurait pas fait  la demande. Intrigué par sa demande, je m'exécutais. Elle me passa devant les yeux un tissu qu'il me sembla reconnaitre et qui devait être son haut de maillot.

Elle plaqua sur mes yeux le tissu et serra fort derrière ma tête afin que je ne puisse plus rien voir. Pour le moment cela était plutot agréable.
 
Une fois le bandeau sur les yeux, elle m'embrassa sur la bouche et me dit de ne plus bouger.
Je sentis alors ses mains s'approcher de la ceinture de mon bermudas et aprés l'avoir défaite elle fit tomber le bermudas sur mes pieds. J'étais donc devant elle, vétu seulement de mon tee shirt et de mon maillot de bain.

Je sentis soudain ses deux mains prendre les bords de mon maillot, de chaque coté de mon corps et elle le fit descendre lentement  pour le laisser  baissé au niveau de mes genoux. Je devais être stupide dans cette position.

Elle eu soudain un petit éclat de rire qu'elle ne pu tout à fait garder pour elle. Je me rendais compte quelle venait de mettre sous ces yeux mon sexe, trop petit pour mon age et surtout elle avait certainement la vision amusée de voir sous mon petit pénis recroquevillé et mes petites testicules qui ballotaient en dessous.

J'étais mort de honte et je ne savais pas quoi faire ni quelle attitude adopter. Le fait d'avoir le visage recouvert me permettait heureusement de cacher mon humiliation.
Je restais là debout alors que ( pour une raison que je ne pourrais expliquer et qui devait être plus de la curiosité que l'envie de me faire honte ) elle se mit à soulever mon sexe pour jouer avec mes bourses. Elle les soupesait et le faisait rouler dans ces mains. elle tirait doucement la peau pour tester son élasticité. Elle se mit à pincer légèrement le bout de mon sexe et attendait une réaction.
Il était certain que ce n'était pas le premier sexe de garcon quelle tenait dans ces mains. Cette idée accentuait ma gène.

Cette facon de faire et de tirer sur ma verge m'avait  provoqué une érection et cette  situation était pour moi trés nouvelle et un peu génante. J'étais nu , les yeux bandés devant une fille qui jouait avec mon sexe comme on joue avec de la pâte à modeler et qui ne manquerais pas de faire des comparaisons avec les autres garcons.




Mireille du se rendre compte de ma gène car elle se remis debout pour m'embrasser et me defaire mon bandeau. je ne pouvais dire un mot et c'est elle qui parla la première.

Quelques mots qui me firent du bien et  m'évitèrent de m'enfuir ou de me mettre à pleurer de honte.

"Ce n'est pas important pour moi le fait que tu ais un petit sexe, chacun est comme il est. Regarde mes seins, ils sont aussi trés petits et je m'en contente".

C'était la phrase que j'attendais. Depuis une première "mise à l'air"  de l'an dernier devant les filles sur la plage, je n'osais plus approcher une fille.

Le souvenir de cet aprés midi fut pour moi un bon souvenir au final.

Aprés m'avoir dit cela, elle me remis mon maillot en place aprés avoir joué une dernière fois avec mon pénis qui était déjà tout recroquevillé, elle repris son haut de maillot, l'ajusta sur sa poitrine et me fit comprendre qu'il était temps de rejoindre les autres copains sur la plage.

Avant de partir, je lui fit promettre de ne pas parler aux autres filles de mon anatomie. En se retournant elle me dit: On verra !!!

Cette phrase me trotta quelques jours dans la tête.

Je constatais les jours suivants que les quatre autres filles de l'immeuble me regardaient différements et cela m'agaçait car j'avais un doute sur le silence de Mireille.

Je finis par la prendre à part sur la plage pour lui dire qu'elle était dégeulasse de ne pas avoir su tenir sa langue. De loin les copains me voyaient parler avec elle et je ne voulait pas donner l'image d'un faible. Pour une raison que je ne m'explique pas encore aujourd'hui, je giflai Mireille qui ne voulait avouer sa trahison. J'avais voulu jouer le dur pour craner devant les autres et j'allais le regretter. Mireille se retourna et partis sans répondre à ma gifle.

Le lendemain sur la plage avec les copains, pas un mot sur l'incident ni des uns ni des autres. Je pensais l'affaire classée.

En mileu d'aprés midi la plage de la grande motte était bondée et ne pouvant plus jouer au volley toute la bande decida d'aller se baigner. Une fois dans l'eau je réalisais le traquenard dans lequel je venais de tomber.

Les quatre filles venaient de bondir sur moi. Ayant de l'eau jusqu'à la poitrine, il m'était difficile de m'esquiver. Une d'elle me prit dans ses bras pour bloquer mes mouvements pendant que deux autres me tenaient les bras. La dernière plongea sous l'eau et m'enleva mon maillot avec une rapidité qui me laissa sans réaction.Je me retourvais nu entourés de plein de gens.
 Aprés m'avoir repoussé sous l'eau pour me faire boire a tasse, les quatre filles sortirent de l'eau en riant et en me laissant  dans l'eau sans maillot avec autour de moi des dizaines et des dizaines de personnes qui ne manqueraient pas de se moquer  de moi et de rire du comique de la situation. Mireille du bord de la plage me montra mon maillot en le faisant tourner au dessus de sa tête. Elle se retournèrent en pouffant de rire et quittèrent la plage.

J'étais cloué dans l'eau , nu comme un ver, heureusement caché par  le bouillonement des vagues.  Au bout  d'une heure, je commencais à avoir froid et mes mains étaient boursoufflées par le fait de rester caché dans l'eau. Les copains étaient partis eux aussi en me laissant seul et sans aucun moyen d'avoir de l'aide. En fait  ils étaient tous cachés derrières les vitres de l'appartement de Mireille et attendaient de voir ma réaction. Les garçons avaient  obéis aux filles qui leur avaient demandé de ne pas intervenir. Je devais payer au prix fort mon geste.

Le temps passait et je ne savait pas comment sortir de l'eau. Deplus ou aller, ma soeur était justement là cet aprés midi et elle était partie avec des amis en voiture.Aucun doute elle avait fermé l'appartement. Impossible donc de me réfugier à la maison. J'étais piégé.

Soudain je cru défaillir, une soudaine envie me tordit le ventre, certainement le froid, l'angoisse  et le fait de rester dans l'eau depuis maintenant plus de deux heures. Je ne pouvais plus tenir, il me fallait m'éloigner des baigneurs pour ne pas me vider devant eux. Mon ventre était pris de gargouillements qui me faisait craindre le pire.

Comment faire, ma punition prenait un tournant inattendu et je ne savais pas comment faire. Je ne pouvais plus me retenir et je sentais mes sphincters se ralacher petit à petit malgré mes contractions pour lutter.

Au bout de quelques minutes ,n'y tenant plus je décidait de sortir de l'eau en courrant pour aller rejoindre les wc en bois installés au bord de la jetée. C'était ma seule chance. Je me mis à courir sans regarder autour de moi, le plus vite possible pour atteindre la porte des toilettes avant de me vider pendant le trajet.
Je transpirais à grosses goutes en sentant le liquide chaud qui commencait à couler entre mes cuisses, et à chaque nouvelle foulée je commencait à me vider laissant derrière moi la traçe de cette dhiarée incontrolable. Je dus ralentir ma course car en courant je ne pouvais me contracter pour espérer garder en moi ce liquide qui ne demandait qu'à s'expulser.

Cette fois je voyais les regards des gens qui à la fois surpris et amusés me montraient du doigt. J'avais l'impression que toute la plage me regardait , encore une centaine de mètres pour atteindre les wc publics. J'essayais tant bien que mal de courir avec une main devant pour cacher mon sexe et une autre derrière pour tenter  de retenir le liquide qui me secouait les entrailles.

J'arrivais enfin aux toilettes et me ruait à lintérieur. Par bonheur un wc était libre. Je n'ose imaginer ce qui se serait produit si les deux  wc avaient été occupés !!!

Aprés être resté un long moment à me soulager et  à reprendre mon souffle, je réalisait qu'il allair falloir ressortir et que le cauchemat allait recommencer. Je reflechissait à l'attitude à adopter.
Le plus simple était d'aller me cacher dans le parking souterrain de l'immeuble en attendant le retour de ma soeur. Il y avait une autre solution qui était de rejoindre l'appartement de Mireille pour espérer récupérer mon maillot. Allait elle accepter de m'ouvrir ? Les copains allaient ils aussi se moquer de moi ?

Pour le parking mon affolement et mon manque de calme m'avait fait oublier qu'il fallait un bip électronique pour y accéder, donc de ce coté aucune solution. Il ne me restait plus qu'à sortir en trombe des toilettes et courir sans m'arréter jusqu'à la porte de l'appartement de Mireille.

Lorsque la porte se mit à battre, poussée par un inconnu qui souhaitait prendre ma place, j'ouvris sans même regarder qui était devant moi et je me remis à courir les deux mains devant moi pour avaler au plus vite les deux cents mètres qui me séparaient de l'immeuble et les trente cinq marches d'escaliers qu'ils me fallaient monter pour ariver devant la porte de l'appartement.

Je sentais à nouveau revenir les contractions dans mon ventre et un peu de liquide chaud et collant continuait de couler lentement le long de mes jambes. J'avais envie de pleurer, de mourir tant cette épreuve ne cessait de tourner au cauchemard. Je croisait même  des amis de mes parents qui ne manqueraient pas de les informer de ma façon "originale" de marcher dans la rue.

Aprés un temps qui me parru une éternité j'arrivais devant la porte de Mireille. Elle était grande ouverte. Je me ruait sans chercher à comprendre dans la salle de bain et sans même réflechir à savoir si l'on me regardait, je fit couler la douche pour me rincer, me laver et me réchauffer.

J'avais tiré le rideau pour procéder à ma toilette intime et au bout d'un moment je vis une main ouvrir le rideau.
J'étais couvert de savons et je ne savais pas comment cacher ma nudité car je tenais le savon d'une main et le douche de l'autre.



C'était Marianne qui avait assisté à tout mon calvaire et qui avait décidé de me venir en aide. en m'apportant un maillot.
Les autres, garcons et filles, tous décidés à me punir jusqu'au bout  en accord avec Mireille, étaient restés tous hilares sur le balcon de l'appartement  pour suivre intégralement ma sortie de l'eau devant tout le monde, ma course tout nu sur la plage, mon sprint sur la corniche pour rejoindre les wc publics et enfin pour s'amuser à me voir courir et slalomer entre les voitures et les passants en continuant de me vider le ventre.

Marianne me fit passer un peignoir que j'enfilait immédiatement s'en me faire prier. Rouge de honte devant le spectacle que je leur avait offert à tous, je preférais partir tout de suite pour attendre devant la porte de notre appartement deux étages plus haut. Mas soeur ne tarderais pas à rentrer, il me faudrait patienter.

Bien évidement je n'ai rien dit à ma soeur de ma mésaventure lorsquelle est rentrée avec ses amis et qu'elle s'est étonnée de me voir attendre seul devant la porte. Je me suis bien gardé également d'en reparler le lendemain avec mes copains. Mais tous avaient un petit sourire au coin de la bouche et Mireille semblait maintenant être la "chef de bande" des filles.
Par Alain - Publié dans : bizutages
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