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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 10:57
Bizutage chez les scouts :
 

Mes parents ont décidé pour les vacances d’été de m’inscrire aux scouts pour un camp d’un mois à coté de St Valoires. N’ayant jamais fréquenté avant mes quatorze ans les scouts, j’ignorais tout de ce que j’allais vivre pendant tout ce mois d’Aout 1985.

 

Accompagné en voiture par mes parents jusqu’à St Valoires, je rejoignais le camp le matin du grand rassemblement et de la formation des groupes dans les tentes.

 

Nous étions plus de 200, garçons et filles tous pratiquement du même âge. Je me retrouvais dans le groupe des « Taupes » composé de 10 filles et 10 garçons. Nous avions une grande tente, mais qui était partagée en deux : d’un coté les filles de l’autre les garçons. Une grande bâche séparait la tente en deux.

 

Les premiers jours étaient agréables et les sorties en forêt nombreuses. Nous ramassions beaucoup de myrtilles et en mangions aussi beaucoup.

Au fur et à mesure que les jours passaient des clans se créaient et les tensions devenaient de plus en plus palpables.

Un soir le clan des garçons décida de bizuter Marianne, la plus insupportable de toutes les filles. Elle n’aidait jamais les autres et se moquaient constamment du physique des garçons les plus « chétifs ».

 

Le bizutage devait avoir lieu lors de notre prochaine sortie en forêt. Le lendemain, le chef des taupes avait prévenu plusieurs filles pour que Marianne soit un peu à l’écart des autres lors de la marche dans les bois.

 

Après une bonne heure de marche nous étions loin du camp et du village et l’endroit était propice pour bizuter Marianne. Voulant absolument être aux premières loges, je me proposais pour attirer Marianne à l’écart des autres filles. Sous le prétexte d’avoir à vider mon panier rempli de myrtilles je l’entrainais vers l’endroit ou j’avais laissé mon panier plein. Elle me suivi sans se douter le moins du monde de se qui l’attendait.

 

Une fois passée devant moi, je lui sautais dessus pour lui immobiliser les bras et la tenir les pieds en l’air, le temps que les autres garçons arrivent. En quelques secondes elle se retrouva entièrement nue.

 

Une fois maitrisée, elle fut attachée dos à un grand arbre, les bras passés en arrières et maintenus par des cordes qui avaient été préparées. Sa jupe en jean fut remontée sur son ventre afin de bien dégager son sexe.

Hervé avait mis à nu ses petits seins aux grandes auréoles et les attachait à l'arbre avec une corde en faisant de nombreux tours de cordes autour de l'arbre.

Marianne ne pouvait plus bouger.
Son intimité la plus profonde était exposée à la vue de tous.

Pascal regarda le slip qu’elle portait. C'était un slip noir très sale qui devait avoir plusieurs jours. Des taches jaunâtres étaient visibles. Les garçons se moquaient d’elle et la traitait de « grosse cochonne ».

Un fou rire gagna la bande de garçons et il fut décider de laisser Marianne attachée pendant toute notre promenade. Nous viendrions la détacher au retour. Elle aller rester ainsi les seins à l'air, les jambes écartées au maximum.


Pour mieux l’humilier, au moment de partir, Marc lui attacha les chevilles ensemble en prenant soin de bien lui écarter les cuisses. Elle criait mais personne ne pourrait venir à son secours. Je regardais avec intérêt ses seins dont les pointes étaient dressées par le froid et la honte. Ses jambes ouvertes montraient  à tous un sexe rasé.


Marc rempli sa main de myrtilles et lui plaqua la main sur les lèvres de  son vagin. Il appuya afin de faire pénétrer les myrtilles à l'intèrieur. Ainsi remplie on n'allait pas tarder à voir le liquide noiratre du jus de myrtilles couler le long de ses cuisses. 

    

Après avoir prévenu les filles, nous avons continué notre ballade et notre cueillette de myrtilles. Deux heures après il nous fallait rebrousser chemin pour rentrer au camp et aller délivrer Marianne.

 

Quand nous arrivâmes à l’endroit ou l’on avait attaché Marianne, il n’y avait plus que les cordes par terre. Elle avait réussi à se détacher ou quelqu’un était venu à son secours.

 

Une fois rentrée au camp, nous apercevons Marianne en train de discuter avec les « Leaders », le groupe des plus âgés. Pendant deux jours, elle resta avec ce groupe et ne rejoignais la tente que pour dormir. De sa part plus de moqueries envers les autres. Elle restait de marbre. Le bizutage semblait l’avoir calmé. Pourtant je remarquais qu’elle m’adressait de drôle de regard à chaque fois que nous retrouvions face à face lors des repas ou des activités dans le camp.

 

Une semaine plus tard, je pensais l’affaire classée, mais lors d’une sortie au village ou je m’étais rendu avec Henri pour acheter des tubes de crème de marron, je compris que je venais de tomber dans un piège.

 

Au détour d’une rue à la sortie du village, une dizaine de filles (les plus grandes) nous attendaient. Elles n’en avaient qu’après moi car Henri pu s’enfuir en courant sans être inquiété. Les filles me sautaient dessus avant que j’ai pu m’enfuir. Vu le nombre je ne pouvais me défendre et me retrouvait très vite attaché les bras dans le dos et porté à bout de bras par toutes les filles. De peur de tomber de si haut je ne bougeais plus et attendais la suite des événements.

 Une fois arrivée au beau milieu du village, je fus entrainé sous le porche de la grande maison qui faisait face à la fontaine centrale du village. A l’abri des regards indiscrets je fus mis par terre et déshabillé entièrement par les filles qui ne ménageaient pas leur peine pour m’enlever tous mes vêtements. L'une d'elle tirait mon pantalon de toute ses forces pour le faire descendre.

 L'une d'elle, une jeune asiatique qui semblait bien s'y connaitre en en ligotage en profita qu'elle avait encore une fine cordelette en chanvre disponible, pour me ficeler la verge et les testicules.
Elle faisait des tours biens serrés autour de mon sexe et cela était très douloureux. Elle fit en sorte de m'immobiliser complètement la verge et les testicules.

En même temps je sentis un foulard se serrer autour de ma bouche pour étouffer d’éventuels cris. Terrorisé, je n’avais nullement l’envie d’ameuter le quartier.

Une fois mis tout nu les bras attaché dans le dos et la bouche bâillonnée, les filles me plaquaient contre le mur. Marianne se mit devant moi pris une paire de ciseau pour me couper à toute vitesse les poils de mon sexe. Pétri de honte devant toute les filles mon sexe ne risquait pas de se redresser. Je devais subir cette tonte improvisée sans réagir. Je baissais les yeux pour constater le massacre. Marianne coupait au plus court tous mes poils et l’on pouvait voir maintenant mon pubis et mon pénis tout dégagé. Les filles riaient de plus belle.

 

Une fois la tonte finie, Marianne me dit que j’allais devoir rester dans cette tenue. En éclatant de rires toutes les filles partirent en courant et je me retrouvais seul derrière le porche en plein centre du village, complètement nu avec en plus les mains solidement liées dans le dos. Heureusement, mes jambes étaient libres et il ne me restait plus qu’à courir le plus vite possible pour sortir du village sans que trop de monde me voient dans cette tenue.

 

Après avoir pris une grande respiration et persuadé que c’était la seule solution car je ne voyais pas les copains venir me chercher ici, je sortais en courant sur la place du village sans regarder autour de moi les regards stupéfaits des vieux du village. Je courais le plus vite possible pour parcourir les cinq cent mètres qui me séparaient de la sortie du village. Dans ma course je croisais la postière qui essaya de m’arrêter je ne sais pour quelle raison.

 

Au bout d’un temps de course qui me sembla durer une éternité, je sortais du village et décidait de couper à travers champs pour ne pas que l’on me voit ainsi.

Après de multiples efforts pour me cacher dés qu’un paysan se profilait à l’horizon, je parvenais au camp ou tout le monde semblait ignorer se qui venait de m’arriver. En passant par l’arrière du camp, je pus rejoindre notre tente sans être vue du plus grand nombre. Une fois dans la tente, je demandais de l’aide et Thierry qui lisait sur son lit pu venir me détacher.

 

Une fois rhabillé je sortais de la tente pour retrouver le clan des « taupes » afin de leur raconter mon aventure.

 

Après des années, j’en rigole maintenant, mais je peux vous certifier que je n’ai jamais ressenti une telle humiliation et une telle envie de mourir tant j’étais paniqué d’avoir à traverser entièrement nu le village ou nous venions presque tous les jours faire nos courses.

 Michel le petit scout.
Par Michel - Publié dans : bizutages
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