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Dimanche 11 mars 7 11 /03 /Mars 08:21
Bizutage d'Erika:

Je m’appelle Erika et j’habite Zurich. Je suis en Troisième année d’école d’infirmière et je vais vous raconter mon bizutage d’entrée en Troisième année.
Dans notre école, la tradition veut que toutes les filles subissent un bizutage au passage en dernière année d’école. Pour cela chaque année, une journée est réservée aux bizuts.

Le bizutage doit avoir un caractère érotique tout en restant dans « l’acceptable ».

 

Un tirage au sort des épreuves pour chacune des filles se fait devant toutes les promos et chacune des bizuts doit accomplir son gage en présence des autres et sous le contrôle du comité de surveillance des « majors ».

 

J’ai conservé les photos prises par les filles lors de ce bizutage. En effet, chez nous, vaincre sa peur et réussir son bizutage est vécu comme un trophée et chacune en garde un souvenir sur photos.

 
Moi, j’ai tiré dans la corbeille le bizutage suivant :
 

Traverser entièrement nue la grande place centrale, sans courir, sans se cacher, et rejoindre la station de Tramway par la rue du commerce.

 

Je devais donc m’exécuter et j’avais pour témoin une dizaine de « Quatrième année » qui me suivaient à distance pour prendre les photos et vérifier que je ne triche pas.

 

Une fois arrivée en bus sur la place Centrale, j’enlevais rapidement mes vêtements, ne gardant avec moi que mon sac à main. Les filles récupéraient ma jupe ma culotte, mon chemisier, mon pull et mon soutien gorge. Je ne gardais que mes baskets et mes chaussettes car le sol était très froid. Heureusement pour moi il faisait beau ce jour là.

Je commençais à marcher sur la grande place. Il n’y avait pas grand monde et cela me permit de me mettre un peu en confiance. Les terrasses de café étaient encore vides. Mais je devais rejoindre la rue du commerce, et ce serait certainement beaucoup plus fréquenté.

 

 

Effectivement, les commerces déjà ouverts attiraient du monde et je devenais de plus en plus angoissée d’avoir à me promener nue devant les autres. Bizarrement, les gens faisaient comme si de rien n’était. Je marchais raide d’un pas régulier essayant de ne pas croiser de regards. Régulièrement Ulli prenait des photos de moi au milieu de la rue et des passants et je sentais monter en moi une incroyable envie de me mettre à courir pour fuir me cacher. Mais je devais dominer ma peur.

 



Je passais devant une rame de tramway et je voyais les regards des passagers qui me regardaient de la tête aux pieds. Mes petits seins commençaient à avoir froid et le vent qui soufflait me faisait frémir les fesses.

Pour ne rien vous cacher, me promener ainsi nue en pleine ville m’excitait une peu, car cela été très bizarre comme sensation. Je sentais monter une sorte d’excitation et cela me fit rire lorsque j’arrivais devant la station de Tramway, ce qui signifiait que j’avais réussi mon bizutage.


Je pouvais laisser éclater ma joie, car j'avais vaincu ma peur et ma timidité.

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Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 23:05

La deuxième année de préparation SUP..... Grenoble est l’occasion de grands délires et de bonnes parties de rigolades lors des épreuves de bizutages des « deuxième année ».

 

J’ai gardé précieusement des photos de la promo 78 et je me rappelle encore comme si c’était aujourd’hui le bizutage de Pauline, la plus déjantée des filles de la promo.

 

Pauline passait son temps à fumer du « hash » comme un pompier et elle était souvent dans un état second qui lui faisait ressembler à Janis Joplin.

 

Le jour de son bizutage, les garçons choisirent de la faire planer en forêt. Après lui avoir fait fumer plusieurs doses de « hash » sous prétexte d’une promenade difficile avec le groupe de filles, nous partîmes tous dans la forêt qui borde le campus.

 

Une fois arrivé au beau milieu d’une clairière, il fut annoncé à Pauline, qu’elle allait être bizutée. Elle riait et ne semblait pas se rendre compte de ce qui lui arrivait. Elle regardait fixement le sol, les jambes écartées et ses bras derrière le dos.


 

Les garçons placèrent Pauline au milieu de deux arbres et lui écartèrent les bras pour l’attacher dans la position la plus érotique possible. Nous allions assister à une magnifique « mise à poil ».

Pauline était une très belle jeune fille et les garçons étaient très excités à l’idée de la mettre nue. Pauline semblait accepter son bizutage avec philosophie et elle se laissait faire sans rien dire, d’un air absent et résigné.

 

Une fois les bras attachés en croix, l’un des garçons commença par lui enlever son chemisier.

C’était d’autant plus facile, qu’il s’agissait d’un chemisier entièrement boutonné sur le devant et sur toute la longueur des manches. Il suffisait donc de faire sauter tous les boutons pour pouvoir l’enlever. Son soutien-gorge fut aussi enlevé en enlevant simplement les pressions.

 

Pauline se retrouva bientôt en jeans, torse nu et cela ne semblait pas la gêner outre mesure.

Marc, le plus excité passa derrière elle, et lui fit lentement descendre le jeans sur les genoux.

 

Pauline se balançait lentement d’avant en arrière et elle regardait le sol d’un air totalement étranger à la situation.

Pour ma part, je prenais un malin plaisir à photographier ce bizutage qui était pour moi un moment très excitant.

 

Le Jeans de Pauline continuait de glisser tout seul sur ses chevilles et l’on pouvait voir sa toison aussi blonde que ses cheveux.


 Ainsi attachée telle une belle indienne, elle était vraiment superbe. Ses minuscules petits seins semblaient se cacher derrière sa magnifique chevelure. Son pubis trés poilu. C'était une vrai blonde.

 

Je passais derrière elle pour photographier ses fesses. Là, surprise : L’envers était nettement moins joli que l’endroit.

En effet elle avait de drôles de fesses, molles et couvertes de vergetures. Autant Pauline faisait son âge de face, autant de dos elle paraissait vingt ans de plus.


Mais elle semblait assumer son physique avec le plus grand détachement, ce qui mit tout le monde dans une bonne humeur générale qui fit que très vite, le bizutage de Pauline prit fin.

Après l’avoir laissé ainsi pendant quelques minutes, le temps pour moi de finir ma pellicule,

 

Les garçons détachèrent Pauline et elle pu se rhabiller, sans se presser pour autant, pour rejoindre le groupe des filles. Elle semblait toujours aussi détachée de la situation et cela nous faisait un effet bizarre.

Quand je repense à cet après midi, je me dis que nous avions eu beaucoup de chance de tomber sur une fille aussi conciliante et mes photos sont toujours aussi agréables à regarder.

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Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 13:15

Un souvenir génial du bizutage de Christine pendant les vacances de Février.

Nous étions au chalet du Ski Club de Pra Loup et Christine venait de se qualifier pour la finale des championnats de ligue Junior. Sa spécialité le slalom géant.

 

Au cours d'une soirée bien arrosée à boire en cachette des bières entre copines, on avait fait un pari stupide. Christine était tellement persuadée de gagner tant son niveau de ski était bon qu?elle paria avec nous que si elle ne gagnait pas, nous pourrions la bizuter de la manière que nous choisirions. Si au contraire elle gagnait, nous devrions sortir toutes à poils dans la neige pour une bataille de boules de neiges. C'était plutôt marrant comme bizutage et au final on ne risquait pas grand-chose, si ce n'est un bon rhume.

 

Heureusement pour nous le sort allait nous être favorable, car Christine fut battue à la régulière par une « gamine » d' Isola 2000 qui lui mit plus de deux secondes dans la vue.

 

Une fois rentrés au chalet du Ski club, Christine reconnue sa défaite et comme elle avait l'esprit sportif, elle déclara devant nous toutes :

«  J'ai perdu, j'attends votre décision »
 

Claudine, qui était sa meilleure amie, eu envie de lui faire subir le même bizutage qu'elle comptait nous faire subir en cas de victoire.

 

«  Nous allons faire un stand de tir er tu vas nous servir de cible » proposa Claudine.

Des applaudissements se firent entendre et l?on décida de passer immédiatement à l'action.

 

« Tu devra rester nue dans la neige, pendant notre compétition »

 

Christine fut conduite derrière le chalet et une fois complètement déshabillée, on lui dit de se mettre contre un arbre et de ne plus bouger. Le froid la fit souffler comme une locomotive.
On voyait sa fine toison pubienne se raidir sous le froid.

 

Pour s'assurer qu'elle reste bien en place, Gisèle lui attacha les mains derrière le dos avec son foulard. Pour bien la mettre en condition, Gisèle lui pressa les seins pour lui montrer qu'elle devait se tenir tranquille et attendre son bizutage sans broncher.


Christine était vraiment superbement bien foutue et elle nous dévisageait ne nous croyant pas capables de continuer.

La première boule de neige qui fut lancée la frappa en pleine poitrine.


Christine commençait à bouger pour essayer d'esquiver les boules de neiges qui arrivaient de tous les côtés.

 

A un moment Christine fut obligée de se protéger avec ses jambes. C'était marrant de la voir gesticuler. Elle levait les jambes pour essayer de se protéger et le spectacle de son entre jambes ainsi offert à notre vue était des plus sexy.

 

Christine recevait sur le corps de plus en plus de boules car nous devenions de plus en plus précises. Son corps ruisselait de l'eau qui fondait malgré le froid. Elle était tellement orgueilleuse qu'elle ne voulait pas demander grâce.

 

Au bout d'une demi-heure de bizutage, on alla la détacher car son teint commençait à virer au bleu. Une fois détachée, elle couru toute nue dans la neige à toute vitesse pour rejoindre les douches.

Nous la suivions du regard, admiratif de son endurance et de sa volonté. Le soir nous avons longuement reparlé et rigolé de cette séance de tir un peu spéciale.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 12:03

Je vais vous raconter la scène dont j’ai été le témoin privilégié lorsque j’étais en internat au Lycée à Blois.

 

Nicole, était une vraie peste, et toutes les filles la soupçonnaient de voler dans les placards, car régulièrement des affaires disparaissaient le samedi matin avant de renter dans nos familles. Mais à ce jour nous n’avions aucune preuve et il fallait trouver un moyen de la coincer.

 

Laure eu l’idée de laisser dans son placard ouvert deux billets de 50 francs dont elle noterait les numéros. Il fallait simplement à la sortie de l’école les lui faire sortir pour vérifier si c’était elle la voleuse.

 

Le samedi suivant Laure plaça les billets dans son placard, et bien évidement à midi, les billets avaient disparu.

Laure avait demandé à Bernadette qui était ceinture noire de Judo (et considérée par nous toutes comme la plus forte des filles du Lycée) de suivre Nicole jusqu’à la station de Bus pour voir si elle sortait un billet de 50 francs.

Une fois derrière elle à la montée dans le bus, elle vit Nicole payer avec un billet de 50 francs.

Pour être en mesure d’apporter la preuve de son vol, elle demanda au chauffeur de lui échanger le billet contre cinq pièces de 10 francs.

Elle alla s’asseoir à côté de Nicole et lui dit qu’elle devrait descendre avec elle au prochain arrêt. Tout en lui serrant le poignet fortement, elle lui intimant l’ordre de ne pas protester.

 

A la sortie de la ville, le bus stoppa pour faire descendre les premières filles, et Bernadette força Nicole à la suivre. Laure, Evelyne, Julie et moi étions descendues aussi pour assister à la punition qui attendait Nicole.

 

Une fois rendue derrière le mur qui délimitait la grande propriété agricole du « Cherny » Bernadette sortie le billet de 50 frs et dit devant nous quatre qu’elle allait devoir payer pour tous ses vols.

 

Sans attendre sa réponse elle força Nicole à se déshabiller. Dans un premier temps elle lui releva sa jupe pour nous faire voir sa culotte blanche.


Nicole commençait à avoir réellement peur, mais elle n’osait pas prononcer le moindre mot.

 

Ordre lui fut donné d’enlever tous ses vêtements et de se mettre totalement nue.


 Bernadette avait récupérée une baguette en bois qui servait de tuteur à des plantes.

Laure prit la parole et annonça à Nicole qu’elle allait recevoir cinquante coups de baguette sur les fesses pour la punir de tous ses vols.

 

Bernadette lui intima l’ordre de se mettre à genoux et de nous tourner le dos afin que l’on puisse se délecter du spectacle et voir son petit cul blanc rougir sous les coups.


 

Bernadette commença à compter à haute voix et à chaque fois on entendait le sifflement de la baguette qui venait frapper les fesses de Nicole.

 

Son cul devenait de plus en plus rouge au fur et à mesures que la baguette faisait son œuvre.

Nicole n’osait pas crier de peur qu’on là découvre dans cette tenue et dans cette position.

 

Nous comptions les coups en même temps que Bernadette.


Une fois arrivé à cinquante, l’une des filles dit :

«  Qu’elle se relève que l’on voit son gros cul de voleuse »

Bernadette tenait Nicole par l’épaule afin de parer à toute tentative de fuite.

Une fois debout devant nous, nue, les fesses aussi rouges qu’une tomate mure, Aline ramassa les vêtements de Nicole et lui dit.

«  Les voleuses, ça n’a pas besoin de vêtement. Tu n’aura qu’à voler les feuilles des arbres pour couvrir ton gros cul »

 

Julie qui n’avait pas bougé jusqu’à présent, sortie sa trousse de son sac et en sortit son gros feutre noir indélébile.

Elle s’approcha de Nicole, se mit à genoux devant ses fesses en lui ordonnant de ne pas bouger.

Julie enleva le bouchon du gros feutre et commença à écrire sur chaque fesse de Nicole.

Sa tête nous cachait le texte et c’est seulement lorsque Julie se releva pour ranger son feutre, que nous pûmes voir ce qu’elle avait écrit.

 
Sur chaque fesse était écrit en majuscule : Voleuse.

Nicole se mit à pleurer, mais n’osait pas bouger. Ses joues étaient aussi rouges que ses fesses et quand elle nous vit repartir toute les cinq avec ses vêtements, elle comprit qu’elle allait devoir rentrer chez elle à poil. Elle se mit accroupi et réalisa soudain que l’encre noire allait prendre des semaines voir des mois à partir. Toutes les élèves allaient voir ses fesses dans les vestiaires et dans les douches. Sa punition ne s’arrêtait donc pas aujourd’hui.

 

Il était treize heures, nous étions à la sortie de la ville et elle allait devoir faire plus de trois kilomètres à pied à travers champs pour espérer rentrer chez elle sans qu’on la découvre ainsi :

Nue, le cul tuméfié par les coups et le texte terrible écrit sur son derrière qui allait prendre des semaines avant de s’effacer.

 

En attendant le bus suivant, nous regardions Nicole s’éloigner en essayant tant bien que mal de courir dans le champ avec une main sur ses seins et l’autre devant son sexe. Cette attitude nous fit rire car elle allait se ralentir énormément en courant de la sorte.

 
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Dimanche 4 mars 7 04 /03 /Mars 07:00
Diane était une superbe blonde qui draguait tous les grands du collège. Elle n'avait aucun scrupule à faire voler en éclats les couples déjà formés, et se régalait de voir son emprise sur les garçons.

Elle avait pour meilleure amie, Martine, qui lui servait souvent de "rabatteuse" en faisant circuler les informations pour le compte de Diane.

On en été au milieu de l'année scolaire et Diane avait déjà fait succomber quatre garçons qui avaient du rompre avec leur petite amie pour espérer pouvoir seulement embrasser Diane.

Les filles commencaient à en avoir mare de Diane et de sa fidèle "bonne à tout faire".

Au cinquième couple que Diane vit casser, les filles du lycée décidèrent de se venger et de donner une bonne leçon aux deux filles.
Il fallait les calmer définitivement et rien de tel qu'une bonne humiliation pour renverser la vapeur.

Un aprés midi aprés les cours les filles se réunirent et décidèrent de bizuter les deux filles dans le petit bois qui se trouvait juste derrière le collège.

Il fallait préparer le plan d'action et on prépara des cordes et des rouleaux de scotch pour pouvoir les attacher solidement.

On commenca par Martine. Elle n'était pas tré futée et ne se meffia pas lorsque Anne lui demanda de venir l'aider à ceuillr des fleurs pour mettre dans sa chambre.
Une fois arrivée au milieu du petit bois, les autres filles qui attendaient cachèes, lui sautèrent dessus.

Martine fut aussitot plaquée contre un grand arbre et on lui intima l'ordre de ne pas crier sous peine de coups. Térrifiée elle se laissa faire.

Son tee shirt blanc fut remonté jusqu'à son coup pour dénuder entièrement sa poitrine. Elle avait de gros seins pour son âge et les marques de bronzages de son maillot faisaient un drôle d'effet. Ses mains été attachées trés haut au dessus de sa tête. Pour cela on  n'avait pas lésiné sur les tours de rouleau de scotch?. Pour bien la maintenir plaquèe contre l'arbre, on lui  scotcha aussi le ventre en faisant aussi plusieurs tours.  Elle été coincée et ne pouvait plus bouger. Une fois le haut enlevé, il allait falloir s'attaquer au bas. Sa jupe lui fut enlevé immédiatement et Martine se retrouva devant nous en culotte, les seins à l'air. Elle était là devant nous à nous fixer en se demandant ce qui allait lui arriver. Sa culotte bleu était encore son seul rempart contre la nudité et le déshonneur. Ses grosses cuisses tremblaient de peur.




Il fallait maintenant le mettre complètement à poil et sa petite culotte bleu ne tarda pas à lui être baissée sur ses genoux. Ainsi attachée comme une indienne au poteau de torture, elle était trés drole à voir.  Ses seins lourds pendaient et l'on voyait sa chatte poilue qu'elle ne pouvait arriver à cacher. Elle avait beau se contorsionner, rien n'y faisiat et elle était ne pourrait pas se détacher toute seule. Vaincue, elle baissa la tête pour cacher sa honte.

Maintenant qu'elle était bien scotchée à son arbre, il ne nous rester plus qu'à partir avertir les garçons, pour qu'ils viennent la trouver dans cette posture humiliante. Elle allait avoir la honte de sa vie et cela lui fermerait son "caquet" pendant un bout de temps.
Nous on allait bien se marrer en la voyant ainsi à poil devant tous les garçons.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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