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Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 12:20

Mon pire souvenir de jeunesse aura été mon année passée à Reims. Etudiante en deuxième année d'infirmière, j'ai du affronté les pires situations crées par les étudiants qui ne penssaient qu'à une seule chose: " je faire de la jeune infirmière".

Mais comme il faut parfois faire des sacrifices pour arriver au but que l'on se fixe dans la vie, j'ai pris mon mal en patiente et j'ai serré les dents.

Le bizutage des "deuxièmes années" et ce que l'on fait de pire dans le domaine du bizutage. Tout y passe: les vexations, les abus sexuels, les situations les plus humiliantes, avec pour seul fil conducteur, se moquer des filles et les mettre dans des situations les plus dégradantes possibles.

Mon bizutage a eu lieu en forêt comme beaucoup d'autres filles avant moi. Je fus emenée, par un aprés midi de plein automone, dans un coin bien isolé afin d'y subir mon épreuve. Une fois rendu sur place, et en présence de tous les élèves infirmiers qui étaient une bonne trentaine et des filles qui étaient au moins autant, je dus me déshabiller entièrement et donner mes vêtements à l'un des "maitres de cérémonie".

Pendant de longues minutes je restais là, nue devant tous ces yeux qui m'inspectaient de la tête au pieds et qui faisaient des commentaires à haute voie sur mon anatomie.

La taille de ma poitrine était au centre du débat, car je dois avouer que de ce côté là, je ne suis pas trés gâtée par la nature.

Mon épreuve devait durer une bonne partie de l'aprés midi compte tenu du fait que d'autres bizutages devaient aussi avoir lieu.

Joël, en tant qu'organisateur s'approcha de moi et me demanda trés gentillement de m'appuyer contre l'arbre qui était derrière moi. Je m'exéctutait. Il me fit mettre les bras au dessus de ma tête et plaqua mes mains contre le tronc de l'arbre.

A l'aide d'un grand rouleau d'adhésif marron, il me lia les poignets en faisant un grand nombre de tours autour de l'arbre.
"Tu vas rester ainsi pendant que l'on s'occupe d'une autre fille me dit-il" et il se retourna pour rejoindre les autres élèves qui commencaient à s'occuper de Floriane qui se trouvait à une cinquantaine de mètres de moi.
Je me retrouvais seule, entièrement nue, attachée à une arbre, et dans l'impossibilité de me détacher ou tout simplement de cacher ma nudité. La position accroupie qui était la mienne ne tarderait pas à être douloureuse.


Au bout d'une bonne vingtaine de minutes, je vis revenir vers moi les garçons. Je leur dit que je ne pouvais plus rester dans cette position car je souffrais énormément et des crampes commencaient à venir.
Joël me fit mettre debout afin de pouvoir m'attacher plus confortablement. Il me passa une main derrière le dos et l'autre au dessus de ma tête. Puis il fit avec le rouleau d'adhésif des tours sur mon corps afin de bien me plaquer contre l'arbre. Bien sur il évitait soigneusement de cacher mes seins et mon sexe. Mes jambes étaient serrées les une contre les autres et je ne pouvais plus bouger




Une fois attachée autour de l'arbre les garçons firent des photos de moi pour le "livre d'or" de l'école. Je fus prise en photo sous toutes les coutures.


Pour éviter de montrer mon visage, pétrifiée par la honte de m'exposer ainsi devant l'objectif, je baissais la tête et mes longs cheveux arrivaient à cacher en partie mon émotion.

Le préposé aux photos s'approcha de moi et fit un gros plan sur mon sexe que j'avais en partie épilé, quelques jours auparavant. Si j'avais su vivre un tel calvaire, j'aurais au moins conservé ma grosse toison, cela aurait en partie caché mon sexe.

Mais rasée au plus prés, mon intimitée était parfaitement visible par tous. Même serrée mes cuisses n'arrivaient pas à dissimuler mes grandes lèvres. J'étais au bord du désespoir car j'avais orriblement envie de faire pipi, mais je n'osait surtout pas en parler, car j'imaginais ce que cela aurait pu provoquer comme réaction de la part de mes bourreaux.


Pendant que je restais à nouveau seule dans la forêt, les élèves retournaient à nouveau auprés de Floriane, qui était une autre "bizut" de la journée.

Floriane avait été attachée les bras en croix à une branche qui servait de "poutre de maintien".
La grande branche été elle même attachée entre deux grands arbres.

Floriane été ficelée avec des cordes d'alpinismes, les bras écartées plaqués contre la branche.  Une  grande corde passait également autour de son coup et lui liait les genoux pour mieux l'immobiliser.

Pour mieux l'humilier, on lui avait mis un baîllon sur la bouche, mais bien pire, l'un des garçons lui avait mis des pinces sur le bout des seins et il passait une corde entre ses cuisses.


Il devait faire trés certainement de l'alpinisme depuis longtemps car il semblait être un expert en "cordages".
Il fit une gros noeud au niveau du sexe de Floriane afin qu'à chaque mouvement il frotte et rentre dans son sexe. Floriane était intégralement épilée et pour elle, s'était encore plus humiliant car elle offrait à tous le spectacle de son sexe rasé qui ne demandait qu'à "avaler" au premier mouvement, le gros noeud de la corde.


Afin qu'il rentre au maximum dans son sexe, la corde avait été passée dans ses fesses et tendue au maximim pour être attachée sur la poutre.
Pour éviter que le noeud la pénètre, Floriane devait se tenir sur la pointe des pieds. Cette position allait trés vite devenir insoutenable, et elle ne pourrait empêcher le noeud de faire ce pourquoi il avait été consu.




J'observais Florine, qui luttait de toute ses forces pour se maintenir sur la pointe des pieds. Elle avait une volonté de fer et j'admirais son courage.
Moi de mon côté, je ne pourrais bien longtemps me retenir et si le bizutage durait encore un moment j'allais devoir me soulager la vessie devant tout le monde.

Mais heureusement pour moi et pour Floriane, notre supplice prît fin et l'on nous détacha toutes deux, car il fallait maintenant rentrer pour assister au dernier bizutage de la journée.
Sans demander notre reste, Floriane et moi nous nous étions rhabillée et sous le quolibets et les plaisanteries grossières des garçons, nous sommes rentrés au campus.

Une fois arrivés dans l'une des salles de repos, deux élèves infirmiers décidèrent de s'occuper de  Linda, notre superbe élève "Russe" qui devait elle aussi subir son bizutage.
Un traitement de faveur lui était réservée.

Les deux garçons allaient jouer au "docteur" avec Linda devant nous tous. Nous étions tous assis sur les chaises de la salle et faisions face aux trois "interprètes du "scénario" que les garçons avaient préparés.

Linda était assise sur une chaise et les deux "médecins" lui annoncaient qu'ils allaient devoir l'examiner pour un contrôle approfondi.


Linda du retirer son chemisier et son soutien gorge. Une fois les seins à l'air, les deux "faux médecins" lui palpairent les seins sous toutes les coutures.


L'un d'eux jouait avec un mamelon et tirait dessus comme pour en faire sortir quelque chose. Pendant ce temps l'autre palpait son sein droit, le soupesait et faisait semblant de chercher une grosseur anormale.


Une fois ce premier exament terminé, l'un deux lui demanda de s'allonger sur la table.
Linda du se pencher sur la table et pendant ce temps l'un des garçons lui enleva sa jupe et fit descendre le slip rouge de Linda sur ses genoux.
"Il va falloir te prendre la température" dit l'un d'eux.
Pendant ce temps le "photographe" prenait "cliqués sur cliqués".

Aprés avoir passé ses gants de consultation, il commenca à enfoncer le thermomètre dans l'anus de Linda qui ne pu retenir un petit cri de douleur. L'autre comparse lui prenait le rythme cardiaque.


Une fois cette humiliation publique terminée, on lui annonça qu'elle allait être examinée de façon plus intime.

Les deux doigts gantés de l'infirmiers commencèrent à pénéter dans le vagin de Linda, pendant que l'autre garçons lui maintenait le fesses écartées.
Linda n'osait pas se relever, mais toute le monde voyait bien qu'elle avait du mal à s'exposer ainsi devant tout le monde. Même si dans cette profession on est habitué à la nudité, c'était dur pour elle d'exposer ainsi son intimité la plus secrète aux regards des élèves.

Son sexe rasé laissé voir son anus imberbe et ajoutait encore à l'humiliation qu'elle subissait.
Les garçons faisaient en sorte de ne pas se presser pour que tous et toutes, nous puissions nous rincer l'oeil du magnifique cul de Linda. Ce n'était pas tout les jours que l'on pourrait voir un corps aussi parfait, alors il fallait en profiter, et les garçons comptaient bien en profiter le plus longtemps possible.


Cette journée restera longtemps gravée dans ma mémoire. A bien y repenser, je ne peux pas dire que cela ne m'est pas procuré un certain plaisir secret. Même si j'ai eu beaucoup de mal à exposer ainsi mon corps devant les autres, le spectacle des autres filles en train de se faire "bizuteré m'a provoqué une certaine excitation. Au fond de moi, je sais bien que  j'aimerais bien revivre cette journée.
Publié dans : bizutages
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Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 22:22

Sandra a réussi son entrée à l’université de Bolton. Comme nous toutes, elle devra satisfaire à la tradition du bizutage. Chaque année, un mois après la rentrée des cours, les anciennes choisissent au hasard les premières filles qui devront obligatoirement se plier à cette coutume pour espérer passer une année agréable.

 

Pour ma part, je n’ai pas fait partie du premier tirage au sort, mais je dois cependant assister au Bizutages des 10 premières filles qui ont eu « la chance » de commencer l’épreuve du bizutage.

 
Le bizutage à Bolton obéi à des règles strictes :

Pas de violences – Interdiction de faire intervenir des animaux – Une parfaite équité entre tous les « bizuts ».

 

Pour Sandra, le bizutage est classique et simple : Elle devra faire un striptease intégral devant toutes les anciennes et les autres « bizuts ». Le spectacle devra avoir lieu au beau milieu du campus, sur la place du lever des couleurs.

 

Sandra, ne semble pas trop surprise de cette épreuve. En fait elle a déjà obtenu de la part d’anciennes élèves, des renseignements sur les bizutages de Bolton.

 

Une fois que toutes les filles sont réunies sur la place, Les anciennes donnent le top du départ.

Sandra nous fait face, vêtue d’un magnifique tee shirt blanc à manches longues et d’un Jeans.

 
 

Sa grande chevelure noire est superbe. Elle sourit, très sure d’elle et commence son striptease.

Elle relève son teeshirt sur ses épaules et nous laisse entrevoir une magnifique paire de seins que son soutien gorge vert n’arrive pas à contenir complètement. Elle balance légèrement le buste pour nous faire admirer ses rondeurs.

 

D’un geste rapide, elle enlève son soutien gorge et le fait voler derrière elle. Sandra à une poitrine superbe et elle semble ravie de s’exhiber devant nous. Quelques applaudissements se font entendre et cela à pour effet de motiver encore plus Sandra.

 

Elle se met de profil en commence tout doucement à faire descendre son jeans sur ses cuisses. Des sifflements admiratifs accompagnent la superbe prestation. On pourrait croire que Sandra à fait cela toute sa vie.

 

Une fois le pantalon descendu sur ses chevilles, Sandra se remet face à nous et d’une geste très naturel, elle écarte ses cuisses au maximum pour nous faire profiter d’un spectacle hallucinant.

 

Elle est entièrement rasée. Plus un poil sur le pubis, entre ses cuisses et sous les fesses. Du travail de « pro ». Nous sommes toutes émerveillées par cette vision d’un sexe aussi lisse qu’un ventre de nouveau né.

 

Ces grandes lèvres sont bien visibles, distendues par le froid peut-être. En tout cas, je dois dire que je n’ai jamais vu jusqu’à ce jour,  de « minou » de fille aussi joli.

 

Sandra prends la pose et attends que l’on lui signifie la fin du bizutage. Une salve d’applaudissements ponctue sa prestation. Sandra vient de remporter haut la main son épreuve et elle vient aussi de s’attirer la sympathie de toutes les filles, tant son attitude a été exemplaire.

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La deuxième fille à subir aujourd'hui son bizutage se prénome Clara. C'est une jeune fille timide. Une  petite brune qui passe presque inaperçue.
Elle aussi doit faire un striptease. Mais le sien doit avoir lieu dans le jardin du campus.
Clara est tout à fait différente de Sandra. Elle ne semble pas apprécier d'être obligée de se dévétir devant nous.

Ce n'est que sur la pression des plus grandes, qu'elle se décide à nous dévoiler ses charmes.
Elle relève timidement son tee-shirt et nous laisse entrevoir le début d'un striptease.

Les plus grandes s'impatientent et Clara est priée d'accélérer le rythme.

Elle relève son tee-shirt et nous constatons qu'elle ne porte pas de soutien gorge. Il est vrai que ces seins sont trés petits et qu'elle n'en a pas l'utilité.



Pudique, Clara se retourne pour dégraffer son short et commencer à le faire descendre sur ces genoux.  Au fur et à mesure que Clara fait fait glisser son short , on s'apperçoit toutes que Clara ne porte pas de culotte. Un éclat de rire général accompagne la découverte de ses superbes petites fesses. On dirait une adolescente qui commence à se former.

"De face maintenant" demandent les plus grandes.

Clara est donc obligée de se retourner et nous faire face. Nous découvrons alors que si ses seins ne sont pas encore formés, son pubis lui trés poilu.
Cela contraste énormément avec la vision d'un corps d'enfant que  ses fesses et sa poitrine  pouvaient laisser immaginer.

Clara se tient debout devant toutes les filles, les mains sur le haut de sa poitrine pour laisser voir ses petits seins blancs.

"Maintenant, caresse toi" demande une des filles.

Clara hésite, mais de peur d'une éventuelle sanction, elle prend son sexe à deux mains et commence à se caresser maladroitement.


"Mais non, c'est pour rire" lui répond la fille.
"Rhabille toi" ton épreuve est finie
Clara semble apprécier cette dernière phrase et en moins d'une seconde, elle a remis sur elle son  short et son tee-shirt. Elle est à nouveau présentable.

Publié dans : bizutages
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Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 08:30

Le vendredi à 20 heures, je reçois un appel téléphonique, c’est elle. Moi qui devait la rappeler pour un rendez vous, je suis étonné de son appel.

 

« Viens immédiatement » me dit-elle, « je vais te faire passer une nuit dont tu n’a pas idée ».

Elle raccroche sans me laisser le temps de lui répondre, ni de l’interroger sur les raisons de son appel.

 

Deux solutions s’offrent à moi, soit je reste là et ma seule distraction pour la soirée sera de regarder la télé, soit je tente l’aventure. Mon excitation l’emporte vite sur mon petit confort personnel et je saute dans ma voiture pour rejoindre la sortie de Bourges.

J’arrive très vite devant la villa. Je sonne, la porte s’ouvre.

 

Elle est débout dans le salon à côté d’elle se trouve par terre une laisse et un tas de fines cordes. Je commence à entrevoir ce qui va m’arriver.

 

« Mets-toi entièrement nu » me dit-elle sans autre forme de politesse.

Il fait chaud dans la villa et cela me rassure. J’enlève un à un mes vêtements et les dépose sur un fauteuil du salon. Je suis maintenant complètement nu en face d’elle attendant ses ordres.

 
« A quatre pattes sur le parquet » me dit-elle.
« On va voir si tu obéis bien à ta maitresse »

Je me mets à genoux dans un premier temps et je la vois ramasser la laisse de chien et le collier qui y est attaché.

 

Elle me passe le collier en métal autour du coup puis me fourre son mouchoir dans la bouche.

« Marche à quatre pattes en suivant mon rythme ». Je suis obligé d’obéir et je commence à marcher sur le parquet en tournant avec elle autour du canapé et des fauteuils.

 

Une fois au milieu de la pièce, elle me fait asseoir et me demande d’écarter les jambes au maximum pour m’examiner.

 

« Ca n’a pas l’air de t’exciter beaucoup. Je ne te fais plus d’effet ? »

Je n’ose répondre. C’est vrai que mon sexe est tout recroquevillé et je n’ai pour le moment aucune envie d’avoir une érection.

 

Puisque c’est comme ça, tu vas être puni. Ca t’apprendra à ne pas être présentable devant moi.

 

Elle me conduit devant un fauteuil du salon en me tirant par le collier. Elle me fait asseoir et me demande de passer mes bras sous les accoudoirs et de poser mes pieds sur le fauteuil en repliant mes jambes au maximum.

Je reste dans cette position inconfortable qui de plus lui laisse voir tout mon « entre jambes » le temps qu’elle revienne avec des cordes.

 

Elle commence par m’attacher les poignets et les chevilles aux accoudoirs du fauteuil afin de me maintenir dans cette position. Je ne peux rien lui cacher. Mon petit sexe pend entre mes jambes et mes testicules frottent sur le tissu rayé du fauteuil.

 

« Maintenant que tu es bien en place, je vais commencer par te raser les couilles. Je déteste te voir ainsi exposé avec ses vilains poils qui me cachent la vue ». Elle part à la salle de bain et en revient avec un rasoir. Je suis étonné de ne voir ni savon, ni mousse à raser.

 

Elle s’approche de moi et commence à me passer le rasoir directement sur les testicules, sans aucune préparation. Le contact de la lame me brule la peau et chaque passage du rasoir et un véritable supplice. Au bout du huitième passage, je suis tondu et lisse comme un nouveau né.

 

Elle contemple son travail et se met à rire. Elle se baisse et ramasse une autre corde.

Elle s’approche de mon sexe et passe la corde autour de mes bourses. Elle fait plusieurs tours pour les emprisonner et attache la corde bien tendue derrière mon coup.

 

J’ai le sexe en feu et les couilles tirées vers le haut par cette corde qui me compresse et me fait mal.

 

Tu vas rester dans cette position le temps que j’aille faire des courses pour le diner. Ne pouvant pas lui répondre à cause du bâillon, je fais un petit oui de la tête afin de ne pas la contrarier.

Elle sort en claquant la porte et me laisse dans cette position inconfortable, les testicules à vifs à cause du rasoir.

 

Les minutes passent et je commence à avoir du mal à me tenir en place. Au bout d’une demi-heure, la porte s’ouvre et je vois dans l’entrée une silhouette qui m’est totalement inconnue.

Je suis pris de panique. Je ne connais pas la personne qui vient de rentrer, mais j’en suis certain, ce n’est pas ma « maitresse ». Cette femme est blonde aux cheveux longs et porte un grand foulard sur la tête. Je la vois toujours dans l’entrée déposer son manteau et elle m’apparaît vêtue d’une combinaison en cuir noir. Elle se dirige vers moi sans un mot.

Pétrifié de honte, mais aussi de peur, je baisse les yeux pour ne pas croiser son regard.

 

Toujours sans prononcer le moindre mot, elle me détache les mains et les chevilles, mais laisse en place la corde qui me tenaille les testicules. Elle me tire en avant à l’aide de cette corde et me conduit dans la chambre.

 

Elle me fait signe avec son doigt de m’allonger sur le lit. J’obéis sans oser protester et me allongé retrouve sur le dos. Elle commence par me rattacher les chevilles ensembles, puis m’attache les poignets aux montants du lit en bois.

 

Elle tire à nouveau sur la corde qui me lie les bourses et l’attache plus serrée derrière mon coup. J’ai soudain les testicules qui sont à nouveau tirées vers le haut et cela me fait un mal de chien. Je gémis sous mon bâillon pour lui montrer que je souffre.


 Elle doit s’en rendre compte, car elle attend seulement une dizaine de minutes avant de me libérer les bourses.

 

Une fois cette corde enlevée, elle me relève les jambes et me repasse la corde sous les genoux et derrière mes coudes. Une fois attachée ainsi, je ne peux plus baisser mes jambes et je ne peux cacher, ni le dessous de mes couilles, ni mes fesses qui s’ouvrent par cette nouvelle position. Je sens mon anus offert à sa vue se rétracter et je ne peux contenir un frémissement.

 

Je reste dans cette position inconfortable quelques minutes le temps pour mon bourreau de mettre un gant en caoutchouc. J’entends le latex claquer contre sa peau. Je devine malheureusement à quoi va servir ce gant.

 

Je sens tout d’un coup le contact d’un doigt contre mon anus. Elle commence à me titiller afin de mieux pénétrer. Elle a certainement mouillé son doigt avec de la salive car je sens couler quelque chose le long de mes fesses.

 

Une fois légèrement dilaté par ses mouvements, mon anus n’offre plus aucune résistance. Elle enfonce un doigt complètement et commence à tourner son index dans mon rectum. Avec son pouce, elle appui sur le bas de mes bourses pour mieux pousser en avant. Je suis mort de honte. Etre ainsi exposé nu, les cuisses écartées devant une inconnue qui vous sodomise sans un mot. Elle continue maintenant avec un deuxième doigt afin de dilater au maximum son anus qui était encore vierge il y a quelques jours.

 

Au bout d’une bonne heure de supplice, elle enlève son gant et se retourne. Elle quitte la pièce, sans prononcer une parole, et je l’entends remettre son manteau et claquer la porte d’entrée en sortant.

 

Je me retrouve à nouveau seul dans cette position très inconfortable. Mon anus me fait mal et j’ai envie d’aller aux toilettes car j’ai du mal à me retenir.

Les minutes passent et j’ai de plus en plus de mal à me retenir. J’ai beau contracter mes sphincters, je sens bien que je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps.

 

J’entends soudain la porte s’ouvrir et mon angoisse prend fin car je vais peut être pouvoir aller me soulager. Ma maitresse entre dans la chambre et me regarde sans dire un mot. Elle fixe soudain mon anus et aperçoit en peu de liquide qui commence à vouloir sortir de mon anus. Je gémis pour lui faire comprendre que je ne vais pas pouvoir me retenir. Elle a bien compris le message et me détache.

 

Je pense alors pouvoir m’enfuir en vitesse aux toilettes, mais son idée est toute autre.

Elle me tire par les testicules et me fait basculer sur la table qui se trouve devant la grande fenêtre. Elle me force à mis allonger sur le ventre et me rattache, les bras dans le dos, les cuisses écartées et pour bien me maintenir en place, elle fait passer une corde dans ma bouche et l’attache dans mon dos. Ainsi ficelé, je ne peux plus bouger.

 

Je sens que je vais me vider car même en serrant au maximum mes sphincters je commence à sentir la pression intérieure que je ne pourrais contenir. Ma maitresse revient avec un sceau et me le place sous les fesses.

 

Pour mieux m’humilier elle m’écarte les fesses avec ses mains et je sens immédiatement un jet sortir de mon anus. Je me vide dans un flot ininterrompu et je me met à pleurer de honte et rage de m’être laissé embarquer dans cette soirée.

 

Toujours silencieuse, ma maitresse procède à ma toilette intime, et elle m’essuie consciencieusement les fesses avec du papier toilette. Je sens sa main passer entre mes fesses pour enlever toute trace de saleté. Puis je sens un gant de toilette humide passer entre mes cuisses, mes fesses et laver tout mon entre jambes. Le parfum du savon me fait retrouver un peu de plaisir et bizarrement, je ne peux retenir une érection.

 
Ma maitresse s’en rend compte et elle éclate de rire.
 
« Gros cochon, c’est comme ça que tu prends du plaisir ? »
« Je vais te clamer, ça t’apprendras »
 

Elle me fait remettre debout et me ramène sur le lit. Elle me force à me coucher à plat ventre et s’assoie à côté de moi pour m’attacher à nouveau.

 Elle m’attache les chevilles et les poignets reliés ensemble, croisés dans mon dos afin de m’immobiliser complètement et m’empêcher tout retournement. Me voila encore dans une position je n’ai aucune chance de pouvoir de détacher.

 

Une fois les cordes solidement attachés, elle m’indique que je vais passer la nuit comme cela.

« Ce sera ta punition pour avoir taché mon dessus de lit »

Elle se relève et sans attendre elle éteint la lumière, me plongeant dans le noir total.

La nuit allait être longue…….
 

Au petit matin, j’ouvrais les yeux et je me trouvais en face de la magnifique blonde d’hier soir. Elle me fixait et attendais que je sois complètement réveillé. Je la regardais avec la tête tournée sur le côté compte tenu de ma position et je la vis tirer sur son foulard et sur ces cheveux. Le postiche lui resta dans les mains et je vis apparaître ma maitresse.

Elle s’était bien moquée de moi. Il n’y avait pas eu d’autre femme, c’était elle qui avait joué le rôle de l’inconnue.

Soulagé, je me mis à rire intérieurement.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Dimanche 11 mars 7 11 /03 /Mars 16:57

Je vais vous raconter mon bizutage vécu l’hiver 2002 à Mulhouse ou j’étais pensionnaire.

Les autres filles de l’internant se moquaient tout le temps de moi parce que je dormais avec Victor toujours avec mon ours dans mes bras.

 

J’avais alors dix sept ans et cela leur paraissait tout à fait anormal qu’une terminale tienne dans ses bras un ours en peluche.

 

Un soir où je dormais à poings fermés avec Victor dans mes bras, je fus réveillée par l’arrivée d’une dizaine d’internes filles mais aussi garçons, qui me réveillèrent en me secouant par les cheveux. Une paire de main ferme qui devait être celles d'un garçon me bloqua la tête et le bras gauche replié dans le dos.

 

« Nous avons trouvé une solution pour t’empêcher de tenir ton ours dans tes bras toute la nuit » dit l’une d’elle.

Les filles m’enlevèrent mon pyjama et je me retrouvais en culotte et mon soutien gorge dégrafé. J’essayais tant bien que mal de cacher ma poitrine.

 

Les filles se jetèrent sur moi et me mirent toute nue. Mon soutien gorge fut enlevé par-dessus les bras et je sentis ma culotte descendre le long de mes cuisses et s’en échapper malgré mes jambes serrées au maximum. Je me retrouvais allongée à plat ventre sur le lit maintenue par des bras fermes qui empêchaient toute résistance de ma part.

 

Je sentis soudain mes poignets tirés en arrière et attachés solidement avec une corde qui faisaient plusieurs tours.

L’une des filles me replia les genoux  et me croisa les jambes afin de les écarter pour me bloquer dans cette position et m’empêcher de me retourner. Une fois mes jambes croisées, mes chevilles furent attachées ensembles par de nombreux tours de cordes et repliées au maximum sur mes fesses. Mes coudes furent aussi attachés ensemble pour mieux m'immobiliser.

 

Mes poignets tirés vers le bas furent alors attachés à mes chevilles et j’étais dans l’incapacité de faire le moindre mouvement.

 

« Tu vas rester attachée comme cela toute la nuit Victor pourra dormir en paix » me dit l’une des plus grandes.

 

J’avais beau essayer de me retourner, il m’était impossible de faire le moindre geste.

Les filles me laissèrent dans cette position humiliante pendant une bonne demi-heure.

 

J’étais rouge de colère et de honte d’être obliger de rester ainsi les fesses exposées à la vue de toutes les filles. Les jambes écartées qui montraient mon sexe offert aux regards amusés et curieux des filles.

 

Au bout d’un temps qui me paru une éternité, les filles me mirent sur le côté, presque sur le dos. Mes seins étaient offerts à la vue des filles et des garçons qui se rincaient l'oeil avec plaisir.

Tu vas dormir comme ça, ce sera plus confortable, mais tu ne pourras pas te détacher. Si Victor arrive à dormir grâce à ton silence, nous viendrons te détacher demain avant que le pion arrive dans les chambres. Si tu proteste ou si tu appelle au secours, on te laisse comme ça. Pour être certaine que je ne puisse pas crier, une corde me fut passée dans la bouche en guise de baillon.

Jusqu’à ce que le pion te découvre et tu auras droit à un autre bizutage plus sévère dans quelques temps.

 

J’étais vaincue et j'acceptais donc mon supplice pour la nuit.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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Dimanche 11 mars 7 11 /03 /Mars 15:39

Carole nous avais depuis le début de l’année habitué à ses dérives sexuelles. On savait toutes qu’elle avait un penchant exhibitionniste et que chaque fois qu’elle le pouvait elle faisait tout pour se montrer nue dans les chambres des dortoirs ou dans les vestiaires.

 

Cela nous énervait prodigieusement de la voir se pavaner à poil, en nous narguant avec son corps de déesse. Elle se moquait sans cesse de nos petits seins, de notre pubis imberbe, de nos trop grosses fesses, et j’en passe. Nous devions accepter ses moqueries, sans trouver la parade, mais nous étions bien obligés de constater qu’elle avait un cul et un corps d’enfer et qu’à côté d’elle, nous faisions pale figure.

 

Pourtant un jour l’idée de la voir prendre la honte de sa vie devant tout le monde, nous trotta dans la tête et les filles de l’internat n’eurent de cesse de trouver un moyen de lui faire ravaler son arrogance.

 

Gislaine était très proche de la prof de Maths car c’était en fait sa belle sœur. Un week-end elle en profita pour lui parler de l’attitude de Carole et lui demanda de faire en sorte de l’aider à « venger » la classe.

 

Mme Antonin, la prof proposa à Gislaine de punir Carole de manière à lui faire la honte de sa vie. Ravie de cette proposition, Gislaine nous raconta sa discussion avec la prof et nous promis dans les jours à venir, un spectacle de choix.

 

Une semaine plus tard, Me Antonin fit venir Carole au tableau pour l’interroger sur des problèmes qui avaient été étudiés le mois précédent. Bien évidement, Carole avait déjà oublié les leçons et ne pu répondre. Mme Antonin commença par la traiter de feignante et lorsque Carole, lui répondit pour se justifier, elle saisit l’occasion pour la pousser à bout.

 

Carole ne voyant pas le piège venir, se mit à insulter la professeur avec arrogance. L’erreur à ne pas faire.

 

Mme Antonin, prit Carole par les cheveux et lui dit qu’elle allait être punie devant toute la classe pour son manque de respect. Si elle osait se rebeller, elle serait renvoyée définitivement de l’école. Carole n’osait plus bouger, ni répondre.

 
Derrière son bureau, elle fit approcher Carole.


Après l’avoir tiré par le chemisier pour accentuer sa peur,


Mme Antonin dit à Carole de venir s’appuyer sur le bureau, les mains posées à plat sur celui-ci, pour recevoir sa punition.

 

Une fois Carole en partie allongée sur le bureau, elle lui releva la jupe pour laisser voir à toute la classe sa grande culotte de coton bleu.

 

Mme Antonin passe derrière Carole et tout en la maintenant d’une main contre son bureau, elle commence à lui baisser la culotte pour faire apparaître son superbe fessier encore intacte.

 

Carole, n’ose pas bouger, car elle connaît les risques de la sanction. Son côté exhibitionniste doit pour le moment prendre le pas sur l’envie de fuir ou de se rebeller.

 

Nous sommes toutes ravies de voir carole ainsi exposée, le cul à l’air, punie comme une petite gamine de 10 ans, qui va recevoir une fessée en public.

Mme Antonin, prend dans sa main sa grosse règle en bois et commence à fesser le cul de Carole avec méthode et précision. Chaque coup est donné pour faire mal et le bruit du bois sur ces fesses et un régal pour nos oreilles, mais aussi pour nos yeux.

 

Carole se tord de douleur à chaque coup, mais n’ose pas se plaindre. La prof en profite pour accentuer cette fessée et elle frappe les fesses de Carole avec un rythme de plus en plus soutenu. Au dixième coup, Carole hurle de douleur.

 
La prof stoppe sa punition de peur de la blesser.
 

"Tu vas aller au coin comme une vilaine fille que tu es. La jupe relevée et le cul à l’air pour qu’il se refroidisse. Tu retourneras à ta place quand je te le dirais" ordonne Mme Antonin.

 

Carole se dirige au coin de la classe à gauche du grand tableau et se masse les fesses pour faire passer la douleur.

 

« Enlève tes mains de tes fesses » lui ordonne Mme Antonin. Carole ne peut qu’obéir.


Le spectacle est fabuleux et la honte et l’humiliation que subie carole est pour nous un grand moment de plaisir.
Carole est maintenant exposée devant nous, les fesses rougies par la règle, la culotte sur les cuisses, nous laissant entrevoir le sillon de ses fesses. Ainsi exposée devant toute la classe, son arrogance est terminée.

Nous savons maintenant que Carole n’auras plus la possibilité de se moquer de nous jusqu’à la fin de l’année scolaire.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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