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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:37
Fessés à la fac

La fac de droit est un endroit exceptionnelle pour toute sorte de découvertes. C’est notamment là que j’ai découvert le plaisir de la fessée. Je partageais un TD avec Florence, une amie plutôt jolie et bien faite. La prof était une jeune femme d’une trentaine d’années qui me plaisait beaucoup. Malgré cela je n’étais pas très attentif en cours et mes résultats s’en ressentaient.

Malgré tout, je réussissais à me faire remarquer par la prof, parfois en bien grâce à mes interventions mais souvent en mal en discutant avec Florence. Un soir à la fin du premier semestre, la prof vint nous voir en nous disant qu’elle était assez mécontente de nous car nos résultats étaient mauvais et que nous l’empêchions de faire correctement son cours. Elle nous indiqua par ailleurs avoir un problème important dont elle voulait nous parler. Mais comme elle était pressée, elle nous demanda de passer chez elle le lendemain soir.Nous n’avons pas fait particulièrement attention à ses réprimandes et le lendemain soir, comme convenu, nous avons sonné chez elle. Elle habitait un petit appartement coquet dans le centre de Paris et nous reçut habillée en tailleur, comme à son habitude.

À peine installés sur son canapé, nous fûmes surpris par la teneur de son discours. Outre les reproches habituels de bavardage, elle nous accusait d’avoir triché au partiel en copiant l’un sur l’autre (ce qui était parfaitement exact). Elle nous disait que le professeur titulaire ne s’en était pas aperçu mais qu’elle ne pouvait pas laisser passer ça. La sanction d’une tricherie aux examens étant le renvoi de la faculté, nous ne faisions plus du tout les fiers.

Elle nous proposa toutefois un « arrangement » : comme nous nous comportions comme des gamins, elle allait nous fesser comme tels. J’avoue avoir ri lorsqu’elle formula cette proposition. Elle pas du tout. Je compris alors qu’elle était sérieuse. Je fantasmais depuis longtemps sur le fait de recevoir une fessée par une belle femme, mais la recevoir devant Florence était une toute autre chose. Florence ne faisait d’ailleurs pas la maligne mais ne voulait pas non plus être renvoyée de la fac. Elle accepta donc la proposition la première.

Je tentais pour ma part de discuter en lui disant que cette proposition n’était pas sérieuse, nous avions 22 ans et elle ne pouvait nous donner une fessée. Contrairement à Florence, je n’imaginais pas que cette fessée puisse être donnée autrement que cul nu. Mais ma prof coupa court à toute discussion et me prit le bras : « Soit tu reçois la fessée que tu mérites, soit tu peux partir mais tu seras renvoyé de la fac ». Déstabilisé, je fus sans réaction, ce dont ma prof profita pour me faire allonger sur le rebord du canapé de son salon.

Elle commenca à me donner quelques claques sur mon jean pour me faire comprendre qu'elle ne plaisantait pas.

 Elle entreprit alors de dégrafer mon jean. Comme je tentais de réagir, elle me foudroya du regard, ce qui acheva de me soumettre à ses ordres. Je me retrouvais en culotte devant elle et Florence.


Elle me tira les cheveux en arrière pour bien montrer qui était le maître.
Une série de claques sur mon slip en coton m'arracha des cris de douleur. Mais cela ne faisait que commencer.
Elle déscendit mon slip sur mes cuisses, mettant à nue mon postérieur. J'étais rouge de honte.


J'avais les fesses (et donc le sexe) nues devant ma prof et Florence, prêt à être fessé comme un gamin. Florence n’en menait pas large mais se délectait de la vision que ma nudité lui offrait.

La prof me bascula sur ses genoux et repris sa fessée qui, cette fois, était beaucoup plus douloureuse. Mes fesses commençaient sérieusement çà chauffer et à devenir écarlates.


Je multipliais les efforts pour rester digne mais mes fesses commençaient sérieusement à me faire mal. Je tentais vainement de demander à ma prof de s’arrêter mais elle ne m’écoutait pas et les claques tombaient de plus en plus fort sur mes fesses. Cette fessée me parut durer un temps infini. J’entrevoyais Florence à quelques mètres de moi, moitié ravie du spectacle qui lui était offert, moitié inquiète de la promesse que ce même spectacle garantissait à ses propres fesses. La fessée s’arrêta finalement et ma prof m’ordonna de me mettre au coin, les mains sur la tête, face au mur et, bien sûr, les fesses nues.

Sans rien voir de ce qui se passait, j’entendis ma prof ordonner à Florence de baisser sa jupe et sa culotte et de se mettre en position sur ses genoux. Florence restait silencieuse mais j’entendis ses vêtement tomber et la fessée commencer. Ma prof ne fut pas plus clémente avec Florence qu’elle l’avait été avec moi, les claques tombaient sur ses fesses durement en longtemps. J’étais très excité par ce spectacle dont je ne percevais que les bruits et ne pus m’empêcher de tourner la tête pour m’en délecter.

Florence était allongée sur les genoux de ma prof, sa jupe était par terre et sa culotte n’était plus accrochée qu’à une seule cheville. Son t-shirt remontait jusqu’au bas de ses seins. Elle tentait d’éviter les claques en bougeant ses jambes et ses fesses mais ma prof la tenait fermement et tous les coups tombaient avec une merveilleuse précision sur ses fesses déjà bien rouges. Florence gémissait et poussait de petit cris, je sentais bien qu’elle ne résisterait pas très longtemps à ce traitement.

Ma prof s’aperçut alors que je les regardais, ce qui ne lui plut pas du tout. Elle me foudroya à nouveau du regard mais ne dit rien. Je n’en tournais pas moins la tête et assistait à la fin de la fessée de Florence en ne profitant que du son de cette fessée magistrale.

La fessée de Florence m’excitait terriblement et j’étais très gêné à l’idée que ma prof ou Florence découvre l’érection que je ne parvenait pas à maîtriser.

Ma prof envoya finalement Florence au coin à coté de moi sans rien ajouter. Nous étions l’un à coté de l’autre, échangeant quelques regards, les fesses rouges et bien chaudes. Florence découvrit avec sourire mon érection et je devinais que ma fessée lui avait procurer une excitation similaire.

Après un bon quart d’heure de coin, ma prof revint vers nous et nous annonça qu’après cet échauffement, la vraie fessée allait pouvoir commencer. À cet instant,  nous fûmes réellement inquiets. Mais c’était trop tard, nous étions matés et prêts à obéir sagement, comme deux petit gamins pris sur le fait.

Ma prof nous annonça que nous allions recevoir chacun deux fessées supplémentaire, la première avec une brosse et la seconde avec une badine. Elle nous ordonna de nous déshabiller entièrement et de venir la voir, ce que nous fîmes sans protester.

Assise sur son canapé, ma prof regardait ses deux étudiants nus et la tête baissé, les fesses déjà rougies. « Bien, nous allons commencer par Florence cette fois-ci » annonça-t-elle. « Mets toi à quatre pattes la tête et les mains posées sur le canapé », Florence s’exécuta promptement et ma prof sorti sa badine. J’avais déjà mal rien qu’en voyant cet instrument. Un premier coup tomba sur les fesses de Florence SCHLAKKK !, Florence cria et ses yeux devinrent humides. Manifestement ma prof avait une bonne pratique de la badine et n’y allait pas de main morte. Une zébrure traversait les fesses de Florence qui suppliât la prof d’arrêter. « Je te recommande de te taire, tu vas sagement encaisser les 10 coups que tu mérites » fut la seule réponse de notre bourreau.

SCHLAKKK ! « un » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « deux » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « trois » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « quatre » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « cinq » annonça ma prof.

Florence était déjà en larme et s’accrochait tant qu’elle pouvait au canapé.

SCHLAKKK ! « six » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « sept » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « huit » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « neuf » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « et dix » annonça enfin ma prof avec un sourire de contentement.

« À ton tour mon petit » m’annonça-t-elle, « « quant à toi Florence, ne bouge pas de là ».

Je prix position à coté de mon amie, non sans appréhension. Florence avait en fait reçu onze coups de badine et je pensais m’en tirer avec seulement dix. Ma prof me précisa toutefois que j’en recevrait quinze (selon elle, étant un garçon, j’étais plus résistant) et que je devrais les compter.

SCHLAKKK !, le premier coup tomba férocement et m’arracha un cri. Je réussi à balbutier « un », SCHLAKKK !, les larmes me montaient aux yeux tandis que j’énonçais « deux ». au troisième coups je pleurais comme Florence et commençais à gémir. SCHLAKKK !, « trois », SCHLAKKK ! « quatre », SCHLAKKK ! « cinq », SCHLAKKK ! « six », SCHLAKKK ! « sept », SCHLAKKK ! « huit », SCHLAKKK ! « neuf », SCHLAKKK ! « dix ». j’aurais voulu qu’elle s’arrête enfin mais je savais qu’il était inutile de lui demander. Je serais les dents en attendant les cinq derniers coups.

SCHLAKKK !, « onze », SCHLAKKK !, « douze », SCHLAKKK !, « treize », SCHLAKKK !, « quatorze », SCHLAKKK !, « quinze ». j’étais meurtri, à bout de souffle et de courage.

« Retournez au coin tous les deux dans la même position que tout à l’heure » ordonna finalement ma prof. Cette mise au coin fut un vrai bonheur et soulagea (momentanément) nos fesses endolories.

Nous savions tous les deux qu’il restait encore l’épreuve de la brosse et nous n’imaginions pas réussir à la surmonter. Nos fesses étaient brûlantes, écarlates et rayées des marques de la badine. Une demie heure passa ainsi, en silence. Enfin ma prof revint vers nous. J’avais à nouveau une érection à force d’admirer les jolies fesses de Florence et cet état n’échappa bien évidemment pas à notre fesseuse.

« Je vois que cette punition vous plait ! Très bien, nous allons donc continuer ». Je tentais de lui dire que nous avions compris mais il était bien trop tard. Elle nous emmena dans sa chambre et nous fit allonger sur son lit l’un à coté de l’autre. « Celle-ci vous allez la recevoir ensemble ».

Allongés l’un à coté de l’autre, nous reçûmes à nouveau une vigoureuse fessée. Ma prof ne s’arrêta que lorsqu’elle ne pu plus. Nous étions tous les deux en larmes et nos fesses nous brûlaient. Ma prof nous a alors apporté une crème à nous passer sur les fesses pour calmer le feux de toutes ces fessées. Ce moment fut délicieux pour nous et pas seulement parce qu’il calma la douleur de nos postérieurs…

À compter de ce jour, nous n’avons plus jamais été dissipé en TD avec cette prof et avons eu de très bons résultats à nos examen de fin d’année. Nous n’avons jamais parlé de cette histoire à personne.

Pour ma part, je garde un cuisant mais excellent souvenir de cette première « vraie » fessée reçu, qui en a appeler beaucoup d’autres. Je sais que Florence en a garder aussi un excellent souvenir.

 
Par Plume - Publié dans : bizutages
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