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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 14:25
Au théâtre
 

Depuis plusieurs jours, ils répétaient la pièce qu'ils allaient jouer dans un de ces petits théâtres érotiques qui attirent des cars entiers de touristes. Le propriétaire de la salle était une connaissance de Rodolphe : il accepta volontiers la proposition qui lui était faite d'une participation bénévole à son spectacle. Il fut donc convenu que Valéria et Rodolphe se produiraient un samedi, le jour où un car d'Allemands était attendu : quand Rodolphe décrivit le scénario, il apparut qu'un tel spectacle ne pouvait que satisfaire cette clientèle. Les différents meubles ou objets qui étaient nécessaires furent installés sur la scène.

Le moment fatidique est arrivé : nue sous son peignoir blanc, Valéria ,cachée derrière le rideau, voit se remplir la salle. Elle regarde ces hommes blonds et robustes s'installer. Leurs rires gras indiquent bien ce qu'ils viennent chercher. Et c'est devant eux que tout à l'heure, elle devra...Angoissée et impatiente à la fois, Valéria sent des images contradictoires se bousculer dans sa tête. Elle imagine déjà ce que sera sa honte quand des centaines d'yeux vont se fixer sur elle, sur son corps dénudé. En même temps, elle goûte par avance le plaisir qui accompagnera ce sentiment de honte, le plaisir de se livrer à ces inconnus, de savourer son humiliation.

Mais on vient l'avertir que le spectacle va commencer : elle se couche sur le lit, relève l'une de ses jambes de telle sorte que le peignoir révèle son genou et sa cuisse . Elle prend le livre qu'elle est censée lire (il s'agit de Justine ou les Infortunes de la vertu), puis elle appuie sur le bouton du petit magnétophone. On entend une douce musique sensuelle et envoûtante. Pendant ce temps, l'obscurité se fait dans la salle.

Lorsque le rideau se lève, elle sent que plus rien ne la sépare de la salle et qu'on la regarde même si ainsi couchée en train de lire, elle ne voit pas les spectateurs. Elle sait qu'on l'examine, qu'on observe ce qui est déjà visible de son corps dans l'attente impatiente de son total dévoilement. Elle entend le silence, les respirations un peu haletantes. Elle savoure ce moment où rien ne s'est encore produit, où elle pourrait s'imaginer seule dans une chambre bien fermée, puis au bout de quelques instants, elle se lève lentement, va se placer devant le grand miroir qui est tourné de trois-quarts vers la salle et qui reflète son image ; elle-même aperçoit dans le miroir quelques visages qui se perdent dans l'obscurité.

Lentement, elle écarte les pans de son peignoir pour dénuder sa poitrine. Désormais ses jolis seins fermes se reflètent dans la glace et tous les spectateurs peuvent les voir. En les caressant, elle peut sentir sous sa paume leur pointe se durcir. Puis elle défait la ceinture de son peignoir : on entrevoit déjà le reste de son corps, mais c'est le geste suivant qui est attendu par la salle. Valéria fait glisser le peignoir de ses épaules et le laisse tomber à terre. La voici totalement nue devant une centaine d'hommes excités par cette troublante vision. Elle imagine ce qu'ils peuvent voir : son dos voluptueux qui glisse délicieusement vers une charmante paire de fesses rebondies, ses longues cuisses satinées encore dorées de l'été. Ils peuvent aussi voir son ventre et sa toison blonde dans le reflet du miroir. C'est là que maintenant se portent ses mains. Toute troublée de se sentir ainsi totalement exposée devant tous ces hommes, elle pose sa main vers son sexe, s'insinue entre les lèvres déjà tout humides et ne peut s'empêcher de frissonner de plaisir à ce contact.

Pendant ce temps, sans faire de bruit, un homme vient d'entrer. C'est Rodolphe, qui après l'avoir contemplée silencieusement quelques instants éteint l'appareil. Au moment où la musique s'arrête, Valéria se retourne surprise. Rodolphe s'écrie : "Eh bien, c'est du joli!" Menaçant, il s'avance vers la jeune fille qui recule, terrorisée. De ses mains elle cache ses seins et son sexe. Toujours nue et craintive, pleine de honte, elle tente d'échapper à l'homme âgé - tuteur ou parent- qui implacablement se rapproche d'elle.

Lorsqu'ils arrivent sur le devant de la scène, il se saisit de son bras. Valéria tombe alors à ses genoux en implorant sa clémence. Mais l'homme la relève et la conduit vers le lit où il s'assoit en tenant toujours fermement la jeune fille. Il la force alors à s'allonger sur ses genoux. Pendant quelques instants la jeune fille reste immobile dans cette position et a le temps de se représenter le spectacle qu'elle offre. Nue et immobilisée, elle sent que ses fesses sont maintenant l'objet de toutes les attentions. Chacun de ces hommes pense à la fessée cuisante qu'elle va recevoir. Il désire sa souffrance et son humiliation.

Avec vigueur, Rodolphe lance une première claque qui retentit sur la peau nue. Valéria ne peut s'empêcher de gémir. Les claques sont espacées : entre chacune, Valéria songe à ce qui se passe et dont elle n'avait jamais rêvé dans le plus fou de ses fantasmes. Une centaine d'hommes la voient recevoir une cuisante correction sur ses fesses nues, jouissant de sa nudité et de ses plaintes. Les fesses lui brûlent mais une sournoise humidité s'insinue aussi entre ses cuisses. La punition dura bien une dizaine de minutes : en tout cas, elle parut fort longue à Valéria qui pourtant n'était pas contrariée de la sentir se prolonger ainsi. Rodolphe s'est relevé, la laissant allongée sur le lit, encore haletante et gémissante. Elle se sent bien ainsi : ses fesses toutes rouges sont exposées au public et elle éprouve du plaisir à se laisser voir ainsi, à abandonner son corps à tous ces regards avides.

Mais voici que Rodolphe lui demande de se retourner et de continuer ce qu'elle était en train de faire lorsqu'il l'avait surprise. A sa grande honte, elle dut relever ses jambes, les écarter le plus largement possible, puis porter sa main sur son sexe déjà humide. Elle n'eut pas de peine à ouvrir les lèvres de sa vulve que le plaisir naissant rendait toutes tendres. Elle pensa que les spectateurs qu'elle ne voyait plus pouvaient maintenant contempler l'intérieur de son sexe rose. A cette idée, elle se porta vers son clitoris qui déjà durcissait. Son doigt ferme le fit se dresser un peu plus tandis que des gémissements de plaisir commençaient à se faire entendre. Sans oublier qu'on la regardait avidement, elle se laissa envahir par son plaisir que le souvenir de tout ce qui venait de se passer rendait encore plus troublant. Elle sentit bien qu'elle ne pourrait plus retenir l'onde de volupté qui la submergeait et qu'elle allait crier sa jouissance devant tous ces hommes. Elle connut alors le comble de la honte et du plaisir et hurla son orgasme sans retenue.

Quelques instants après, elle se releva, le feu aux joues, pour venir saluer avec Rodolphe, au milieu d'un tonnerre d'applaudissements.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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