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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:38
Avignon.
 

C'est lors d'une visite occasionnelle chez mon médecin de famille que j'ai été le témoin d'une troublante féssée donnée par sa mère à une jeune fille.

Ce souvenir encore très présent remonte à il y a bien une vingtaine d'années, alors que j'étais encore étudiant dans dans une fac de Nice.

 

Habitant la banlieue proche, je me rendais chez le docteur G., une niçoise élégante d'une quarantaine d'années, et accesoirement notre médecin de famille depuis une dizaine d'années. J'y venais tous les ans pour me faire vacciner contre la grippe en ce mois de septembre encore très ensoleillé.
En arrivant ce samedi matin, je saluai Carolina la jeune secrétaire portugaise que le docteur venait d'engager. Cette jolie brune de vingt ans me faisais fondre avec son large sourire et ses grands yeux noisettes.

 

Notant mon arrivée elle me fit signe vers la salle d'attente en me prévenant que ce mois-ci, le cabinet du docteur étant en travaux de réfection, les visites se dérouleraient dans une pièce attenante, aménagée pour l'occasion.

En effet, la pièce en question était juste en face de la salle d'attente. On entendait d'ailleurs distinctement le docteur qui était en train de parler à un patient, presque comme si on était dans la pièce, du fait surtout de la proximité.

Pénétrant dans la salle d'attente, je pris place sur une chaise donnant face à la porte du cabinet et m'apreçu qu'on pouvait aussi distinguer le docteur et son patient, couché sur le lit d'auscultation, ceci car la porte était en verre, légèrement marbré et donnait sur le milieu de

la pièce.

Mais ce détail ne me perturba pas plus que ça, étant venu pour un vaccin je n'avait pas grand chose à cacher. Néanmoins je trouvais que cela pouvait manquer de discrétion à l'occasion.

 

Prenant une revue, je saluai l'ensemble des patients et fis un rapide tour d'horizon de la salle pour aperçevoir cinq personnes qui étaient déjà installées : une femme d'âge mûr, une jeune étudiante en jean et t-shirt ceintré, un homme âgé, et une jeune fille accompagnée par sa mère très "collet monté" dont l'élégance et la stature hautaine me surpris.

Elle avait un accent du sud très prononcé et une voix sèche, et semblait mécontente envers la jeune fille. Pretant l'oreille je compris qu'elle lui reprochait de ne pas assez travailler à l'entrainement et qu'elle n'avait que quelques jours avant son concours de gymnastique. La jeune fille - qui, je l'appris par la suite avait dix-sept ans - a immédiatement attiré mon regard, avec son nez pincé et sa bouche en cul de poule elle faisait très fille à maman.

L'air coincée elle n'en était pas moins charmante avec son chignon blond tirés bien au dessus de la tête et un physique développé pour son âge. Elle était en bas de survêtement rose fushia et en petites basquettes, et portait un justaucorps bleu ciel brillant qui faisait parfaitement ressortir une poitrine ferme et frémissante. Elle baissait la tête devant sa mère l'air pas commode et autoritaire, qui rouspétait je ne sais quoi encore.

 

Le docteur venait de libérer son patient qu'elle raccompagna et entra en appelant :

 

"Melle De La B. veuillez entrez s'il vous plait"

 La jeune fille se leva précédée de sa mère et toutes deux entrèrent dans le cabinet du docteur qui referma la porte. Étant assis juste devant, je pouvais distinguer le docteur à son bureau et les deux femmes assises en face. On entendait de plus assez nettement leurs conversations dans la salle d'attente dont la porte était restée grande ouverte.

 

"Bonjour Docteur" dit la mère. "Merci de nous recevoir si vite, je suis passée chercher Sandrine à son entrainement de gymnastique quand j'ai su qu'il vous restait de la place... comme vous voyez elle est encore en tenue.

Elle a une compétition dans 2 jours et je ne veux pas qu'elle soit génée par son petit désagréement..."

 

"Très bien Madame, vous avez bien fait de l'amener, je pensais qu'avec les suppositoires sa constipation serait passée mais visiblement il semble qu'elle ai toujours des soucis digestifs... Alors Sandrine, comment vas-tu depuis la semaine dernière ? As-tu encore des crampes ?" demanda le docteur.

 

"Ca va bien docteur je ne suis presque plus constipée..." répondit la jeune fille vite intérrompue par sa mère.

 "Sandrine ne dis pas n'importe quoi, tu n'as pas été à la selle depuis quatre jours. Docteur, c'est son entraineur qui m'a dit qu'elle était contractée et qu'elle avait encore des crampes qui la génaient dans ses exercices. Elle ne veux rien me dire mais je la connais bien.

Vous m'aviez
conseillé des examens complémentaires mais je ne les aurais pas avant une semaine et son concours approche, que peux-t-on faire ?"
"Eh bien Madame, il y a bien un remède complémentaire que je préconise à
certains patients et qui a un effet à très court terme... Cela ne peux pas faire de mal d'essayer, à condition que vous soyez d'accord"

"Eh bien de quoi s'agit-il Docteur ?"

 

"Il s'agit tout simplement d'un lavement à base de sels. On oublie souvent que c'est un des remèdes les plus éfficaces contre ce type de problèmes."

 "Ma fois je n'y avais pas pensé et je ne savais pas qu'on les employait en votre cabinet, mais si cela peut être utile alors je suis d'accord, n'est ce pas Sandrine."
 

"Mais c'est quoi un lavement Docteur ?" répondit la jeune fille.

 

"Eh bien Mademoiselle il s'agit d'un liquide à base de sels que l'on injecte dans le rectum par l'intermédaire d'une poire en caoutchouc. Cela ne fait pas mal du tout même si c'est un peu désagréable."

 

"Mais je peux le faire toute seule à la maison non ?" répondit Sandrine avec inquiétude.

 

"Eh bien une fois que je vous aurais montré la technique vous ou votre mère

pourrez le pratiquer sans problèmes. Au début, je conseille à votre mère de vous assister dans la préparation qui doit être minutieusement respectée...

Juste un instant Mademoiselle, j'appelle ma secrétaire pourqu'elle m'aide à préparer le nécessaire"

 

Quelques seconde après on vit Carolina arrivant devant la porte. Je regardait discrètement juste le temps d'aperçevoir la jeune fille en justaucorps assise et quelque peu perturbée par cette perspective, avec sa mère à ses côtés qui semblait convaincue. Juste avant de refermer la porte, je vis le regard inquiet de la fille se dirigeant vers la secrétaire.

 

"Docteur, je préfère le faire moi-même à la maison, si vous nous expliquez la préparation je saurais..." disait timidement Sandrine.

 

"Mais enfin Sandrine, puisque le Docteur dit qu'il faut que ce soit elle qui fasse le premier. En plus je paye une consultation alors c'est pas pour y retourner dans deux jours non ?" répondit-elle froidement à sa fille.

 

"Mais maman je veux pas ici, je veux pas..."

 

"Mademoiselle, soyez raisonnable cela ne sera pas long. Pendant que Carolina prépare la solution, je vous demanderai de bien vouloir retirer tous vos vêtements et les poser sur votre chaise, ensuite vous irez vous allonger à plat ventre sur le lit".

 

Il y eu un long silence et la fille semblait ne pas bouger. Au fond de la salle, on entendait la secrétaire qui faisait couler de l'eau et préparait des ustensiles.

 

"Mademoiselle, vous m'avez entendue ? J'ai du monde qui attends alors soyez gentille et déshabillez vous pour qu'on puisse commencer." fit le docteur marquant son impatience en tapant du pied au sol.

 

"Maman je te répète que je vais mieux et puis je veux pas qu'on me fasse ce truc maintenant. Je peux pas continuer à prendre les suppositoires ?"

 

Pendant ce temps, dans la salle d'attente, on devinait quelques sourires amusés face aux manières de la jeune fille devant une situation peu banale.

Cela en devenait même gênant quelque part.

 

"Ecoute Sandrine" reprit la mère..."Arrête de discuter tout ce que je dis.

Tu vas recevoir ce lavement et ensuite on fera les autres à la maison,maintenant déshabilles toi à la fin! On perd du temps."

 

"Enfin Sandrine, une grande jeune fille comme toi qui fait des manières pour si peu c'est pas raisonnable" dit le docteur comme si elle parlait à une fillette.

 

"Non, non et non, je vous répète que je veux pas... J'ai dis non, mince alors !" repondit la jeune fille pleine de frustration et haussant le ton devant sa mère.

 

"Oh mais quelle impertinence!" s'exclama le Docteur.

 

"Voyez docteur comment sont éduquées les jeunes filles de nos jours. Il y a encore quelques années elle aurait pris une bonne fessée mais aujourd'hui..."

 

"Mais madame, et avec tout le respect que je dois à votre fille, croyez-vous qu'à cause de ses dix-sept ans elle en soit exempt. C'est regrétable à dire mais c'est parfois le seul moyen qu'il nous reste. Demandez à Carolina ce qu'elle en pense ?"

 

"Eh bien moi si c'était ma fille je l'aurai fessée sur le champ." répondit

la secrétaire sans hésiter. Je les trouvaient bien arrogante et cruelle mais en même temps cela m'amusait de voir la réaction génée de cette fille.

 

"Ma fois vous avez toutes deux raison. J'ai été trop faible ces derniers temps et il est temps de remettre les choses en ordre" dit la mère, se levant brusquement et se tournant vers sa fille ébahie.

 

"Docteur j'espère que vous m'excuserez auprès de vos patients mais ma fille ne sortira de chez vous qu'après une bonne leçon, et ce malgré ses dix-sept ans."

 

"Mais je vous en prie Madame, je crois qu'elle l'a bien mérité" acquiesca le Docteur.

 

Au moment ou la mère se saisit de sa fille, celle-ci se débattant hurlant

"Non! Non! maman, pas la fessée, pas devant tout le monde, je fais ce que me dit le docteur... je suis sage, voilà je vais obéir..."

 

"Il fallait l'être avant ma petite... tu t'es bien moquée de nous hein! et bien tu vas voir ce qu'on leur fait aux têtues et au mal élevées dans ton

genre"
 

Les patients en salle d'attente tendaient discrètement le regard, quelque peu abassourdis par la situation.

 

"Eh bien moi j'aurais fait pareil" dit la dame qui était à ma droite, en s'adressant ouvertement à nous. Je n'osai lui répondre que par un sourire perplexe tant j'étais géné et excité en même temps.

 

La Mère s'était apparemment emparée de sa fille qu'elle avait basculée en travers de ses genoux, face contre terre, le visage de sa fille faisant face à la porte. Elle avait baissé son bas de survètement et fessait copieusement

le derrière dont le justaucorps emprisonnait la croupe ferme et dodue,faisant résonner les claques sèches dans toute la salle.

 

Les cris de la fille se faisaient plus vigoureux alors qu'on entendit une sonnerie, pensant qu'il s'agissait d'un
nouveau patient. On entendit la porte d'entrée s'ouvrir et on vit s'approcher une postière qui portait un petit colis avec un recommandé, attendant devant le bureau de la secrétaire. Je

guétait alors insidieusement le moment ou la secrétaire allait ressortir du cabinet et ouvrir la porte. Je vis quelques têtes se pencher de mon côté vers l'ouverture alors que l'ombre de la secrétaire se rapprochait de l'entrée... elle ouvrit la porte précipitamment, ce qui nous donna à peine le temps de voir la jeune fille gémissant ses grands dieux, la mère la ceinturant solidement, une main tirant sur le fond de culotte du justaucorps, dévoilant une jolie paire de miches ; et l'autre main fessant énergi- quement la croupe.
La secrétaire referma malheureusement aussitôt la

porte derrière elle.

 Celle-ci passa devant nous en s'excusant rapidement pour tout le remue-ménage et le retard causé et reçu la postière. Il s'agissait apparemment d'un recommandé personnel que le docteur devait signer.

Un peu
génée elle s'approcha de la porte du cabinet en disant à voix haute :"Docteur c'est pour vous, pouvez-vous venir un instant ?"
"Non Carolina je prépare une solution et je suis en retard, si c'est Madame
Riou faites la rentrer je la connais bien, avec la permission de Madame."répondit-elle.
 

"Je vous en prie docteur, je vous ai fait perdre suffisamment de temps, et puis ça lui apprendra à cette tête de pioche à me contre dire hein."renchérit la maman furieuse.

 

Carolina ouvrit donc la porte de nouveau et se posta juste à l'entrée en attendant que la postière toute étonnée du vacarme que causait cette jeune fille, veuille bien rentrer dans le cabinet.

 

Même si je trouvais cela humiliant pour la jeune fille, pour nous patients, ce fut l'occasion d'asister en coin à une belle danse de fesses que Sandrine ne parvenait plus à contenir. La pauvrette ne s'était même pas rendue compte que presque toute la salle d'attente penchait la tête de côté vers l'ouverture pour l'apercevoir. Carolina restait plantée au milieu, légèrement sur le côté, comme si elle ignorait que la porte de la salle d'attente était grande ouverte, attendant que la postière traverse le

cabinet et aille faire signer le recommandé.

 

Passant devant la mère et regardant la fille, la postière émit un sourire moqueur et dit en plaisantant comme si elle s'adressait à une gamine de dix ans "Eh bien qu'est ce qu'elle à fait la vilaine pour mériter pan pan cul

cul ?"
 "Mademoiselle fait des histoires pour un lavement, si c'est pas une honte à son âge !" rétorqua la mère tout en continuant de fesser sa fille énergiquement devant tout le monde.

 

La postière mit son temps à s'approcher du Docteur qui était en pleine préparation du plateau et de la poire à lavement. C'est alors que la jeune fille s'aperçut que la porte était grande ouverte et que tout le monde la
regardait, la secrétaire ne cachant que la moitié du champ de vision.

 

Le visage déjà mortifié de la fille passant du rose au rouge vif, elle se mit à rugir et à se débattre davantage en hurlant "Noooon...pas devant tout le monde ! Maman arrête je t'en prie la porte est ouverte...j'ai trop honte... assez !" et la jeune fille se mit à fondre en sanglots se cachant le visage des deux mains.

 

"Ah tu as honte et bien ça t'apprendras à me tenir tête. Comme ça tout le monde sauras que tu es une mal élevée. Tu vas arrêter de pleurnicher hein, à ton age. La prochaine fois que tu me fais une histoire pareille je te

déculotte devant tout le monde, comme la fois ou tu as cassé le vase de ta tante."

 

Elle reprit de plus belle la correction, devant le regard d'une salle d'attente amusé par le ridicule de la situation.

 

Avant de repartir, la postière se penchant sur le derrière tremblant de Sandrine dit à la mère "Eh bien, vous au moins vous n'y allez pas de main morte. Je serai vous mademoiselle je serai bien sage la prochaine fois" A

bientôt Docateur, et elle quitta la pièce. Carolina la raccompagna, oubliant cette fois de nouveau de refermer la porte.

 

La mère s'arrêtant dit alors "Maintenant tu vas arrêter de pleurnicher sinon je demande au docteur de me remplacer et ce sera cul nu cette fois."

 

"Oui Maman je suis sage, arrêrte, je t'en prie arrête, j'ai trop honte" gémissait la jeune fille.

 

"Allez déshabille toi maintenant et vas te mettre sur le lit" ordonna la mère.

 

"Mais maman, la porte..." pointait la jeune fille timidement en sanglotant.

 

"Encore un mot et tu y a droit..." dit la maman.

 

Mortifiée, la jeune fille tournant le dos à la porte, se mit lentement à défaire son justaucorps. Mais alors qu'elle allait baisser le haut, la secrétaire de retour, referma la porte derrière elle.

 

Puis on n'entendit plus la jeune fille se plaindre, si ce n'est une petite claque sèche sur la fesse au moment où elle se contracta pour l'intromission de la poire, alors que le docteur donnait ses indications sous le regard attentif de la mère qui observait attentivement.

 

En sortant, on eu juste le temps de voir la jeune fille rouge de honte qui n'osait nous regarder et qui passa rapidement devant la salle vers la porte de sortie.

La mère en sortant lui dit "Maintenant on file à ton

entrainement; tu as perdu assez de temps. Tu as pas intérêt à me faire des histoires sinon tout le monde saura que tu as reçu la fessée."

 
 
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:37
Fessés à la fac

La fac de droit est un endroit exceptionnelle pour toute sorte de découvertes. C’est notamment là que j’ai découvert le plaisir de la fessée. Je partageais un TD avec Florence, une amie plutôt jolie et bien faite. La prof était une jeune femme d’une trentaine d’années qui me plaisait beaucoup. Malgré cela je n’étais pas très attentif en cours et mes résultats s’en ressentaient.

Malgré tout, je réussissais à me faire remarquer par la prof, parfois en bien grâce à mes interventions mais souvent en mal en discutant avec Florence. Un soir à la fin du premier semestre, la prof vint nous voir en nous disant qu’elle était assez mécontente de nous car nos résultats étaient mauvais et que nous l’empêchions de faire correctement son cours. Elle nous indiqua par ailleurs avoir un problème important dont elle voulait nous parler. Mais comme elle était pressée, elle nous demanda de passer chez elle le lendemain soir.Nous n’avons pas fait particulièrement attention à ses réprimandes et le lendemain soir, comme convenu, nous avons sonné chez elle. Elle habitait un petit appartement coquet dans le centre de Paris et nous reçut habillée en tailleur, comme à son habitude.

À peine installés sur son canapé, nous fûmes surpris par la teneur de son discours. Outre les reproches habituels de bavardage, elle nous accusait d’avoir triché au partiel en copiant l’un sur l’autre (ce qui était parfaitement exact). Elle nous disait que le professeur titulaire ne s’en était pas aperçu mais qu’elle ne pouvait pas laisser passer ça. La sanction d’une tricherie aux examens étant le renvoi de la faculté, nous ne faisions plus du tout les fiers.

Elle nous proposa toutefois un « arrangement » : comme nous nous comportions comme des gamins, elle allait nous fesser comme tels. J’avoue avoir ri lorsqu’elle formula cette proposition. Elle pas du tout. Je compris alors qu’elle était sérieuse. Je fantasmais depuis longtemps sur le fait de recevoir une fessée par une belle femme, mais la recevoir devant Florence était une toute autre chose. Florence ne faisait d’ailleurs pas la maligne mais ne voulait pas non plus être renvoyée de la fac. Elle accepta donc la proposition la première.

Je tentais pour ma part de discuter en lui disant que cette proposition n’était pas sérieuse, nous avions 22 ans et elle ne pouvait nous donner une fessée. Contrairement à Florence, je n’imaginais pas que cette fessée puisse être donnée autrement que cul nu. Mais ma prof coupa court à toute discussion et me prit le bras : « Soit tu reçois la fessée que tu mérites, soit tu peux partir mais tu seras renvoyé de la fac ». Déstabilisé, je fus sans réaction, ce dont ma prof profita pour me faire allonger sur le rebord du canapé de son salon.

Elle commenca à me donner quelques claques sur mon jean pour me faire comprendre qu'elle ne plaisantait pas.

 Elle entreprit alors de dégrafer mon jean. Comme je tentais de réagir, elle me foudroya du regard, ce qui acheva de me soumettre à ses ordres. Je me retrouvais en culotte devant elle et Florence.


Elle me tira les cheveux en arrière pour bien montrer qui était le maître.
Une série de claques sur mon slip en coton m'arracha des cris de douleur. Mais cela ne faisait que commencer.
Elle déscendit mon slip sur mes cuisses, mettant à nue mon postérieur. J'étais rouge de honte.


J'avais les fesses (et donc le sexe) nues devant ma prof et Florence, prêt à être fessé comme un gamin. Florence n’en menait pas large mais se délectait de la vision que ma nudité lui offrait.

La prof me bascula sur ses genoux et repris sa fessée qui, cette fois, était beaucoup plus douloureuse. Mes fesses commençaient sérieusement çà chauffer et à devenir écarlates.


Je multipliais les efforts pour rester digne mais mes fesses commençaient sérieusement à me faire mal. Je tentais vainement de demander à ma prof de s’arrêter mais elle ne m’écoutait pas et les claques tombaient de plus en plus fort sur mes fesses. Cette fessée me parut durer un temps infini. J’entrevoyais Florence à quelques mètres de moi, moitié ravie du spectacle qui lui était offert, moitié inquiète de la promesse que ce même spectacle garantissait à ses propres fesses. La fessée s’arrêta finalement et ma prof m’ordonna de me mettre au coin, les mains sur la tête, face au mur et, bien sûr, les fesses nues.

Sans rien voir de ce qui se passait, j’entendis ma prof ordonner à Florence de baisser sa jupe et sa culotte et de se mettre en position sur ses genoux. Florence restait silencieuse mais j’entendis ses vêtement tomber et la fessée commencer. Ma prof ne fut pas plus clémente avec Florence qu’elle l’avait été avec moi, les claques tombaient sur ses fesses durement en longtemps. J’étais très excité par ce spectacle dont je ne percevais que les bruits et ne pus m’empêcher de tourner la tête pour m’en délecter.

Florence était allongée sur les genoux de ma prof, sa jupe était par terre et sa culotte n’était plus accrochée qu’à une seule cheville. Son t-shirt remontait jusqu’au bas de ses seins. Elle tentait d’éviter les claques en bougeant ses jambes et ses fesses mais ma prof la tenait fermement et tous les coups tombaient avec une merveilleuse précision sur ses fesses déjà bien rouges. Florence gémissait et poussait de petit cris, je sentais bien qu’elle ne résisterait pas très longtemps à ce traitement.

Ma prof s’aperçut alors que je les regardais, ce qui ne lui plut pas du tout. Elle me foudroya à nouveau du regard mais ne dit rien. Je n’en tournais pas moins la tête et assistait à la fin de la fessée de Florence en ne profitant que du son de cette fessée magistrale.

La fessée de Florence m’excitait terriblement et j’étais très gêné à l’idée que ma prof ou Florence découvre l’érection que je ne parvenait pas à maîtriser.

Ma prof envoya finalement Florence au coin à coté de moi sans rien ajouter. Nous étions l’un à coté de l’autre, échangeant quelques regards, les fesses rouges et bien chaudes. Florence découvrit avec sourire mon érection et je devinais que ma fessée lui avait procurer une excitation similaire.

Après un bon quart d’heure de coin, ma prof revint vers nous et nous annonça qu’après cet échauffement, la vraie fessée allait pouvoir commencer. À cet instant,  nous fûmes réellement inquiets. Mais c’était trop tard, nous étions matés et prêts à obéir sagement, comme deux petit gamins pris sur le fait.

Ma prof nous annonça que nous allions recevoir chacun deux fessées supplémentaire, la première avec une brosse et la seconde avec une badine. Elle nous ordonna de nous déshabiller entièrement et de venir la voir, ce que nous fîmes sans protester.

Assise sur son canapé, ma prof regardait ses deux étudiants nus et la tête baissé, les fesses déjà rougies. « Bien, nous allons commencer par Florence cette fois-ci » annonça-t-elle. « Mets toi à quatre pattes la tête et les mains posées sur le canapé », Florence s’exécuta promptement et ma prof sorti sa badine. J’avais déjà mal rien qu’en voyant cet instrument. Un premier coup tomba sur les fesses de Florence SCHLAKKK !, Florence cria et ses yeux devinrent humides. Manifestement ma prof avait une bonne pratique de la badine et n’y allait pas de main morte. Une zébrure traversait les fesses de Florence qui suppliât la prof d’arrêter. « Je te recommande de te taire, tu vas sagement encaisser les 10 coups que tu mérites » fut la seule réponse de notre bourreau.

SCHLAKKK ! « un » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « deux » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « trois » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « quatre » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « cinq » annonça ma prof.

Florence était déjà en larme et s’accrochait tant qu’elle pouvait au canapé.

SCHLAKKK ! « six » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « sept » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « huit » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « neuf » annonça ma prof, SCHLAKKK ! « et dix » annonça enfin ma prof avec un sourire de contentement.

« À ton tour mon petit » m’annonça-t-elle, « « quant à toi Florence, ne bouge pas de là ».

Je prix position à coté de mon amie, non sans appréhension. Florence avait en fait reçu onze coups de badine et je pensais m’en tirer avec seulement dix. Ma prof me précisa toutefois que j’en recevrait quinze (selon elle, étant un garçon, j’étais plus résistant) et que je devrais les compter.

SCHLAKKK !, le premier coup tomba férocement et m’arracha un cri. Je réussi à balbutier « un », SCHLAKKK !, les larmes me montaient aux yeux tandis que j’énonçais « deux ». au troisième coups je pleurais comme Florence et commençais à gémir. SCHLAKKK !, « trois », SCHLAKKK ! « quatre », SCHLAKKK ! « cinq », SCHLAKKK ! « six », SCHLAKKK ! « sept », SCHLAKKK ! « huit », SCHLAKKK ! « neuf », SCHLAKKK ! « dix ». j’aurais voulu qu’elle s’arrête enfin mais je savais qu’il était inutile de lui demander. Je serais les dents en attendant les cinq derniers coups.

SCHLAKKK !, « onze », SCHLAKKK !, « douze », SCHLAKKK !, « treize », SCHLAKKK !, « quatorze », SCHLAKKK !, « quinze ». j’étais meurtri, à bout de souffle et de courage.

« Retournez au coin tous les deux dans la même position que tout à l’heure » ordonna finalement ma prof. Cette mise au coin fut un vrai bonheur et soulagea (momentanément) nos fesses endolories.

Nous savions tous les deux qu’il restait encore l’épreuve de la brosse et nous n’imaginions pas réussir à la surmonter. Nos fesses étaient brûlantes, écarlates et rayées des marques de la badine. Une demie heure passa ainsi, en silence. Enfin ma prof revint vers nous. J’avais à nouveau une érection à force d’admirer les jolies fesses de Florence et cet état n’échappa bien évidemment pas à notre fesseuse.

« Je vois que cette punition vous plait ! Très bien, nous allons donc continuer ». Je tentais de lui dire que nous avions compris mais il était bien trop tard. Elle nous emmena dans sa chambre et nous fit allonger sur son lit l’un à coté de l’autre. « Celle-ci vous allez la recevoir ensemble ».

Allongés l’un à coté de l’autre, nous reçûmes à nouveau une vigoureuse fessée. Ma prof ne s’arrêta que lorsqu’elle ne pu plus. Nous étions tous les deux en larmes et nos fesses nous brûlaient. Ma prof nous a alors apporté une crème à nous passer sur les fesses pour calmer le feux de toutes ces fessées. Ce moment fut délicieux pour nous et pas seulement parce qu’il calma la douleur de nos postérieurs…

À compter de ce jour, nous n’avons plus jamais été dissipé en TD avec cette prof et avons eu de très bons résultats à nos examen de fin d’année. Nous n’avons jamais parlé de cette histoire à personne.

Pour ma part, je garde un cuisant mais excellent souvenir de cette première « vraie » fessée reçu, qui en a appeler beaucoup d’autres. Je sais que Florence en a garder aussi un excellent souvenir.

 
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:35

Le souffre-douleur.


Je suis un homme de 32ans blond aux yeux bleue, sans me venter je suis plutôt mignon, grand mince, mis a part un petit ventre qui commence a naître.
Quand j'étais petit j'étais très peureux, a l'école tout le monde se moquait de moi, c'était vraiment horrible, de plus je ne savais pas me défendre, donc je me laissais faire.
Tout commence a l'âge de 15ans, en classe 2 mecs n'arrêtaient pas de m'enbéter, l'un des 2 était assis derrière moi, il s'amusait a me donner des coups de règle plate sur la nuque, et moi je n'osais pas me rebiffer. A l'école j'étais nul et cela n'arrangeais pas les choses, je devais avoir 3 de moyenne.
C'est grâce a ma voisine de classe Anouck que Noël a cessé de me frapper la nuque:
-tu arrête un peu de le faire chier!!! dit elle en se retournant vers lui.
-Bon sa va j' arrête. dit-il.
-et toi dit Anouck en se tournant vers moi -tu ne sait pas te défendre!!?? montre un peu que tu as des couilles bordel !!
Noël éclata de rire et ajouta: -non il en a pas, il est complètement con!!
-oh!! toi sa va!! hein dit Anouck.
Enfin la sonnerie qui annonce la fin du cour retenti, c'est l'heure de la récré. Je me précipite dehors et m'assois sur un banc a l'écart des autres.
Je vois Anouck se ramener vers moi et même s'assoir a coté de moi.
-qu'est-ce qui t'arrive? me dit elle
-quoi!! il m'arrive rien... lui répondis-je.
-Si je le vois bien, tes notes sont catastrophiques, et en plus tu te laisse emmerder par ce gros connard de Noël!!
-et alors de quoi tu te mêle!!??
-Je veux juste t'aider un peu... je connais une fille qui peu te donner des cours, sa te dis?
-ôoohhh!! je m'en fou fais ce que tu veux...
-attends moi a la sortie de l'école je te la présenterais. dit Anouck la rousse.
-ouais si tu veux...
Anouck est partie rejoindre ces amies, de savoir qu'il y avait quelqu'un qui se préoccupait de moi me toucha beaucoup, je couru dans les chiotes pour pleurer...
Par respect pour Anouck je l'ai attendu a la sortie de l'école. Quelques minutes plus tard je l'ai vu arriver avec une grande brune aux yeux noir, très jolie, je dirais même que c'était un canon. J'étais très timide et quand Anouck me présenta Julie, je me suis mis a baffouiller des mots inaudible en rougissant comme une tomate.
Julie avait a l'époque 24ans, je la croisait souvent elle habitait en face de chez moi, une fille très discrète . Très vite je suis tombé amoureux d'elle, ce qui a compliqué les choses.
Donc Julie accepta de me donner des cours en échange je devais lui faire la vaisselle et lui passer l'aspirateur de temps en temps.
Les cours se passaient plutôt mal, elle n'arrêtait pas de m'engueuler parce que je n'apprenais rien, et que si sa continuait elle allait employer la manière forte, moi je ne l'écoutais pas, je n'ai jamais pu apprendre quoique ce soit a l'école et c'est pas avec elle que sa allait changer.
Puis au quatrième cours elle perdit patience:
-Bon sa suffit!!! lève toi et baisse ton pantalon!! cria t'elle.
-Quoi?? Non mais sa va pas tu es folle!!! dis je. Je reçu une gifle comme jamais je n'en avais reçu, mes parents ne me frappais jamais au visage, dailleur il ne me frappait jamais. J'en restais muet, j'ai obéit les larmes aux yeux, j'ai déboutonner mon pantalon, mort de honte d'être en slip devant une fille.
-tourne toi et penche toi, les 2 mais sur le bureau!! vite!!!....Bien, baisse ton slip!!
-oh non!! s'il te plait pas ça!!!dis je.
-Dépêche toi!! N’aggrave pas ton cas!!
Je le baissais donc a mis cuisse, elle se tenait debout derrière moi, elle ne voyait que mes fesse et cela me soulagea un peu qu'elle ne vois pas mes parties intimes.
Elle s'approcha de moi me pris par la taille, et me donna une claque sur la fesse droite.
Surpris, je poussais un cri.
-Aiiiie!!!!
Puis une autre sur la fesse gauche, puis une autre, elle accélèrerait le rythme des claques sur mes fesses, elle frappait fort, mes fesses commençaient à me cuire, j'ai éclaté en sanglot en poussant des cris. Cela a duré une bonne dizaine de minutes.
-voila, maintenant tu vas te mettre au travail!! est-ce que c'est bien compris??!!!
-oui... oui, j'ai compris... dis-je en remontant mon slip et en reniflant mes larmes.
-Bien, je te laisse travailler, tu as une heure pour apprendre, si quand je reviens tu n'as pas appris, tu vas morfler, je te préviens.
Je me suis mis au travail, j'ai appris le premier paragraphe, puis étant seul dans son appartement je suis allé dans la salle de bain, j'ai regardé mes fesses, elles étaient toute rouges, elles me cuisaient terriblement. Tout à coup j'ai senti une forte excitation monté dans mon ventre, mon sexe s'est dressé a m'en faire mal. Je suis retourné a mon bureau pour continuer d'apprendre, mais mon excitation ne passais pas, je frottais mes fesses contre la chaise, et malgré la cuisante douleur que sa provoquait je bandais encore plus.
Au moment ou je me m'étais décidé a me soulager, Julie est entrée. J'ai eu juste le temps de me rajuster, elle était déja sur moi.
-alors tu as bien appris ta leçon?
-euh....oui.dis-je les joues rouges comme une tomate.
-tu es bien rouge, tu as chaud?
-non sa va.
-Bien, si tu le dit... vas y récite moi.
Je récitais le premier paragraphe sans aucune hésitation.
-tu vois quand tu veux!! dit-elle en souriant, contante d'avoir réussi a me faire apprendre quelque chose. -continue... c'est bien
Puis plus rien, je n'avait pas appris le reste, je suis resté muet.
-Je n'ai pas eu le temps d'apprendre le reste... dis-je d'une toute petite voix.
-tu te fou de moi ou quoi!!! dit elle en devenant rouge de colère. -tu as eu une heure et demi pour apprendre!! tu vas voir tu vas t'en prendre une belle!! baisse ton pantalon! comme tout a l'heure!! dépêche toi sale morveux!!!
Cette fois elle s'arma d'une règle plate, et frappa fort, sans discontinuer, mes fesses me faisait horriblement mal et malgré que je pleurais et criais je bandais, c'etait pour moi une chose nouvelle, je n'arrivais pas a comprendre.
Julie ne s'est pas appercu de mon état, elle a jeté la règle et est partie dans le salon, en lâchant:
-dégage!! Je veux plus te voir!!
En rentrant chez moi je me suis enfin soulagé.

 

Le jeudi en fin d'après midi il était l'heure d'aller chez Julie, je n'osais pas car elle m'avait dit qu'elle ne voulait plus me voir. Le téléphone sonna:
-Allo!!
-ah c'est toi?!! qu'est-ce que tu fou!! je t'attends moi!! dit Julie.
-mais.. je... Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'elle avait déja raccroché.
En arrivant chez elle, elle m'attendais assise sur le canapé du salon. Elle portait une jupe courte dévoilant ses jambes et une partie de ses cuisses, je devinais que Julie devait avoir un corps splendide.
-j'ai réfléchis a ton sujet, puisque tu ne veux rien comprendre je vais être très sévère avec toi, a la moindre faute tu sera puni a partir de maintenant, et comme tu arrive en retard tu vas l'être et tout de suite!!! A poil!! sale gamin!!
-comment??....je... j'enlève tout???
-en plus tu es bête... oui idiot, je te veux tout nu!!
Je ne sais pas pourquoi j'ai obéit de suite sans discuter. J'étais très géné, elle me fixait, au moment d'enlever mon slip je l'ai regardé en la suppliant.
-dépêche toi!! regarde ce qui t'attend si tu n'est pas sage. dit elle en sortant un martinet dessous ces fesses.
-tu ne vas pas.... dis je debout devant elle, mes mains cachant mon sexe.
-il faut que je réflèchisse, viens t'allonger en travers de mes genoux, je vais te punir comme on puni les gamins.
Julie avait changé, je ne sais pas ce qui c'est passé mais sa façon d'être avec moi n'était plus la même, elle se serait énervé d'habitude, la elle restait très calme, sa voix était plus grave, plus rauque(je comprendrais plus tard que c'était parce qu'elle était excitée dans ces moments la) et très pausé, et toujours sur le même intonation de voix.
Je suis trés surpris de voir rentrer dans la pièce Anouck. Julie avait du préparer son coup pour qu'elles soient toutes les deux pour pouvoir me maîtriser plus facilement.
Elle me regardent et se moquent de moi. Nu devant elles, je n'ose pas dire un mot.

Allez, allonge toi sur moi, il est temps de te punir comme tu le mérite. dit-elle.
 

 

Je pris la position la plus humiliante(enfin jusqu’à présent) de toute ma vie.


Une main chaude se posa sur mes fesses relevées, Julie et Anouck me claquent sèchement les fesses, ce qui me fit crier. Elle se remettentt à me les caresser et au moment ou je m’y attendais le moins elle me donnent  de fortes claques.
  Julie alternait caresses et claques sur mes fesses, qui devaient être marquées de sa main.


  Anouck se mit a me donner une avalanche de claques, je me tortillais dans tout les sens sur ses genoux.
Les deux filles se mirent à me frapper les fesses avec une brosse à cheveux.


Malgré la douleur je sentais mon sexe durcir sous la fessée. Le plastic de la brosse me brulait les fesses à chaque coup, car la surface était trés rigide.


Mon derrière était en feu, mais j'avais une irrésistible envie de bander.

Je ne voulais pas que Julie découvre mon état, mais je n’arrivait pas a contrôler cette érection, c’était plus fort que moi.
Mais ce qui devait arriver arriva…
-Mais qu’est ce que je sens contre ma cuisse? ! S’exclama Julie. Trop honteux je ne répondais pas. Elle passa sa main sous mon ventre et ses doigts trouvèrent mon sexe durci, elle le tata un moment, puis se repris et dit:
-tu n’es qu’un sale gamin vicieux!!! Tu te frotte contre mes cuisses! Cria t’elle en me faisant tomber sur le sol a ses pieds. Alors que je tentais de me redresser, elle me gifla.
-on va voir si avec sa, sa t’excite toujours!! Dit elle en posant la brosse et en brandissant maintenant un martinet au longues laniere de cuir noire.
 -oh non!! S’il te plait pas ça!!!Dis-je ne pouvant m’empêcher de regarder entre ses cuisses qu’elle avait écartées en s’asseyant au bord du canapé, je pouvais voir le fond de sa culotte rose. Elle s’en appercu et me cingla le dos avec le martinet et dit:
-gros cochon que tu est!!! Tu n’as pas honte de regarder sous les jupes des filles!! Tourne toi! A quatre patte….tend bien ton cul!! Cambre toi et écarte les genoux!!
Malgré la honte et l’humiliation que je ressentais en offrant mon derrière de cette façon, j’obéissais à ses ordres, je bandais comme un fou pour elle, excité.
J’imaginais ce qu’elle pouvait voir, mes fesses qui s’ouvraient toutes seules due a la position, la raie et au milieu le petit trou plissé de mon anus, dessous mes testicules roses recouverte de poil chatin.
Une brûlure atroce sur mes fesses me fit crier, Julie sans m’avertir venait d’abattre les lanières avec force sur mon derrière.  Elle frappa une a une mes fesses, alternant la droite puis la gauche, elle me faisait terriblement mal.
-Alors tu bande toujours petit vicieux!!
Allonge toi sur le dos cria-t-elle.
Une fois allongé par terre, elle passe sa main entre mes cuisses et me tate le sexe et les bourses pour voir si j'étais encore exité. Je ne bandais plus du tout.


 Julie retire sa main et m'ordonne de me mettre sur le ventre.
Aussitôt un coup de martinet s’abat dans la raie de mes fesses, j’hurle, je pleure, me contorsionne dans tous les sens.
Elle frappe encore et encore, les lanières atteignent même mes testicules…c’est horrible!!

Anouck  qui assistait depuis un moment en spectatrice, me retourne à nouveau sur le dos et me prends les bourses dans ses mains en commencant à me les tordre.

Je hurle de douleur. Anouck tient dans sa main un testicule et elle le presse lentement en pincant la peau avec le bout de ses doigts.

Puis pour encore plus m'humilier Julie qui s'était éloignée revient avec un pot et un gros pinceau.
Elle a rapporté de la colle à papier.
Julie m'en enduit le pénis et les testicules, pendant qu'Anouck me maintient serré le bas de la verge avec ses doigts pour provoquer une érection et pour faire pénétrer la colle sur tout mon sexe et sur les poils.


En quelques secondes, je sens la colle commencer à durcir et je me retrouve la verge dressée remplie de colle. Mes bourses sont elles aussi remplies de colle et je commence à immaginer la douleur qui va suivre quand je vais devoir essayer de l'enlever. La colle est entrain de sécher et je sens mon pénis qui se durci non pas par l'excitation, mais par la colle qui durcit de plus en plus.

Les filles éclatent de rire en voaynt mon sexe droit comme un I et raide comme le manche du martinet qui m'a labouré les fesses.

Me voila prisonnier d'un carcan invisible que je sais absolument pas comment enlever.

Les filles m'ordonnent de me lever et d'aller me laver.

Je cours tout nu, sans chercher à cacher mon érection et fonce dans la salle de bain. Je me précipite dans la douche et commence à me savonner pour essayer de faire partir cette satanée colle.

Mais j'ai beau frotter, je n'arrive pas à la faire partir car mes poils sont collés et cela me fait trés mal quand s'essaye de les nettoyer.

Les deux filles entrent dans la salle de bain et constatent en ouffant de rire, mon incapacité à me laver.

Il va falloir te raser la bite, s'esclaffe Anouck.
Sort de la douche on va s'occuper de toi.

Julie étend une serviette par terre et me fait allonger dessus.
Anouck tient un rasoir dans la main.

Julie me pince la peau des couilles et constate que la colle est maintenant bien sèche. La seule solution et de raser intégralement mon sexe.

Pendant que Julie me maintient le sexe, Anouck commence à me raser les poils. en passant la lame sur mes testicules, entre mes fesses et sur mon pubis.



En quelques minutes, je me retrouve avec des testicules aussi lisses que des billes. Anouck, s'attaque à ma berge et à mon pubis qui peu à peu devient également aussi imberbe que celui d'un gamin.

Je ne vais plus oser me déshabiller devant les autres garçons lorsque nous rions à la piscine. Comment pourrais je leur expliquer la raison de se rasage sans passer pour un imbécile ?


Une fois le rasage terminé, les filles me libèrent et me laissent me rhabiller et m'enfuir sans demander mon reste. J'ai du mal à marcher car il reste encore beaucoup de colle sur ma verge et entre mes cuisses.

La punition durera en fait plus de 10 jours, avant que toute la colle finisse par se désagréger.



 

 
 
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:29

J’avais donc reçu ma première vraie fessée, qui plus est, retroussée en public,  lorsque j’avais 10 ans (voir l’histoire précédente). Quelques années plus tard, je suis entrée en sixième  au collège de mon quartier. Nous étions une trentaine de filles dans la classe majoritairement issues d’un milieu ouvrier. La tenue était très stricte et traditionnelle pour l’époque, nous étions à la fin des années cinquante. La jupe ou la robe était de rigueur et nous portions toute un tablier rose à carreaux. La première année se passa plutôt bien. J’étais une ‘petite sixième’  et les ‘grandes’ de quatrième ou troisième faisaient la loi. Je pris vite de l’assurance et je renouai avec mon comportement de garçon manqué l’année suivante. Nous avions une prof de gym un peu dans le même style ringard que « la mère Michèle » dont je vous ai parlé précédemment mais en plus masculine: une sorte que mégère petite mais carrée, toute en muscles et en gueule.

Ce n’était pas son moindre défaut. Elle avait une sorte de plaisir sadique à nous humilier verbalement en ironisant sur « nos baguettes de tambour », nos « cuisses de mouche » ou à contrario sur les  surplus  graisseux de quelques unes.

Lorsque nous faisions du saut en hauteur, elle adorait les phrases perfides et bien ponctuées du genre : « Alors Mademoiselle Villain, vous allez les lever ces fesses, allé, c’est mou ! c’est mou ! ».

Elle avait la manie de nous claquer innocemment le derrière quand nous grimpions à la corde, un peu comme pour nous aider à monter plus vite ou lorsque nous faisions de la gym au sol, comme pour nous aider  à mieux rouler. Elle prenait également une sorte de malin plaisir à nous claquer les cuisses en nous surprenant par derrière quand nous faisions les sottes ou n’écoutions pas et comme nous étions en tenue de sport, elle nous marquait souvent la peau de cinq doigts rageurs. Elle  avait la main leste et toutes les occasions étaient bonnes à tel point qu’instinctivement nous prenions soin de ne pas  trop laisser notre bas du dos à la portée de sa main.

La dame partait parfois dans des colères qui nous amusaient beaucoup mais hélas, il y avait toujours parmi nous une victime des dites colères. Comme je vous l’ai dit précédemment, elle adorait nous surprendre au moment où nous nous y attendions le moins. Elle se faisait oublier, nous en profitions  et soudain elle fondait sur sa proie.

C’est ce qui m’arriva un jour.

Je me souviens que nous grimpions à la corde sous un préau. Nous portions toutes une tenue légère dont un  short. Les shorts de l’époque n’avaient rien à voir avec ceux d’aujourd’hui. Ils étaient généralement très courts et descendaient guère en dessous des fesses. De plus ils étaient en coton ou dans  une sorte de tissu éponge très élastique et moulant.

Il n’y avait qu’une seule corde et nous faisions la queue. L’exercice étant répétitif et fort long, nous ne pouvions que bavarder et chahuter en attendant notre tour. La prof se tenait prêt de celle qui grimpait et nous en profitions pour faire les folles en fin de queue. C’est sans doute ce que j’étais en train de faire ce jour là, toujours est-il que je me suis sentie soudain prise par un bras, tirée sans ménagement hors du rang. Avant que j’aie eu le temps de réaliser, je me suis retrouvée le haut du corps coincé sous un bras de la prof, les fesses tendues en arrière. Je ne sais plus très bien comment elle s’y était  prise (elle avait peut-être posé le pied sur une chaise, un banc… qui se trouvait là, toujours est-il que j’étais pliée en deux  sur une de ses cuisses et avant que j’aie eu le temps de revenir de ma surprise, je me suis sentie tirée par le bas de  mon short comme si elle voulait me soulever dans les airs. En fait, j’ai compris plus tard comment elle procédait car d’autres filles ont connu le même sort.

Elle enlaçait sa victime d’un bras, la courbait par dessus une de ses cuisses, de la main du bras qui enserrait la taille, elle saisissait le bord de la jambe du short de la coupable et le tirait le plus possible vers le haut ce qui avait pour effet de découvrir plus ou moins une fesse qui recevait aussitôt une avalanche de claques infligées avec toute la force qu’elle pouvait mettre dans son autre bras. La brute était experte car selon la longueur et la lâcheté des jambes des shorts elle choisissait soi de relever une seule jambe du short pour découvrir une seule fesse, soit elle prenait le short à la taille et le tirait le plus possible vers le haut, ce qui pouvait, lorsque le tissu était un peu lâche, découvrir le bas des deux fesses, le short remontant dans la raie du postérieur.

C’était une technique plutôt habile qui découvrait partiellement mais suffisamment les fesses ou tout du moins une fesse pour y appliquer une furieuse fessée particulièrement humiliante pour celle qui se voyait ainsi presque déculottée devant les ‘copines’ qui ne manquaient pas de rigoler. Cela  évitait de baisser le short, ce qu’une prof, même dans les années cinquante, n’aurait pu se permettre.

Je me souviens que je portais hélas pour moi ce jour là un de ces shorts en tissu particulièrement élastique car si je ne me suis pas vue fesser, et pour cause, j’ai eu vraiment le sentiment de m’être retrouvée une fesse totalement ‘à l’air’. De plus je me souviens d’avoir reçu une fessée brève  mais oh combien cuisante d’autant qu’elle n’avait claqué pendant quelques secondes que cette pauvre fesse découverte mais à toute volée et de toutes ses forces. J’ai regagné ma place dans le rang toute  penaude avec la moitié du derrière en feu. Sensation étrange et originale !

Elle avait terminé  la brutale correction par un : « ça va mieux maintenant ? » que je ne suis pas prête d’oublier, qui m’avait  laissée pantoise et calmée pour un bon moment. Il faut reconnaître que la méthode était efficace !

Je dis ‘nous’ car la prof (j’ai oublié son nom) s’adonnait à ce genre de démonstration de force assez régulièrement.

A posteriori, je pense qu’elle choisissait ses ‘victimes’,  ‘ses têtes’ comme on dit car les candidates à la fessée étaient souvent les mêmes élèves sans doute les plus pénibles mais  comme par hasard celles qui avaient les shorts les plus adaptés. Je pense particulièrement à une petite rondouillarde qui était une de ses souffre douleur favorite. Les plaisanteries douteuses de la prof et de nous mêmes, avait pour cible son embonpoint. La gamine était vraiment ronde et issue d’un milieu très modeste. Une  ‘bonne grosse’ pas très futée ! Je suis aujourd’hui persuadée qu’il en aurait été tout autrement si la gosse avait été issue d’un milieu plus avantagé. Ses tenues de sport ne respirait pas le confort et ses shorts relâchés par la masse opulente de ce qu’ils ne pouvaient que difficilement contenir, laissaient déborder des fesses grasses. Cela ne pouvait qui provoquer notre ‘fesseuse’ de prof  (vous avez vu le jeu de mot !) qui un jour lui infligea pour une raison obscure  une crépitante fessée à l'aide de sa canne en bambou après avoir dénudé toute le bas de son gros derrière car elle avait réussi lui baisser son short. Elle l'a fit s'appuyer les mains posées sur le fauteuil noir qui se trouvait dans la salle de danse.


Je garderai toute ma vie de l’image de ce gros postérieur déculotté, le short et le slip posés sur les chevilles.

Je revois  cette gamine de 12, 13 ans serrant désespérément son ‘gros popotin’ sous le déluge et surtout  l’instant où, la prof ayant cessé la fessée qui avait été beaucoup plus longue que d’habitude.


Les coups continueaient de pleuvoir sur ses fesses qui rougissaient de plus en plus.


Une fois le cul rougit au maximum, la prof lui intima l'ordre de rester penchée, les fesses exposées à la vue des autres élèves pendant cinq minutes. Pour entrenir la couleur elle lui redonnait quelques coups de cane de temps en temps.














Ayant décidé de ne pas lacher sa proie, la prof  fit installer la pauvrette à genoux sur la chaise. Elle prit place en pleurnichant et en se frottant nerveusement le gras des fesses encore  rougies, nous livrant inconsciente du ridicule de ses gestes, le spectacle de sa totale humiliation. Pour accentuer un peu plus son supplice, elle dut mettre ses mains sur la tête pour bien dégager la vue sur son postèrieur cramoisi.

 


La victime ne faisait pas partie de mes ‘copines’ mais j’avais ressenti une sorte de pitié pour ‘la bonne  gamine’ toute en pleurs, mêlée d’un sentiment d’injustice car j’étais convaincue que la prof  s’était permise avec cette élève ce qui lui aurait sans doute valu de gros problèmes si elle avait traité ainsi une fille de notable.


Pour continuer la punition elleIl y en avait guère dans notre école ce qui explique sans doute les privautés qu’ elle  s’octroyait avec nous.

Autre temps, autres mœurs ! Toujours est-il qu’au fil de cette année de cinquième une bonne demi douzaine d’entre nous furent ainsi fessées et que si certaines ont sans doute mal vécu cet instant, moi la première, nous n’en sommes ‘pas mortes’ pour reprendre une expression familière.

Je ne justifie pas pour autant la fessée sur des élèves, évidemment,  ni des méthodes qui me semblent toutes empreintes d’une bonne dose de sadisme puisque le but était manifestement d’humilier et de faire mal. Je m’insurge surtout contre le fait que ses victimes étaient toutes issues de milieux modestes et je soupçonne fortement la prof d’avoir profité de sa situation d’autorité pour donner libre court à ses pulsions  sur des gamines qu’elle savaient sans défense…et ça c’est très vilain comme disait Maman !     

En ce qui me concerne, cette fessée comme la précédente influença sans doute considérablement ma sexualité de femme… et je ne m’en porte pas plus mal !

La victime ne faisait pas partie de mes ‘copines’ mais j’avais ressenti une sorte de pitié pour ‘la bonne grosse gamine’ toute en pleurs, mêlée d’un sentiment d’injustice car j’étais convaincue que la prof  s’était permise avec cette élève ce qui lui aurait sans doute valu de gros problèmes si elle avait traité ainsi une fille de notable. Il y en avait guère dans notre école ce qui explique sans doute les privautés qu’ elle  s’octroyait avec nous.

Autre temps, autres mœurs ! Toujours est-il qu’au fil de cette année de cinquième une bonne demi douzaine d’entre nous furent ainsi fessées et que si certaines ont sans doute mal vécu cet instant, moi la première, nous n’en sommes ‘pas mortes’ pour reprendre une expression familière.

Je ne justifie pas pour autant la fessée sur des élèves, évidemment,  ni des méthodes qui me semblent toutes empreintes d’une bonne dose de sadisme puisque le but était manifestement d’humilier et de faire mal. Je m’insurge surtout contre le fait que ses victimes étaient toutes issues de milieux modestes et je soupçonne fortement la prof d’avoir profité de sa situation d’autorité pour donner libre court à ses pulsions  sur des gamines qu’elle savaient sans défense…et ça c’est très vilain comme disait Maman !     

En ce qui me concerne, cette fessée comme la précédente influença sans doute considérablement ma sexualité de femme… et je ne m’en porte pas plus mal !

 
 
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:26


Les vraies fessées que j'ai reçues m’ont beaucoup marquées surtout la première.

Je devais être en Terminale, j’avais 18 ans. J’avais redoublé, j’étais « en retard ». J'avais une prof que je trouvais  très laide qu’on appelait "la Mère Michèle" je ne sais plus pourquoi.

J'étais une vraie chipie, pourrie par ma tante qui faisait la plus part du temps office de mère car mes deux parents travaillaient, rentraient tard le soir et c’est elle qui me surveillait.

 A l'école j'étais  abominable, une peste ! je n'en ratais pas une. L’absence de mes parents que je voyais peu y était pour beaucoup ! J'étais parmi les dernières de la classe et j'en ‘faisais baver’ à "la Mère Michèle". Elle n'avait pas d'autorité, laissait faire et à bout de ressources piquait des vraies colères et finissait par flanquer des coups de règles sur les mains ou sur les mollets. C'était au début des années 2000 et les instits anglais utilisaient encore les  bonnes vielles méthodes.

J'avais une souffre douleur : « Chantal J ». C' était la première de la classe. Evidemment, je la maltraitais en récréation, lui cachais son cartable, ses affaires… je la taquinais méchamment en toutes circonstances. Bien sûr l'institutrice  le voyait mais elle ne réagissait pas  comme elle aurait dû. Et comme je ne ratais pas une occasion d'harceler "la chouchoute de la maîtresse", il fallait que j'en fasse beaucoup pour qu'elle me punisse. Je suis restée quelques fois en retenue mais cela ne m'empêchait pas de recommencer.

Un jour, alors que c’était la sortie de la classe, au moment où toutes les filles se précipitaient vers le portail, j’ai tendu la jambe quand « Chantal J » est passée devant moi en courant et mon souffre douleur s’est étalée lamentablement. En fait, j’avais voulu la faire tomber plus pour l’humilier, ‘pour rire’,  que pour lui faire mal : l’ennui c’est que la fille s' était ratatinée. Les mains, les genoux étaient écorchés et saignaient,  le cartable s’était ouvert dans la chute et surtout ses lunettes avaient volé. « Chantal J » hurlait comme une perdue. Des parents qui attendaient leurs filles s’étaient précipités.

C’était une autre prof qui surveillait la sortie. Elle l’a aidée à se relever, à récupérer son matériel, lui a remis ses lunettes qui étaient abîmées (je ne sais plus ce qu’elles avaient). Bien sûr « Chantal J » entre deux sanglots a dit que c’était « la Françoise » qui lui avait fait ça… et des parents m’ont montrée du doigt. La gamine est rentrée chez elle en piteux état, la maîtresse de surveillance m’a évidemment  punie en me faisant faire des tours de cour pendant la récréation de l’étude qui suivait. Je restais 1 soir sur 2 en étude pour faire mes devoirs. Je n’étais pas très fière de moi car je n’avais pas eu l’intention de lui faire mal, mais j’étais  tout de même plutôt satisfaite de m’en tirer par des tours de cour. C’était une punition très en vogue à l’époque.

La récréation finie nous avons regagné l’étude. Il y avait 2 salles, une pour les « grandes », une pour les « petites ». J’étais dans celle des « grandes » et c’était "la Mère Michèle" qui nous surveillait ce soir là. Je me tenais plutôt à carreau. Je venais de faire une grosse bêtise, je m’en tirais bien mais je ressentais confusément que ça aurait pu être grave. L’étude se déroulait normalement quand on a frappé très fort à la porte. "La Mère Michèle" a ouvert et j’ai vu un gros monsieur tout rouge, furieux, qui tenait ma victime encore en larmes par la main. C’était le papa ! Je me rappelle qu’il parlait fort, que "la Mère Michèle" semblait très embêtée et qu’elle a demandé à ‘la pauvre petite’ de montrer celle qui lui avait fait le croche pied. Evidemment j’ai vu un doigt vengeur me désigner et cette fois je me suis faite toute petite.

La prof a dit qu’elle en parlerait à la directrice. Le papa très remonté a fini par partir en disant qu’il espérait bien que je serais sévèrement punie.

Je m’attendais évidemment à ce que mes parents soient informés de ma sottise et je m’imaginais déjà privée de télé. Comble de l’horreur !

Quand le papa est sorti  "la Mère Michèle" a demandé à une élève de venir au bureau surveiller l’étude et elle m’a appelée au tableau . Elle m’a  prise par le bras et tirée dans le couloir. . Je ne savais pas ce qu’elle voulait mais j’étais inquiète. Je m’attendais à me faire gifler mais la « mère Michèle » n’en a rien fait mais m’a entraîné vers le fond du couloir.

Je me souviendrai toujours de ce  trajet. "La Mère Michèle" me tirait par le bras en répétant :  « Mais qu’est-ce qu’on va faire de toi… hein! qu’est-ce qu’on va faire…. ? ».

J’ai compris où elle m’emmenait  quand nous sommes arrivées dans la salle d’étude des Petites. Elle a frappé et est entrée ? C’était la directrice qui gardait l’étude ce soir là. La « Direlo » avait la réputation d’être très sévère et je n’en menais pas large.

Mon entrée a été très remarquée. Quand la directrice a vu "la Mère Michèle" toute affolée, elle s’est levée et est venue  vers nous. La Mère Michèle lui a raconté l’épisode du papa et ce qui s’était passé. Au début la directrice semblait  très ennuyée elle aussi. Les «  Petites » (c’étaient des CM jusqu'à la trosième) me regardaient avec un air  à la fois moqueur et interrogateur.  J’ai préféré alors regarder la pointe de mes pieds.

La directrice et la Mère Michèle ont parlé ensuite à voix basse en me regardant de temps en temps puis il y a eu un silence. La Directrice a dû se demander l’espace d’un instant ce qu’il convenait de faire.

Soudain elle m’a saisie par un bras, m’a tirée devant le tableau. Jusque là, la conversation s’était déroulée vers la porte. Elle m’a fait monter sur l’estrade, m’a mise devant le tableau, et  m'a fait allonger les bras sur son bureau.
 Je me suis retrouvée penchée,les fesses tendues en arrière. Je me suis laissée faire comme une poupée de chiffon, incapable de réagir. Son bras enserrait levait tenait une grande spatule en bois rouge. et je ne pouvais pas me redresser. Elle m'enleva ma jupe afin que je sois exposé en slip devant la classe.

Ce jour là, je ne portaisq'un tout petit slip string en coton qui ne cachait pas grand chose de mes fesses. J'avais mal choisi mon jour pour porter ce sous-vêtement.

 J’ai soudain reçu une bonne douzaine de claques sur les fesses qui ne m’ont pas fait mal mais m’ont surprise. Je ne m’attendais tout de même pas  à recevoir une fessée et je n’en avais jamais reçu de la sorte. J’étais pétrifiée et je n’ai pas plus réagi qu’un bout de bois.  Comme la directrice faisait sans doute partie de ces gens qui contiennent trop longtemps leur colère et finissent par craquer,  car pensant que les coups devaient être trop amortis pour être efficaces puisque j’étais sans réaction, elle a soudain acceléré la cadence aprés s'être munie d'une véritable "tawse" en cuir, et cette fois,  j’ai reçu une bonne ‘avoinée’ crépitante sur la partie charnue de mes fesses non protégée par ma culotte. Elle tapait sur le bas de mes fesses à l'endroit le plus sensible.



La fessée au début m’avait laissée sans réaction du fait de l’effet de surprise mais aussi parce que je n’avais pratiquement rien senti. Pour mieux pouvoir me fesser, la directrice me remonta le slip dans la raie des fesses afin de dénuder complètement mes deux fesses déjà rougies par les premiers coups. Mes fesses étaient complètement dégager pour recevoir leur chatiment.


Cette fois-ci la fessée qui tombait allègrement sur  mes fesses nues était d’une tout autre teneur. Elle n'a peut-être duré que 5 ou 10  minutes mais la directrice me claquait très fort et surtout très vite si bien que j’en ai gardé un  souvenir plutôt cuisant.!

Je me souviens qu’en même temps qu’elle  me fessait elle disait quelque chose comme : « tu vas voir si on va pas te calmer, tu vas voir… ».

Et j’ai vu !

Elle s'assit sur le bureau et me prit dans ses bras pour me forcer à me m'allonger sur ses genoux.


Je me souviendrai toujours de l’instant  où  elle m’a retroussée et baissé ma culotte devant toute les élèves. J’ai ressentis alors quelque chose que je n’ai jamais oublié ni ressenti depuis. Le fait d’être retroussée, fessée cul nu en public était pour moi, fille de 18 ans, quelque chose d’impensable et de vraiment honteux.. Une émotion énorme ! Je me souviendrai toute ma vie de l’instant où j’ai senti que mes fesses étaient découvertes à la vue de tous et surtout  du bruit des claques. Les élèves avaient une vue imprenable sur mes fesses et j'avais beau essayer de les maintenir serrées, de tant en tant je ne pouvais leur cacher la vision de mon sexe et de mon anus.


C’est sans doute ce bruit qui m’a le plus humiliée. Je l’entends encore. Le bruit sec de la fessée dans le silence de la classe avec uniquement la voix rageuse de ma directrice. Je me rappelle avoir ressenti comme une brûlure dès que la première claque est tombée et ça a très vite empiré. Je crois que j’ai serré les fesses le plus possible et  je me rappelle avoir fini par danser d’un pied sur l’autre à un moment donné tellement ça me brûlait. C’est peut-être ce qui a mis fin à la fessée. J’étais à la limite d’éclater en sanglots pitoyables mais je n’ai pas crié, pas pleuré, ni pendant, ni après. Ce n’ était  pas l’envie qui m’en manquait. Il n’aurait pas fallu que la fessée dure plus longtemps car je pense que je n’aurais pas pu résister davantage. Je me souviens que les fesses me cuisaient encore quand j’ai regagné ma salle d’étude. Je n’ai peut-être pas reçu plus d’une trentaine de claques mais elles étaient vraiment très appuyées. En plus, elles ont dû finir par rougir affreusement mes fesses car ces dernières étaient vraiment épouvantablement cuisantes. Il me semble d’ailleurs avoir réajusté mon slip quand la directrice m’a lâchée.

L’autre moment fort de cette fessée, c’est l’instant où elle a rabaissé ma jupe  et m’a retournée vers la classe. Je n’osais pas lever la tête. Je devais être très rouge et je contenais vraiment mes larmes. Mais j’ai entrevu tout de même ces visages  qui me fixaient, ces  filles qui semblaient elles aussi très tétanisées… et ce silence ! La Directrice m’a encore sermonnée et je me souviens surtout qu’elle m’a dit que j’avais eu de la chance et que la  prochaine fois ce serait bien pire.

Le souvenir du trajet inverse dans le couloir poussée par la mère Michèle n’est pas près de s’effacer de ma mémoire. Elle disait des : « T’as vu… t’as compris…recommence encore et tu vas voir… si tu veux que je te remmène, recommence ! ». Bien sûr les filles de la « Grande étude » n’ont pas su tout de suite ce qui m’était arrivé mais quand je suis revenue en classe je devais être très rouge et piteuse,  vraiment au bord des larmes car elles ont semblé très surprises. La chipie était matée !

Evidemment le lendemain toute l’école savait que la « Françoise V » avait été fessée devant tout le monde et qu’on avait vu sa culotte. Suprême humiliation pour une fille de 18 ans !

J’ai été la risée de l’école pendant plusieurs jours, le sujet de moquerie. Je ne voulais plus aller en classe mais je me suis  bien gardée de raconter tout cela à mes parents. Les récréations qui ont suivi ont été un vrai calvaire car soit on était gentille avec moi et on me demandait alors si ça avait fait mal et on me plaignait, soi on se moquait ouvertement en chantant sur tous les tons qu’on avait vu ma culotte, que j’avais eu les fesses toutes rouges…etc.

Cette fessée a tout de même eu le mérite de ‘me calmer’ comme l’avait annoncé la directrice car j’étais terrorisée à l’idée d’être à nouveau conduite dans sa classe. Je me suis faite un peu plus sage surtout à cause des mots de la directrice : « La  prochaine fois ce serait bien pire ». Que pouvait-il arriver de pire  qu’être fessée retroussée devant toute une classe ? J’avais vite conclu que ce ne pouvait qu’être que  recevoir une fessée déculottée devant tout le monde et  cela, à 18 ans,  ça ne fait pas rire du tout. Je me rappelais aussi des mots de la « mère Michèle » que je ne craignais pas du tout auparavant : « si tu veux que je te remmène, recommence ! ». Je ne tenais pas du tout à ce qu’elle me remmène !

Aujourd’hui je suis très partagée quand au bon choix de la directrice. Certes, la fessée a été efficace puisque j’ai fait beaucoup plus attention à ne pas trop provoquer la colère des maîtresses. Je n’ai plus jamais fait de croche-pied mais cette fessée a pesé très lourd dans ma sexualité d’adolescente et aujourd’hui de femme.

J’ai très souvent revu cette fessée en rêve avec de nombreuses variantes et en particulier l’une où j’étais fessée, fesses nues,  devant toute la classe. C’est vite devenu un phantasme masturbatoire. Aujourd’hui encore ! Il m’arrive de revivre éveillée cette fessée et le mot « fessée » résonne dans ma tête comme résonnent les claques que j’ai reçues ce jour là. Sauf qu’aujourd’hui ce mot a une connotation très différente. Il agit comme un déclic, « me mets dans tous mes états » comme on dit familièrement. C’est le mot que j’ai frappé sur le moteur de recherche.

Alors, cette fessée a –t-elle été bénéfique ? Je pense finalement que oui.

 
 
 

 

Par Plume - Publié dans : bizutages
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