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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 16:44

C'était la rentrée à la fac, le premier mardi d'octobre à 8h00 du matin. Maryse dispensait alors son premier cours de l'année devant l'amphithéâtre bondé. Une femme magnifique de 35ans, blonde aux longs cheveux, avec des yeux verts aussi brillants que des émeraudes. Elle était professeur de droit civil, et enseignait cette matière aux élèves de première année.

Sa réputation n'était plus à faire: excellente dans son domaine, elle n'avait aucune autorité, et son cours devenait trop vite "le cirque"! L'administration lui avait donné une dernière chance de "tenir" son cours. Si à la fin de l'année, l'amphi n'était pas plus calme, ce serait la porte et le chômage.

Maryse avait longtemps réfléchi au sujet. Déprimée au début de la mise en garde, elle se ressaisit et décida d'employer les grands moyens...

Dans la vague d'étudiants qui déferlait dans l'amphithéâtre, on pouvait remarquer Stéphanie, une belle jeune fille de 18ans, toute pimpante, une brune aux cheveux mi-longs, et aux yeux d'un bleu presque trop profond. Elle était vêtue d'un jean bleu clair très serré aux bas évasés, d'un chemisier froufroutant blanc, d'une veste cintrée noire, et de très jolies bottes noires avec des talons hauts de 10cm. Elle riait beaucoup avec ses amies, jusqu'à ce qu'elles soient assises sur les bancs.

La jeune professeur se tenait debout à coté de son bureau, au centre de l'estrade. Elle portait un petit tailleur gris clair, veste cintrée et minijupe moulante, une sorte de body noir sous la veste, des bas noirs gainant ses magnifiques jambes, et des escarpins à brides aux talons aiguilles vertigineux, au moins 12cm.

Elle souriait en regardant s'installer les élèves. Le cours commença, puis 5minutes après, commencèrent les chuchotements.
"Mademoiselle!!?? Oui vous là-bas! Quel est votre nom?" - "heu... Stéphanie... Stéphanie Martin...". La jeune étudiante en devint tout rouge... Ceci eût pour effet de calmer les étudiants pour un moment.

Mais voilà, les formes et la tenue sexy de la prof, son manque d'autorité connu, ont réactivé bien vite l'excitation et les bavardages de l'amphi. "Stéphanie Martin!!! Ca suffit maintenant!! Deux fois!" Stéphanie était vexée de s'être fait une nouvelle fois reprendre. Elle ne chahutait pas plus que les autres.

A la troisième interruption du cours Maryse s'adressa une nouvelle fois à Stéphanie. Elle devait lui en vouloir... "Descendez me voir, et laissez votre veste là-haut! Dépêchez-vous!!!". Stéphanie obéit et bien mal assurée, assez inquiète et humiliée, descendit l'escalier pour retrouver sa prof sur l'estrade.

Maryse prit la parole en direction de l'amphi: "Veuillez m'excuser pour cette interruption de 5 minutes, mais c'est la faute de votre camarade. Je m'occupe d'elle, et ensuite je reprends le cours!" dans un silence général, Maryse s'adressa à la pauvre Stéphanie. "Ainsi donc tu bavardes et perturbes le cours ? Je vais y remédier." Maryse ouvrit un tiroir de son bureau. Stéphanie voyant le contenu écarquilla les yeux.

"Mets tes mains dans le dos jeune fille!" Stéphanie, hésitante, humiliée, mais résignée, obtempéra lentement. Maryse sortit vite une corde du tiroir et attacha les poignets dans le dos de la jeune étudiante: paume contre paume, le plus serré qu'elle put. Ensuite, continuant le "rituel", sortant une corde du tiroir, elle fixa ensembles les coudes de l'élève par de nombreux tour de cordes.

Stéphanie était surprise et très humiliée. L'amphi ne bougeait pas. Pas un mot, pas un bruit, la surprise totale, l'effarement général. Maryse sortit alors un énorme bâillon-boule rouge harnais. Elle le boucla de toutes ses forces autour de la tête de la jeune fille, enfonçant bien la boule dans la bouche. Stéphanie, ne tarda pas à saliver. Maryse continua son ligotage comme une pro.

Elle sortait une à une les cordes du tiroir pour s'en servir cruellement pour le corps de Stéphanie. Une passa très très serré autour de la taille et fut attachée au lien des poignets. Ceci plaqua les mains de l'étudiante sur les reins, et étranglait sa taille. Comme cette corde était très longue, deux bouts pendaient des poignets. Maryse entreprit de les passer entre les jambes de la punie, puis de les remonter sur le ventre, les passant sous la corde de la taille. Et puis le chemin inverse, repassage entre les jambes, pour revenir vers les poignets...

Maryse tira très fort ces bouts pour qu'ils reviennent pouvoir se fixer aux poignets... Un crotchrope à 4 cordes sur le jean de l'étudiante qui gémissait sous le bâillon. Maryse fit mettre sa victime à genoux, en l'aidant bien sur, puis la fit s'allonger sur le ventre. L'élève se sentait de plus en plus humiliée. Maryse s'accroupit près d'elle, et on put apercevoir la jarretière de ses bas...

Elle avait deux cordes de même longueur dans les mains. Elle enroula la cuisse gauche de la punie, par deux tours de cordes bien serrés. Elle fit un nœud sur l'arrière, laissant encore deux longs brins dépasser... Elle replia la jambe gauche de Stéphanie, et les brins restant lui permit d'attacher la cheville tout contre l'arrière de la cuisse, le talon de la botte "enfoncé" dans la fesse...Comme elle procéda de la même façon avec l'autre jambe, la cruelle prof de droit venait d'installer son élève dans un frogtie des plus sévère.

Cette dernière se débattait à coté du bureau, tandis que Maryse prit enfin une dernière corde. Elle la passa sous le crotchrope en haut des fesses (au plus près des poignets). Un bout dans sa main gauche, elle fit passer l'autre bout dans l'anneau de métal situé au sommet du harnais bâillon-boule, au sommet de la tête de la jeune fille...

Elle tira les deux cotés très sévèrement, afin que les deux bouts se rejoignent au niveau du lien des coudes. Une fois ces bouts fixés, on put comprendre que cela avait pour effet de tirer la tête de Stéphanie vers l'arrière, et on se doutait que cela exerçait aussi une forte pression sur son entrejambe...

Maryse se releva et sourit en contemplant son œuvre. Fière et sure de son effet elle toisa les visages incrédules de l'assemblée: "Voilà, quand on perturbe mon cours maintenant, on s'expose à une punition..." Puis elle reprit son cours dans un silence de cathédrale... Pas tout à fait total car on percevait les "mmpppfff" et autres gémissements étouffés par le bâillon. Point de lutte contre les liens... Trop serrés, trop bien faits, totalement indéfaisable, Stéphanie eut tôt fait de prendre le parti de la résignation.

La fille resta attachée toute la journée, même après que sa classe ait quitté le cours. Les autres années défilaient dans l'amphithéâtre, et Maryse expliquait la punition de Stéphanie. Et personne n'osait bavarder après...Le ligotage du matin servit d'exemple jusqu'à 18h.

Maryse n'eut plus de problèmes de chahut, et tout le monde la respecta... On reparla encore longtemps de cette entrée en matière, mais ni chez les élèves, ni chez l'administration, on a voulu l'ébruiter. Stéphanie quand à elle fut très humiliée. Elle était devenue la fille la plus connue du campus malgré elle. Mais par sa force de caractère elle digéra l'affaire, après un temps ou elle ne pouvait croiser les regards des camarades.

A l'université, on s'est souvent demandé pourquoi Stéphanie avait été "choisie" pour l'exemple, alors qu'elle ne chahutait pas plus, si ce n'est même moins, que les autres...

Bien c'est assez simple, c'est que Maryse, s'appelle Maryse Martin, et que Stéphanie est sa petite sœur !!! Et promis que la cadette n'était pas dans le jeu de l'ainée...
Comment je le sais ??? C'est que Stéphanie c'est moi!!!

 
Publié dans : bizutages
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