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Dimanche 4 mars 7 04 /03 /Mars 00:06
Mes parents venaient de m'offrir un appareil photo numérique pour mes 15 ans et je révais de m'en servir pour faire des photos "coquines" sans avoir à apporter les pellicules à développer.

Je décidais de faire un reportage photo sur la manière dont mes copines de colonie de vacances faisaient leurs besoins.
Les promenades en forêt étant nombreuses, il me serait facile de suivre une fille chaque fois qu'elle s'éloignerait des autres pour aller se soulager.

Geneviève fut ma première vistime. Un mercredi alors que nous marchions au beau mileu d'un bois, elle me dit de continuer à marcher le temps qu'elle fasse ses besoins. Je faisais semblant de continuer de marcher, pour faire demi tour une fois qu'elle se cru seule.

Je la regardais se déshabiller et je me mis à la photographier. Elle regarda à doite puis à gauche pour vérifier que personne ne pouvait la voir. Une fois certaine d'être seule, elle entreprise de se mettre déshabiller et enlever sa culotte..

Elle fit glisser sa culotte sur ses cuisses, et l'enleva prestement.


Une fois complètement nue elle s'accroupie et se mit en position pour se soulager la vessie.


Je me trouvais pile en face d'elle, caché derrière un arbre et je pouvais la photographier sans qu'elle s'en rende compte. Elle continuait à se vider, persuadée d'être seule et à l'abri des regards indiscrets.


Son jet d'urine était long et régulier. Elle appuyait sa main sur son sexe et écartait ses grandes lèvres avec ses doigts afin de faciliter la sortie du liquide.


Une fois vidée, elle se redressa et s'essuya avec un mouchoir en papier. Elle frottait son sexe avec délicatesse.

Puis elle ramassa sa culotte.

Et commenca à se rhabiller.


Moi, je continuais à la photographier à son insu, ravi de pouvoir faire de telles photos sans que Geneviève s'en rende compte.

Maintenant il me fallait trouver une autre fille à photographier. Ce ne fut pas long à attendre car aprés avoir bu pendant le trajet, plusieurs filles avaient envies de se soulager.

Brigitte fut la deuxième vicitme de mon appareil photo. Pendant qu'elle s'isolait du groupe, je la suivait et me cachait derrière un gros buisson pour la photographier.

Elle commenca à se déshabiller puis commenca à baisser sa culotte. en vérifiant que personne ne pouvait la voir.

Elle décida de l'enlever complètement. J'avais du mal à me retenir pour ne pas éclater de rire. Pouquoi donc Brigitte se déshabillait complètement pour pisser ?


Je compris pourquoi en la voyant pisser. Son jet d'urine était incroyablement puissant et elle aurait certainement sali ses vetements. Je la voyais écarter ses granges lèvres avec ses doigts afin de faciliter la sortie du liquide. Elle s'appuyait de l'autre main sur le sol pour ne pas perdre l'équilibre. Mes photos allaient être superbes.


Une fois  qu'elle eut fini de pisser, elle prit un bout de papier qu'elle avait préparée et s'essuya le sexe toujours d'une main avec vigueur.



Une fois essuyé correctement, elle se releva et commenca à se rhabiller.

Elle entendit un bruit , se qui lui fit accélérer son opération et elle remis en vitesse le reste de ses vetements.

Moi, j'étais ravis, car j'allais pouvoir montrer aux autres filles, mes superbes photos.
On allait bien rigoler en les regardant et en découvrant le sexe offert de chacune.
Peut être que ces photos me serviraient aussi pour obtenir d'elles quelques avantages.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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Samedi 3 mars 6 03 /03 /Mars 17:02
Voila tout simplement les photos que j'ai prise lors d'un après midi croustillant dans la chambre de Julie.

Julie est depuis toujours notre souffre douleur et nous avions décidé de lui faire découvrir les plaisirs de la chair. Encore vierge et sans aucun petit copain, Julie ne pense qu'à ses bouquins de classe, à ses maths, brefs c'est une bucheuse obsédée par ses études.

Sandra et Claire, mes deux meilleures copines , sautent sur le lit de Julie qui était entrain de lire. Sandra lui enlève sa jupe et lui relève son tees hirt pendant que Claire la maintient en lui intimant l'ordre de ne pas se défendre.

Peu courageuse, Julie n'ose plus bouger et se laisse faire contrainte et forcée.
Claire qui a prit avec elle son vibromasseur, commence à caresser le clitoris de Julie, pendant que Sandra lui lèche le bout des seins pour voir sa réaction.



Pour aller encore plus loin dans le jeu, Sandra lui écarte la culotte sur le côté pour dégager son sexe. Julie n'avait aucun poil sur le sexe ni sur le ventre, ce qui fait rire les filles qui continuent à lui passer le vibro sur le sexe pour essayer de la faire réagir. Julie ne pouvait s'empécher de crier , sans que l'on puisse savoir si c'était de plaisir ou de peur.



Soudain, elle se mit à jouir avec force et elle se mit à gigiter dans tous les sens.

"arrête de gesticuler comme ça ou l'on t'attache" lui dit  Claire.
Mais Julie continuait à avoir des spasmes. Elle venait d'avoir un orgasme pour la premire fois.

On va te ficeler pour pouvoir continuer à te faire jouir.

Sandra alla chercher des cordes dans la salle de sport et se mit à ligoter Julie sur son lit.
Elle commenca par lui attacher les mollets sur les cuisses afin de bien ouvrir ses jambes.
Pendant ce temps j'en profitais pour prendre des photos du sexe offert de Julie.
Son sexe sans poil était offert à mon appareil photo et je mitraillais pour avoir de quoi nous amuser par la suite.



Je demandais aux filles de changer Julie de position pour varier mes photos. Sandra en profita pour allonger Julie sur le ventre aidée dans sa tache par Claire.

Une fois sur le dos, on lui attacha les chevilles ensemble et on le lui ramena dans le dos afin de les attacher le plus prés possible de ses mains. Aisni ligotée il lui était impossible de faire un mouvement. Claire lui attacha le bout des pieds avec une autre corde et  relia la corde aux cheveux de Julie afin de lui faire relever la tête. Elle resta dans cette position pendant une dizaine de minutes pendant que je prenais des photos.


"maintenant il faut la ligoter définitivement pour quelle se calme enfin" dis je.
"Sandra, attache là dans la position du lotus, ce sera rigolo et je pourrais tout photographier".

Claire et Sandra étaient des véritables professionnelles des noeuds. Elles attachèrent rapidement Julie dans la poisition du lotus, les jambes croisées mettant en parfaite vision les lèvres de son sexe.

Son sexe largement ouvert à ma vue me permettait de faire de trés bon "gros plans".
Sandra avait aussi solidement attaché les seins de Julie. Les mains liées dans le dos, Julie ne pouvait plus bouger et pour finir le "paquet" Claire passa la dernière corde au dessus de la poutre du plafond. Ainsi fait il ne restait plus qu'à soulever légèrement Julie pour la maintenir dans cette position sur le lit.

Il lui était absolument impossible de faire le moindre mouvement et elle allait devoir rester aussi longtemps que les filles le voudrait.
Les seins compressés par les cordes, le sexe offert  elle était superbe pour une petite vierge.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Samedi 3 mars 6 03 /03 /Mars 15:48
Une année alors que j'étais en pensionnat de St Joseph à Avignon, j'ai assité au bizutage de Pauline qui devait subir son examenr de passage pour être acceptée par les grandes en tant que nouvelle interne.

Nous étions dans la salle de sport et les grandes avaient décider de bizuter Pauline à la fin de l'heure de soprt des filles. Une fois que Mme Lucas la prof de gym eut quitté les vestiaires pour se rendre à la salle des profs, Inés, la plus grande donna le signal de départ.


Sans qu'elle puisse s'en douter ni s'enfuir, Pauline fut attrapée par les plus fortes et fut mise à terre. Pauline était une grande brune musclée, mais à cinq contre une, elle ne pouvait espérer se défendre.

Une fois nue, elle fut mise à plat ventre sur les bancs du gymnase. Elle ne devait obéir sous peine de recevoir une véritable correction. Une fille lui pressa la nuque pour la forcer à rester en place sur le banc.

Pétrifiée par la peur, Pauline se laissa faire.

"Tu vas être fessée devant nous" lui annonca Inés.
" Si tu bouge du banc, nous te tondons le crane, à toi de choisir"

Les coups commencèrent à tomber sur ses fesses et elle n'osait plus bouger d'un centimètre.
Pauline sérait les dents pour ne pas crier.

Ses fesses commencaient à rougir et elle avait de plus en plus de mal à rester en place.
Les marques étaient bien visibles sur le bas et le haut de ses fesses. Pauline endurait son supplice avec courage.


L'une des filles lui passa un bandeau sur les yeux afin qu'elle ne puisse plus rien voir.

Une fois le cul bien rougi, il fallait finir le bizutage, car cela n'était que les hors d'oeuvres !!!

On fit allonger Pauline sur sa serviette qui était restée sur le sol.

Plaquée au sol, sur le dos, elle fut maintenue les jambes en l'air et les bras repliés sur ses chevilles. On voyait à la fois son sexe et son anus, car elle n'avait pas de poils et cela permettait d'avoir une vue imprenable sur son entre jambes.



Pendant que l'une des filles tenait en l'air les deux jambes de Pauline, Inés liait les jambes et les bras de Pauline. Elle se retrouva trés vite bras et jambes tendues vers le haut , son derrière parfaitement exposée.

Mais Pauline gesticulait dans tous les sens et commencait à crier. Elle avait basculée sur le coté et essayait de se délier. Les cordes n'étaient pas assez serrées et il fallu tout recommencer.

Christine, eut l'idée de refaire les liens de Pauline en attachant séparément les poignets et les chevilles.

En quelques minutes Pauline se retrouva cette fois parfaitement bien attachée, sans aucun espoir de pouvoir se détacher seule.

Fatiguée de lutter, elle restait là, recroquevillée , étendue sur le côté, vaincue, attendant la suite de son bizutage.

Pauline ne pouvait pas se rendre compte que sa position offrait une vue imprenable sur son entre jambe et sur son trou de balle. Sa postion les jambes ramenées vers son ventre cachait évidement un peu ses seins et son pubis, mais il faisait automatiquement s'écarter le sillon de ses fesses et l'on voyait son anus imberbe qui fremissait sous l'effet du froid et de honte.

Son bizutage n'en n'était qu'à son commencement, car les filles avaient décidé de laisser Pauline dans le gymnase. Les terminales "C" n'allaient pas tarder à arriver pour leur aprés- midi de sport.

Ils allaient avoir une bonne surprise en découvrant Pauline dans cette tenue.

Pétrifiée par la honte Pauline , pleurait en attendant sa délivrance. Ce fut le prof des terminales qui la détacha aprés que tous les garcons eurent pu se rincer l'oeil pendant plusieurs minutes.
Pauline une fois détachée par le prof est  partie se rhabiller dans les vestiaires sous les applaudissements des garçons.
Pendant plusieurs jours le calvaire de Pauline fut terrible car les garçons  se moquaient d'elle à tout bout de champ.
Pour un beau bizutage, se fut un beau bizutage.
Par Laure - Publié dans : bizutages
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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 23:31

Claire été depuis longtemps attirée par les jeux un peu pervers. Nous sortions ensemble depuis quelques mois et à chaque occasion que nous nous retrouvions seuls chez elle, Claire n’avait de cesse de me provoquer pour tester mes réactions.

 

Si je ne suis pas sage, tu peux me punir tu sais me disait-elle. Elle ne savait pas comment me dire ouvertement qu’elle rêvait de se faire dominer par un garçon.

 

Un après midi ou nous avions convenu de nous retrouver dans son appartement, je fus surpris de la retrouver qui m’attendait dans une tenue qui ne laissait planer aucun doute sur ses pensées secrètes.

 

Elle était allongée sur la table basse du salon, en slip et soutien-gorge blanc dans une position sans équivoque. A côté d’elle une longue corde de chanvre était roulée sur son ventre et attendait de servir. Elle meregardait d'un air qui m'invitait à passer à l'action.


Sa demande était tellement évidente que je décidais de jouer les jeux et de faire en sorte de satisfaire ses envies.

 

« Claire, tu as encore laissé la porte du garage grande ouverte, si tu veux attirer les voleurs, c’est le meilleur moyen. Tu mérite une punition car c’est la troisième fois que cela arrive » lui dis je.

 

Sans lui laisser le temps de répondre je suis ordonnais de s’asseoir sur la table et de me tourner le dos. Je lui ôtais son soutien-gorge et lui attachais solidement les mains dans le dos.

 

Claire se laissait faire et je sentais qu’elle y prenait beaucoup de plaisir.

 

Mais pour que ce jeu érotique prenne un sens « punitif », je lui passais la corde autour des seins et serrais pour lui comprimer les seins et l’immobiliser dans une position contraignante.

 


Une fois ligotée solidement, je l’allongeais sur la table, à plat ventre pour continuer ce bondage qui commençait à m’exciter moi aussi.

 


A l’aide d’une seconde corde, que Claire avait laissé bien en vue pour que je la trouve facilement, je lui liais les chevilles en lui ayant auparavant écarté les genoux afin qu’elle ne puisse plus bouger d’un centimètre une fois attachée sur la table.

 

Je ramenais ses chevilles le plus haut possible contre son dos et je les attachais à ses poignets. Il lui était impossible de bouger et je lui dis que j’allais faire des courses en ville et que je reviendrais dans une heure ou deux.


Claire n’osa rien me dire et accepta la sanction, sachant que je tiendrais ma parole.

Au moment de partir, je me dis que je pouvais tirer avantage de la situation, car Claire avait oublié sur le buffet du salon, son appareil photo numérique.

 

Sans qu’elle s’en rende compte j’en profitais pour la photographier dans cette position. Je me mettais à genoux derrière elle pour mieux photographier son sexe qui était parfaitement en vue grâce aux cuisses que j’avais écarté au maximum. Pour ne pas qu’elle se rende compte que je la photographiais, je toussais à chaque prise de vue pour couvrir le bruit du déclanchement.

 

Mais je ne voulais pas en rester là. Je décidais de modifier la position de ma victime.

Sans autre explication, je la retournais sur le dos pour l’attacher dans une position que je lui présentais comme « plus confortable ».

« Tu vas rester dans cette position jusqu’à mon retour. Interdit de bouger ou de chercher à te détacher » lui dis je.

 

Une fois sur le dos, je lui repliais les jambes et j’attachais ses chevilles à ses cuisses pour qu’elle s’ouvre naturellement. La longue corde me permis de l’attacher solidement à la table en faisant la faisant passer sur son ventre et sous la table pour qu’elle ne puisse pas se relever.

 

Je lui écartais les jambes le plus possible et la maintenais dans cette position en attachant les chevilles aux pieds de la table.

Dans cette position, elle était à la fois obscène et très désirable. J’avais une vue imprenable sur son sexe qu’elle avait épilé quelques jours auparavant. Elle ne pouvait se douter que ce rasage me permettrait aujourd’hui de faire de superbes photos.   



Claire ne pouvait pas relever la tête et j’en profitais pour faire à nouveau quelques photos d’elle dans cette position. On ne sait jamais ça pourrais toujours servir.

 
« A ce soir » lui dis je, en quittant la pièce.

« Non pitié, revient vite, je t’en supplie, c’était pour rire» me cria Claire.

Je claquais la porte et partais en ville rejoindre mes copains. Bien sur j’avais emporté l’appareil photo numérique.

 

Une fois en ville, j’en profitais pour me rendre à une borne de développement rapide.

Une fois les quelques photos tirées sur papier, je décidais d’en faire profiter mes copains.

Claire était à cent lieux de se douter que nous étions entrain de la mater sous toutes les coutures.

Par ERIC - Publié dans : bizutages
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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 12:16

Mme Durand était la pire des profs du collège. Elle punissait pour un oui ou pour un non, sans raison, pour le simple plaisir d'humilier.

 

Pour les vacances de Pâques elle punit sans raison apparente, Jean Marc qui du rester en retenu tout le week-end. Il ne put disputer le match de foot qui devait qualifier son équipe pour la finale du tournoi départemental. Il jugea de se venger.

 

Un mercredi à midi, il avait donné rendez vous à trois copains d'un autre lycée pour l'aider à donner une belle correction à Mme Durand.

 
Jean Marc restait en retrait afin de ne pas se faire reconnaître.
 

Les trois comparses pénétrèrent dans la salle de classe. Mme Durand était entrain de ranger ses affaires de classe. Sans lui laisser le temps de réfléchir, ils l'attrapèrent et elle se retrouva quelques instant plus tard complètement à poil devant eux. Cagoulés, ils ne risquaient pas d'être reconnus.

 

Ils décidèrent de l'attacher dans un premier temps sur une des chaises de la classe. Elle se retrouva  les mains liées derrière le dos attachées aux barreaux et les jambes écartées dont l'une fut passée sur l?accoudoir afin de mettre son sexe en évidence.


 Ils la regardèrent pendant un bon moment puis décidèrent  de la changer de place. Ils l'attachèrent donc ventre sur le dossier afin qu?elle soit découverte ainsi et que tout le collège se moque d'elle. Le ventre plaqué sur le dossier du banc, les jambes écartées et liées aux pieds du banc, les fesses offertes à la vue de tous, elle était dans une posture humiliante à souhait.


Après avoir vérifié la tenue des liens, l'un d'eux passa sous ses fesses pour regarder de plus prés son sexe. Il était entièrement rasé et cela le fit rire. Il lui dit avec ses mots d'adolescent :

« mais tu es une véritable petite salope » Elle était rouge de honte.

 

Ils partirent en laissant la porte ouverte. Mme Durand se retrouva ainsi seule dans la classe entièrement nue et attaché sans espoir de pouvoir se délivrer. Elle devrait attendre que quelqu?un vienne la délivrer. Quelle honte.

 

Jean Marc entra le premier dans la classe et Mme Durand compris qu'il ne devait pas être étranger à son humiliation. Elle le menaça, ce qui eu pour effet de mettre Jean Marc hors de lui. Au lieu de la délivrer, Il décida de corser la punition.

 

A l?aide des cordes qui avaient servi à l'attacher, il accrocha Mme Durand aux deux anneaux qui servaient à retenir les vasistas au dessus du tableau noir.

Il l'écarta afin de pouvoir attacher ses genoux. Les bras liés derrière le dos elle se retrouva très vite suspendu dans le vide les pieds à presque un mètre du sol, plaquée contre le tableau de la classe. Pour finir il lui attacha les cheveux en l'air pour qu'elle relève la tête et puisse faire face à ses élèves.

Ses copains avaient oublié de mettre le bâillon en place. Il lui mit dans la bouche pour l'empêcher de demander du secours. Il parti sans rien dire, sachant à l'avance que son renvoi du collège allait suivre dans les jours à venir.

Par JEAN MARC - Publié dans : bizutages
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