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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:38
Avignon.
 

C'est lors d'une visite occasionnelle chez mon médecin de famille que j'ai été le témoin d'une troublante féssée donnée par sa mère à une jeune fille.

Ce souvenir encore très présent remonte à il y a bien une vingtaine d'années, alors que j'étais encore étudiant dans dans une fac de Nice.

 

Habitant la banlieue proche, je me rendais chez le docteur G., une niçoise élégante d'une quarantaine d'années, et accesoirement notre médecin de famille depuis une dizaine d'années. J'y venais tous les ans pour me faire vacciner contre la grippe en ce mois de septembre encore très ensoleillé.
En arrivant ce samedi matin, je saluai Carolina la jeune secrétaire portugaise que le docteur venait d'engager. Cette jolie brune de vingt ans me faisais fondre avec son large sourire et ses grands yeux noisettes.

 

Notant mon arrivée elle me fit signe vers la salle d'attente en me prévenant que ce mois-ci, le cabinet du docteur étant en travaux de réfection, les visites se dérouleraient dans une pièce attenante, aménagée pour l'occasion.

En effet, la pièce en question était juste en face de la salle d'attente. On entendait d'ailleurs distinctement le docteur qui était en train de parler à un patient, presque comme si on était dans la pièce, du fait surtout de la proximité.

Pénétrant dans la salle d'attente, je pris place sur une chaise donnant face à la porte du cabinet et m'apreçu qu'on pouvait aussi distinguer le docteur et son patient, couché sur le lit d'auscultation, ceci car la porte était en verre, légèrement marbré et donnait sur le milieu de

la pièce.

Mais ce détail ne me perturba pas plus que ça, étant venu pour un vaccin je n'avait pas grand chose à cacher. Néanmoins je trouvais que cela pouvait manquer de discrétion à l'occasion.

 

Prenant une revue, je saluai l'ensemble des patients et fis un rapide tour d'horizon de la salle pour aperçevoir cinq personnes qui étaient déjà installées : une femme d'âge mûr, une jeune étudiante en jean et t-shirt ceintré, un homme âgé, et une jeune fille accompagnée par sa mère très "collet monté" dont l'élégance et la stature hautaine me surpris.

Elle avait un accent du sud très prononcé et une voix sèche, et semblait mécontente envers la jeune fille. Pretant l'oreille je compris qu'elle lui reprochait de ne pas assez travailler à l'entrainement et qu'elle n'avait que quelques jours avant son concours de gymnastique. La jeune fille - qui, je l'appris par la suite avait dix-sept ans - a immédiatement attiré mon regard, avec son nez pincé et sa bouche en cul de poule elle faisait très fille à maman.

L'air coincée elle n'en était pas moins charmante avec son chignon blond tirés bien au dessus de la tête et un physique développé pour son âge. Elle était en bas de survêtement rose fushia et en petites basquettes, et portait un justaucorps bleu ciel brillant qui faisait parfaitement ressortir une poitrine ferme et frémissante. Elle baissait la tête devant sa mère l'air pas commode et autoritaire, qui rouspétait je ne sais quoi encore.

 

Le docteur venait de libérer son patient qu'elle raccompagna et entra en appelant :

 

"Melle De La B. veuillez entrez s'il vous plait"

 La jeune fille se leva précédée de sa mère et toutes deux entrèrent dans le cabinet du docteur qui referma la porte. Étant assis juste devant, je pouvais distinguer le docteur à son bureau et les deux femmes assises en face. On entendait de plus assez nettement leurs conversations dans la salle d'attente dont la porte était restée grande ouverte.

 

"Bonjour Docteur" dit la mère. "Merci de nous recevoir si vite, je suis passée chercher Sandrine à son entrainement de gymnastique quand j'ai su qu'il vous restait de la place... comme vous voyez elle est encore en tenue.

Elle a une compétition dans 2 jours et je ne veux pas qu'elle soit génée par son petit désagréement..."

 

"Très bien Madame, vous avez bien fait de l'amener, je pensais qu'avec les suppositoires sa constipation serait passée mais visiblement il semble qu'elle ai toujours des soucis digestifs... Alors Sandrine, comment vas-tu depuis la semaine dernière ? As-tu encore des crampes ?" demanda le docteur.

 

"Ca va bien docteur je ne suis presque plus constipée..." répondit la jeune fille vite intérrompue par sa mère.

 "Sandrine ne dis pas n'importe quoi, tu n'as pas été à la selle depuis quatre jours. Docteur, c'est son entraineur qui m'a dit qu'elle était contractée et qu'elle avait encore des crampes qui la génaient dans ses exercices. Elle ne veux rien me dire mais je la connais bien.

Vous m'aviez
conseillé des examens complémentaires mais je ne les aurais pas avant une semaine et son concours approche, que peux-t-on faire ?"
"Eh bien Madame, il y a bien un remède complémentaire que je préconise à
certains patients et qui a un effet à très court terme... Cela ne peux pas faire de mal d'essayer, à condition que vous soyez d'accord"

"Eh bien de quoi s'agit-il Docteur ?"

 

"Il s'agit tout simplement d'un lavement à base de sels. On oublie souvent que c'est un des remèdes les plus éfficaces contre ce type de problèmes."

 "Ma fois je n'y avais pas pensé et je ne savais pas qu'on les employait en votre cabinet, mais si cela peut être utile alors je suis d'accord, n'est ce pas Sandrine."
 

"Mais c'est quoi un lavement Docteur ?" répondit la jeune fille.

 

"Eh bien Mademoiselle il s'agit d'un liquide à base de sels que l'on injecte dans le rectum par l'intermédaire d'une poire en caoutchouc. Cela ne fait pas mal du tout même si c'est un peu désagréable."

 

"Mais je peux le faire toute seule à la maison non ?" répondit Sandrine avec inquiétude.

 

"Eh bien une fois que je vous aurais montré la technique vous ou votre mère

pourrez le pratiquer sans problèmes. Au début, je conseille à votre mère de vous assister dans la préparation qui doit être minutieusement respectée...

Juste un instant Mademoiselle, j'appelle ma secrétaire pourqu'elle m'aide à préparer le nécessaire"

 

Quelques seconde après on vit Carolina arrivant devant la porte. Je regardait discrètement juste le temps d'aperçevoir la jeune fille en justaucorps assise et quelque peu perturbée par cette perspective, avec sa mère à ses côtés qui semblait convaincue. Juste avant de refermer la porte, je vis le regard inquiet de la fille se dirigeant vers la secrétaire.

 

"Docteur, je préfère le faire moi-même à la maison, si vous nous expliquez la préparation je saurais..." disait timidement Sandrine.

 

"Mais enfin Sandrine, puisque le Docteur dit qu'il faut que ce soit elle qui fasse le premier. En plus je paye une consultation alors c'est pas pour y retourner dans deux jours non ?" répondit-elle froidement à sa fille.

 

"Mais maman je veux pas ici, je veux pas..."

 

"Mademoiselle, soyez raisonnable cela ne sera pas long. Pendant que Carolina prépare la solution, je vous demanderai de bien vouloir retirer tous vos vêtements et les poser sur votre chaise, ensuite vous irez vous allonger à plat ventre sur le lit".

 

Il y eu un long silence et la fille semblait ne pas bouger. Au fond de la salle, on entendait la secrétaire qui faisait couler de l'eau et préparait des ustensiles.

 

"Mademoiselle, vous m'avez entendue ? J'ai du monde qui attends alors soyez gentille et déshabillez vous pour qu'on puisse commencer." fit le docteur marquant son impatience en tapant du pied au sol.

 

"Maman je te répète que je vais mieux et puis je veux pas qu'on me fasse ce truc maintenant. Je peux pas continuer à prendre les suppositoires ?"

 

Pendant ce temps, dans la salle d'attente, on devinait quelques sourires amusés face aux manières de la jeune fille devant une situation peu banale.

Cela en devenait même gênant quelque part.

 

"Ecoute Sandrine" reprit la mère..."Arrête de discuter tout ce que je dis.

Tu vas recevoir ce lavement et ensuite on fera les autres à la maison,maintenant déshabilles toi à la fin! On perd du temps."

 

"Enfin Sandrine, une grande jeune fille comme toi qui fait des manières pour si peu c'est pas raisonnable" dit le docteur comme si elle parlait à une fillette.

 

"Non, non et non, je vous répète que je veux pas... J'ai dis non, mince alors !" repondit la jeune fille pleine de frustration et haussant le ton devant sa mère.

 

"Oh mais quelle impertinence!" s'exclama le Docteur.

 

"Voyez docteur comment sont éduquées les jeunes filles de nos jours. Il y a encore quelques années elle aurait pris une bonne fessée mais aujourd'hui..."

 

"Mais madame, et avec tout le respect que je dois à votre fille, croyez-vous qu'à cause de ses dix-sept ans elle en soit exempt. C'est regrétable à dire mais c'est parfois le seul moyen qu'il nous reste. Demandez à Carolina ce qu'elle en pense ?"

 

"Eh bien moi si c'était ma fille je l'aurai fessée sur le champ." répondit

la secrétaire sans hésiter. Je les trouvaient bien arrogante et cruelle mais en même temps cela m'amusait de voir la réaction génée de cette fille.

 

"Ma fois vous avez toutes deux raison. J'ai été trop faible ces derniers temps et il est temps de remettre les choses en ordre" dit la mère, se levant brusquement et se tournant vers sa fille ébahie.

 

"Docteur j'espère que vous m'excuserez auprès de vos patients mais ma fille ne sortira de chez vous qu'après une bonne leçon, et ce malgré ses dix-sept ans."

 

"Mais je vous en prie Madame, je crois qu'elle l'a bien mérité" acquiesca le Docteur.

 

Au moment ou la mère se saisit de sa fille, celle-ci se débattant hurlant

"Non! Non! maman, pas la fessée, pas devant tout le monde, je fais ce que me dit le docteur... je suis sage, voilà je vais obéir..."

 

"Il fallait l'être avant ma petite... tu t'es bien moquée de nous hein! et bien tu vas voir ce qu'on leur fait aux têtues et au mal élevées dans ton

genre"
 

Les patients en salle d'attente tendaient discrètement le regard, quelque peu abassourdis par la situation.

 

"Eh bien moi j'aurais fait pareil" dit la dame qui était à ma droite, en s'adressant ouvertement à nous. Je n'osai lui répondre que par un sourire perplexe tant j'étais géné et excité en même temps.

 

La Mère s'était apparemment emparée de sa fille qu'elle avait basculée en travers de ses genoux, face contre terre, le visage de sa fille faisant face à la porte. Elle avait baissé son bas de survètement et fessait copieusement

le derrière dont le justaucorps emprisonnait la croupe ferme et dodue,faisant résonner les claques sèches dans toute la salle.

 

Les cris de la fille se faisaient plus vigoureux alors qu'on entendit une sonnerie, pensant qu'il s'agissait d'un
nouveau patient. On entendit la porte d'entrée s'ouvrir et on vit s'approcher une postière qui portait un petit colis avec un recommandé, attendant devant le bureau de la secrétaire. Je

guétait alors insidieusement le moment ou la secrétaire allait ressortir du cabinet et ouvrir la porte. Je vis quelques têtes se pencher de mon côté vers l'ouverture alors que l'ombre de la secrétaire se rapprochait de l'entrée... elle ouvrit la porte précipitamment, ce qui nous donna à peine le temps de voir la jeune fille gémissant ses grands dieux, la mère la ceinturant solidement, une main tirant sur le fond de culotte du justaucorps, dévoilant une jolie paire de miches ; et l'autre main fessant énergi- quement la croupe.
La secrétaire referma malheureusement aussitôt la

porte derrière elle.

 Celle-ci passa devant nous en s'excusant rapidement pour tout le remue-ménage et le retard causé et reçu la postière. Il s'agissait apparemment d'un recommandé personnel que le docteur devait signer.

Un peu
génée elle s'approcha de la porte du cabinet en disant à voix haute :"Docteur c'est pour vous, pouvez-vous venir un instant ?"
"Non Carolina je prépare une solution et je suis en retard, si c'est Madame
Riou faites la rentrer je la connais bien, avec la permission de Madame."répondit-elle.
 

"Je vous en prie docteur, je vous ai fait perdre suffisamment de temps, et puis ça lui apprendra à cette tête de pioche à me contre dire hein."renchérit la maman furieuse.

 

Carolina ouvrit donc la porte de nouveau et se posta juste à l'entrée en attendant que la postière toute étonnée du vacarme que causait cette jeune fille, veuille bien rentrer dans le cabinet.

 

Même si je trouvais cela humiliant pour la jeune fille, pour nous patients, ce fut l'occasion d'asister en coin à une belle danse de fesses que Sandrine ne parvenait plus à contenir. La pauvrette ne s'était même pas rendue compte que presque toute la salle d'attente penchait la tête de côté vers l'ouverture pour l'apercevoir. Carolina restait plantée au milieu, légèrement sur le côté, comme si elle ignorait que la porte de la salle d'attente était grande ouverte, attendant que la postière traverse le

cabinet et aille faire signer le recommandé.

 

Passant devant la mère et regardant la fille, la postière émit un sourire moqueur et dit en plaisantant comme si elle s'adressait à une gamine de dix ans "Eh bien qu'est ce qu'elle à fait la vilaine pour mériter pan pan cul

cul ?"
 "Mademoiselle fait des histoires pour un lavement, si c'est pas une honte à son âge !" rétorqua la mère tout en continuant de fesser sa fille énergiquement devant tout le monde.

 

La postière mit son temps à s'approcher du Docteur qui était en pleine préparation du plateau et de la poire à lavement. C'est alors que la jeune fille s'aperçut que la porte était grande ouverte et que tout le monde la
regardait, la secrétaire ne cachant que la moitié du champ de vision.

 

Le visage déjà mortifié de la fille passant du rose au rouge vif, elle se mit à rugir et à se débattre davantage en hurlant "Noooon...pas devant tout le monde ! Maman arrête je t'en prie la porte est ouverte...j'ai trop honte... assez !" et la jeune fille se mit à fondre en sanglots se cachant le visage des deux mains.

 

"Ah tu as honte et bien ça t'apprendras à me tenir tête. Comme ça tout le monde sauras que tu es une mal élevée. Tu vas arrêter de pleurnicher hein, à ton age. La prochaine fois que tu me fais une histoire pareille je te

déculotte devant tout le monde, comme la fois ou tu as cassé le vase de ta tante."

 

Elle reprit de plus belle la correction, devant le regard d'une salle d'attente amusé par le ridicule de la situation.

 

Avant de repartir, la postière se penchant sur le derrière tremblant de Sandrine dit à la mère "Eh bien, vous au moins vous n'y allez pas de main morte. Je serai vous mademoiselle je serai bien sage la prochaine fois" A

bientôt Docateur, et elle quitta la pièce. Carolina la raccompagna, oubliant cette fois de nouveau de refermer la porte.

 

La mère s'arrêtant dit alors "Maintenant tu vas arrêter de pleurnicher sinon je demande au docteur de me remplacer et ce sera cul nu cette fois."

 

"Oui Maman je suis sage, arrêrte, je t'en prie arrête, j'ai trop honte" gémissait la jeune fille.

 

"Allez déshabille toi maintenant et vas te mettre sur le lit" ordonna la mère.

 

"Mais maman, la porte..." pointait la jeune fille timidement en sanglotant.

 

"Encore un mot et tu y a droit..." dit la maman.

 

Mortifiée, la jeune fille tournant le dos à la porte, se mit lentement à défaire son justaucorps. Mais alors qu'elle allait baisser le haut, la secrétaire de retour, referma la porte derrière elle.

 

Puis on n'entendit plus la jeune fille se plaindre, si ce n'est une petite claque sèche sur la fesse au moment où elle se contracta pour l'intromission de la poire, alors que le docteur donnait ses indications sous le regard attentif de la mère qui observait attentivement.

 

En sortant, on eu juste le temps de voir la jeune fille rouge de honte qui n'osait nous regarder et qui passa rapidement devant la salle vers la porte de sortie.

La mère en sortant lui dit "Maintenant on file à ton

entrainement; tu as perdu assez de temps. Tu as pas intérêt à me faire des histoires sinon tout le monde saura que tu as reçu la fessée."

 
 
Publié dans : bizutages
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