Concours

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Jeudi 22 février 4 22 /02 /Fév 21:05

Pensionnaire à Nice, l’internat situé à l’extérieur du collège était mixte et les « flirts » entre garçons et filles étaient nombreux.

Un soir nous avions décidé de bizuter Antoine. C’était une tradition bien établie dans ce collège et tous les nouveaux arrivants à l’internat devaient passer « l’examen » devant les plus anciens.

Antoine était très timide et avait une peur bleu des filles. C’était le puceau par excellence.

Comme tout nouvel interne il devait subir le bizutage concocté par les plus grands.

 

Les chambres des garçons étaient des chambres de six et Antoine dormait en haut d’un des trois lits superposés. Toute la chambrée à l’exception bien sur d’Antoine savait que cette nuit son bizutage allait avoir lieu. Vers une heure du matin, il dormait profondément les plus costauds attrapèrent en même les pieds et les mains d’Antoine pour l’immobiliser. Hervé lui mis la main sur la bouche pour étouffer ses cris.

 

Portés par une dizaine de bras vigoureux, il fut amené dans le vestiaire des filles. Ce vestiaire était une grande salle toute en carrelage ou étaient fixés tout autour de la pièce de grands radiateurs en fonte. Afin de pouvoir commencer le bizutage sans risque de réveiller le pion qui dormait au dessus, Antoine avait été bâillonné à l’aide d’un gant de toilette qui lui recouvrait la bouche, le tout maintenu en place par plusieurs tours de rouleau d’adhésif. Hervé qui s’était occupé de réduite Antoine au silence n’avait pas lésiné sur la longueur d’adhésif. Antoine pouvait toujours essayer de crier, aucun son audible ne sortait de sa bouche.

 

Jean le plus ancien regarda Antoine dans les yeux et lui dit sur un ton ferme :

« Tu vas passer la nuit ici à attendre que les filles viennent se changer avant de prendre leur douche ».

Ordre fut donné de le déshabiller entièrement. Son haut de pyjama lui fut enlevé non sans mal car Antoine gesticulait dans tous les sens pour échapper à son bizutage. Mais seul contre tous, il ne pouvait rien faire. Il tentait bien de donner des coups de pieds qui n’atteignaient que le vide, mais bien vite la fatigue eue raison de lui et Jean en profita pour lui arracher le bouton de son bas de pyjama. Ne tenant plus sur ces hanches il tomba de lui-même sur les chevilles d’Antoine. Deux mains complices le lui ôtèrent complètement. Il était maintenant entièrement nu et sans défense.

Les bras écartelés au maximum, Antoine fut plaqué le dos contre le plus grand des radiateurs de la pièce. Une fois les bras mis en croix, Hervé lui attacha les poignets aux montants à l’aide de cordes qui avaient été préparées à cet effet.  

Le radiateur n’étant pas très haut, il avait fallu assoir Antoine. Les fesses nues sur le carrelage, il se trouvait maintenant solidement arrimé au radiateur. Restait à lui attacher les jambes.

 Pour lui maintenir les jambes écartées afin que les filles puissent profiter au mieux du spectacle, il fallait en premier lui attacher les genoux en les repliant en arrière et vers le haut de son corps pour pouvoir les attacher aux éléments en fonte du radiateur. Une fois ses genoux bien écartés et solidement ficelés, ses chevilles furent également attachées au radiateur.

 

Antoine se trouvait dans un position ridicule mais pas trop inconfortable pour passer la nuit. Il était en position presque assise car ses fesses et le bas de son dos reposaient sur le sol, les bras en croix et les jambes écartelées au maximum afin de ne rien cacher de sa nudité. Ces yeux révulsés de colère nous montraient son désarroi. Il avait une vue directe et impenable sur son sexe ainsi exposé.  Ses testicules étaient bien dégagées et son anus s'exposait avec impudeur. Les quelques poils n'arrivaient pas à cacher les plis de son tour du cul.

 

Pour ne plus avoir à affronter le regard d’Antoine, Hervé lui mis un gros morceau d’adhésif sur les yeux. Maintenant en plus de ne pouvoir parler, il était devenu « aveugle ».

 

Antoine allait devoir passer le reste de la nuit ainsi attaché à attendre que quelqu’un veuille bien le détacher. On allait le découvrir dans cette position humiliante et cela devait le paralyser d’angoisse car il ne bougeait plus du tout. De toute manière même s’il l’avait voulu, il ne pouvait absolument pas resserrer ses jambes et ses jambes resteraient écartées comme un compas qui fait le grand écart.

 

Sa grosse touffe de poils foncée n’arrivait pas à cacher son sexe bien développé pour son âge qui pendait maintenant entre ses jambes écartées. Il était incroyablement poilu. Ses testicules rondes comme des balles touchaient le sol et c’était assez drôle de le voir ainsi les genoux relevés ce qui permettait presque de voir son trou du cul.

 

Pierre donna le signal du départ mais avant de partir il laissa à côté d’Antoine une tondeuse électrique et un mot qu’il avait écrit sur un morceau de papier.

 Antoine se retrouva bientôt seul dans le noir, dans cette pièce ou il allait devoir patienter jusqu’au matin.

 

A la sonnerie de sept heures, les filles se rendirent au vestiaire pour se déshabiller afin de prendre leur douche. Les premières arrivées découvrirent Antoine attaché nu au radiateur qui dormait profondément. La fatigue avait eu raison de lui.

 

Maintenant toutes les filles étaient autour de lui et regardaient avec curiosité et amusement sa virilité ainsi exhibée à la vue de toutes. Les rires et les commentaires n’arrivaient même pas à le réveiller.

 

Michèle, la plus hardie se baissa pour ramasser le petit mot et se mit à le lire à haute voie.

Le bizutage ne sera complet que si vous vous servez de la paire de ciseaux. Trouvez ce qu’il faut couper et faites en bonne usage. Le message était clair il fallait que les filles participent aussi au bizutage d’Antoine.

 

L’une des filles s’écria : «  il faut le tondre et lui couper les poils des couilles ».

Sous les encouragements collectifs, Michèle entrepris de tondre tous les poils pubiens d’Antoine. Elle prenait du bout des doigts une petite touffe de poils et les passait la tondeuse t d’un geste précis. Les poils s'en allait par touffes entières.

 Au bout de quelques minutesle bruit de la tondeuse finit par reveiller Antoine.
Il se réveilla au fur et à mesure que se poursuivait la tonte. Il ne pouvait voir qui s’occupait de son intimité à cause du sctoch sur les yeux, mais il commençait à se gigoter pour montrer sa réprobation.
La ton deuse continuait son travail et Antoine compris ce qui se passait en sentant passer et repasser le sabot de la tondeuse sur son intimité.

 


Pour pousser un peu plus le vice, Michèle s’attaqua aussi aux poils de ses bourses et de la raie de ses fesses.

Elle commenca à passer avec délicatesse la tondeuse sur ses testicules. Elle les prit dans sa main pour bien les caller et ne pas le blesser. Le jeu était drole s'il ne faisait pas mal au bizuté.
Elle s'appliquait pour enlever tous les poils qui recouvraient ses petites boules et qui commencaient à devenir complètement imberbes.

Michèle avait l'habitude de raser des parties intimes et son travail était celui d'une experte.
Les deux petites couilles d'Antoine était maintenant complètement débarassées de poils et elles étaient rougies par le passage de la lame.

Antoine avait maintenant deux minuscules tomates rouges entre les jambes.

La « toilette » une fois terminée, elle arracha d’un coup sec le morceau de scotch qui aveuglait Antoine. Ce dernier se retrouva nez à nez avec tout le dortoir des filles qui avaient une vue imprenable sur son sexe maintenant tondu. Son regard traduisait sa gène et des larmes commençaient à couler sur ses joues. 

 Il était debout, entièrement nu devant les filles, les bras maintenus en l'airr, le sexe rasé et l'une des filles tirait sur sa verge et sur le bout de son gland, afin de l'humilier un peu plus. Les filles riaient, car le spectacle était vraiment comique.
On voyait ses testicules rasées aussi lisses que des balles de ping pong. Il allait devoir patienter longtemps avant que les poils ne repoussent !!!!


Les filles eurent enfin pitié de lui et le détachèrent. L’une d’elle lui donna même son peignoir afin qu’il puisse dignement regagner sa chambrée. Antoine ne demanda pas son reste et parti en courant se réfugier sous la couette de son lit. Il y resta toute la journée repassant dans sa tête ce cauchemar. Les filles allaient le chambrer tout le reste de l’année.

Et maintenant chaque fois qu'il irait à la douche, les autres élèves se moqueraient de son sexe tondu.

Par Tony - Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 16:45
ENVOYEZ NOUS VOS PROPRES HISTOIRES ET TEMOIGNAGES


ADRESSEZ VOS TEXTES A L'ADRESSE SUIVANTES


gipanpan@laposte.net


LES MEILLEURES HISTOIRES SERONT MISENT EN LIGNE SUR LE BLOG
Par Plume - Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 10:57
Bizutage chez les scouts :
 

Mes parents ont décidé pour les vacances d’été de m’inscrire aux scouts pour un camp d’un mois à coté de St Valoires. N’ayant jamais fréquenté avant mes quatorze ans les scouts, j’ignorais tout de ce que j’allais vivre pendant tout ce mois d’Aout 1985.

 

Accompagné en voiture par mes parents jusqu’à St Valoires, je rejoignais le camp le matin du grand rassemblement et de la formation des groupes dans les tentes.

 

Nous étions plus de 200, garçons et filles tous pratiquement du même âge. Je me retrouvais dans le groupe des « Taupes » composé de 10 filles et 10 garçons. Nous avions une grande tente, mais qui était partagée en deux : d’un coté les filles de l’autre les garçons. Une grande bâche séparait la tente en deux.

 

Les premiers jours étaient agréables et les sorties en forêt nombreuses. Nous ramassions beaucoup de myrtilles et en mangions aussi beaucoup.

Au fur et à mesure que les jours passaient des clans se créaient et les tensions devenaient de plus en plus palpables.

Un soir le clan des garçons décida de bizuter Marianne, la plus insupportable de toutes les filles. Elle n’aidait jamais les autres et se moquaient constamment du physique des garçons les plus « chétifs ».

 

Le bizutage devait avoir lieu lors de notre prochaine sortie en forêt. Le lendemain, le chef des taupes avait prévenu plusieurs filles pour que Marianne soit un peu à l’écart des autres lors de la marche dans les bois.

 

Après une bonne heure de marche nous étions loin du camp et du village et l’endroit était propice pour bizuter Marianne. Voulant absolument être aux premières loges, je me proposais pour attirer Marianne à l’écart des autres filles. Sous le prétexte d’avoir à vider mon panier rempli de myrtilles je l’entrainais vers l’endroit ou j’avais laissé mon panier plein. Elle me suivi sans se douter le moins du monde de se qui l’attendait.

 

Une fois passée devant moi, je lui sautais dessus pour lui immobiliser les bras et la tenir les pieds en l’air, le temps que les autres garçons arrivent. En quelques secondes elle se retrouva entièrement nue.

 

Une fois maitrisée, elle fut attachée dos à un grand arbre, les bras passés en arrières et maintenus par des cordes qui avaient été préparées. Sa jupe en jean fut remontée sur son ventre afin de bien dégager son sexe.

Hervé avait mis à nu ses petits seins aux grandes auréoles et les attachait à l'arbre avec une corde en faisant de nombreux tours de cordes autour de l'arbre.

Marianne ne pouvait plus bouger.
Son intimité la plus profonde était exposée à la vue de tous.

Pascal regarda le slip qu’elle portait. C'était un slip noir très sale qui devait avoir plusieurs jours. Des taches jaunâtres étaient visibles. Les garçons se moquaient d’elle et la traitait de « grosse cochonne ».

Un fou rire gagna la bande de garçons et il fut décider de laisser Marianne attachée pendant toute notre promenade. Nous viendrions la détacher au retour. Elle aller rester ainsi les seins à l'air, les jambes écartées au maximum.


Pour mieux l’humilier, au moment de partir, Marc lui attacha les chevilles ensemble en prenant soin de bien lui écarter les cuisses. Elle criait mais personne ne pourrait venir à son secours. Je regardais avec intérêt ses seins dont les pointes étaient dressées par le froid et la honte. Ses jambes ouvertes montraient  à tous un sexe rasé.


Marc rempli sa main de myrtilles et lui plaqua la main sur les lèvres de  son vagin. Il appuya afin de faire pénétrer les myrtilles à l'intèrieur. Ainsi remplie on n'allait pas tarder à voir le liquide noiratre du jus de myrtilles couler le long de ses cuisses. 

    

Après avoir prévenu les filles, nous avons continué notre ballade et notre cueillette de myrtilles. Deux heures après il nous fallait rebrousser chemin pour rentrer au camp et aller délivrer Marianne.

 

Quand nous arrivâmes à l’endroit ou l’on avait attaché Marianne, il n’y avait plus que les cordes par terre. Elle avait réussi à se détacher ou quelqu’un était venu à son secours.

 

Une fois rentrée au camp, nous apercevons Marianne en train de discuter avec les « Leaders », le groupe des plus âgés. Pendant deux jours, elle resta avec ce groupe et ne rejoignais la tente que pour dormir. De sa part plus de moqueries envers les autres. Elle restait de marbre. Le bizutage semblait l’avoir calmé. Pourtant je remarquais qu’elle m’adressait de drôle de regard à chaque fois que nous retrouvions face à face lors des repas ou des activités dans le camp.

 

Une semaine plus tard, je pensais l’affaire classée, mais lors d’une sortie au village ou je m’étais rendu avec Henri pour acheter des tubes de crème de marron, je compris que je venais de tomber dans un piège.

 

Au détour d’une rue à la sortie du village, une dizaine de filles (les plus grandes) nous attendaient. Elles n’en avaient qu’après moi car Henri pu s’enfuir en courant sans être inquiété. Les filles me sautaient dessus avant que j’ai pu m’enfuir. Vu le nombre je ne pouvais me défendre et me retrouvait très vite attaché les bras dans le dos et porté à bout de bras par toutes les filles. De peur de tomber de si haut je ne bougeais plus et attendais la suite des événements.

 Une fois arrivée au beau milieu du village, je fus entrainé sous le porche de la grande maison qui faisait face à la fontaine centrale du village. A l’abri des regards indiscrets je fus mis par terre et déshabillé entièrement par les filles qui ne ménageaient pas leur peine pour m’enlever tous mes vêtements. L'une d'elle tirait mon pantalon de toute ses forces pour le faire descendre.

 L'une d'elle, une jeune asiatique qui semblait bien s'y connaitre en en ligotage en profita qu'elle avait encore une fine cordelette en chanvre disponible, pour me ficeler la verge et les testicules.
Elle faisait des tours biens serrés autour de mon sexe et cela était très douloureux. Elle fit en sorte de m'immobiliser complètement la verge et les testicules.

En même temps je sentis un foulard se serrer autour de ma bouche pour étouffer d’éventuels cris. Terrorisé, je n’avais nullement l’envie d’ameuter le quartier.

Une fois mis tout nu les bras attaché dans le dos et la bouche bâillonnée, les filles me plaquaient contre le mur. Marianne se mit devant moi pris une paire de ciseau pour me couper à toute vitesse les poils de mon sexe. Pétri de honte devant toute les filles mon sexe ne risquait pas de se redresser. Je devais subir cette tonte improvisée sans réagir. Je baissais les yeux pour constater le massacre. Marianne coupait au plus court tous mes poils et l’on pouvait voir maintenant mon pubis et mon pénis tout dégagé. Les filles riaient de plus belle.

 

Une fois la tonte finie, Marianne me dit que j’allais devoir rester dans cette tenue. En éclatant de rires toutes les filles partirent en courant et je me retrouvais seul derrière le porche en plein centre du village, complètement nu avec en plus les mains solidement liées dans le dos. Heureusement, mes jambes étaient libres et il ne me restait plus qu’à courir le plus vite possible pour sortir du village sans que trop de monde me voient dans cette tenue.

 

Après avoir pris une grande respiration et persuadé que c’était la seule solution car je ne voyais pas les copains venir me chercher ici, je sortais en courant sur la place du village sans regarder autour de moi les regards stupéfaits des vieux du village. Je courais le plus vite possible pour parcourir les cinq cent mètres qui me séparaient de la sortie du village. Dans ma course je croisais la postière qui essaya de m’arrêter je ne sais pour quelle raison.

 

Au bout d’un temps de course qui me sembla durer une éternité, je sortais du village et décidait de couper à travers champs pour ne pas que l’on me voit ainsi.

Après de multiples efforts pour me cacher dés qu’un paysan se profilait à l’horizon, je parvenais au camp ou tout le monde semblait ignorer se qui venait de m’arriver. En passant par l’arrière du camp, je pus rejoindre notre tente sans être vue du plus grand nombre. Une fois dans la tente, je demandais de l’aide et Thierry qui lisait sur son lit pu venir me détacher.

 

Une fois rhabillé je sortais de la tente pour retrouver le clan des « taupes » afin de leur raconter mon aventure.

 

Après des années, j’en rigole maintenant, mais je peux vous certifier que je n’ai jamais ressenti une telle humiliation et une telle envie de mourir tant j’étais paniqué d’avoir à traverser entièrement nu le village ou nous venions presque tous les jours faire nos courses.

 Michel le petit scout.
Par Michel - Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:42
 HUMILIATIONS AVEC L'EQUIPE DE FOOT

Une année, alors que j’avais presque seize ans, les joueurs de l’équipe de foot m’avaient surnommé « timide » car je ne prenais jamais de douche avec eux après les matchs, prétextant à chaque fois une bonne raison. Cela intriguait et j’avais de plus en plus de mal à trouver de bonne raisons. Une fois, après un match joué dans le village voisin, notre entraineur imposa à tous de prendre la douche avant de quitter les vestiaires. Je ne pouvais plus me dérober et je fus contraint de me déshabiller moi aussi et d’aller à la douche avec les autres en essayant de me faire voir le moins possible.

 

Ne prenant jamais de douche avec les autres, je n’avais bien sur ni savon ni serviette. Je n’avais pas réalisé sur le moment le calvaire que cela allait me procurer. Ne pouvant comme certains m’enrouler dans une serviette, je dus me rendre aux douches intégralement nu sans protection visuelle et montrer à tous les joueurs qui étaient devant moi mon petit sexe tout rétracté par le stress et la honte qui devait se voir sur mon visage. Les premières « vannes » et les premiers rires fusèrent. Les plus moqueurs me demandaient si j’arrivais à me voir pisser, d’autres se moquaient de moi et disaient qu’ils en parleraient aux filles de la classe.

 
Je ne pouvais rien faire et rien répondre, et devait accepter d’être humilié ainsi par tous.

Sous la douche j’essayais tant bien que mal de me mettre de dos et de me faire oublier, mais même si j’avais pu récupérer un savon pour me laver, je comprenais qu’il y allait y avoir un problème une fois sorti de la douche pour me sécher.

 

Une fois sorti de la douche l’un des plus grands me prit même le sexe à pleine main et tira dessus en essayant de me faire tourner autour de lui. J’étais ridicule ainsi tout nu au milieu du vestiaire tournant autour de mon bourreau qui ne lâchait pas prise, essayant de me cacher t me protéger avec mes mains. Mais étant mouillé je glissais sur le carrelage et je ne pouvais que suivre le mouvement.

 

Sous les rires des autres joueurs je fini par glisser sur le sol et c’est à ce moment là que les autres en profitèrent pour me plaquer au sol. Je me retrouvé plaqué au sol les bras écartés par des mains vigoureuses et les jambes maintenus écartées par le reste de la bande. J’essayais de crier mais l’un d’eux me mit sa serviette sur la figure pour étouffer mes cris.

 

Pendant ce temps j’entendais les quolibets et les moqueries. Ils étaient plusieurs à observer mon anatomie et tous avaient également remarqué que j'avais un pénis trés petit. Je sentais que l’on tirait sur mon sexe et même sur la peau de mes bourses. L’un d’eux essaya même de faire rentrer mes testicules dans le bas ventre en les enfonçant avec ses doigts. Ils riaient en disant que je n’avais plus que la bite entre les jambes. Mon surnom allait désormais être « micro-pénis ». J’étais pétrifié de honte. Mon supplice prit fin avec l’arrivée de l’entraineur dans les vestiaires. Il ne comprit pas bien ce que je faisais assis par terre, tout nu et essayant de reprendre mes affaires pour me rhabiller. Ce fut pour moi un vrai cauchemar qui dura jusqu’à la fin de la saison.

 

Lors d’une défaite à Juvignac , les joueurs m’accusaient d’avoir mal joué et pour se venger de ma piètre prestation, une « mise à poil » fut décidée par une majorité de joueurs.

En quelques secondes je me retrouvais plaqué au sol et mes vêtements furent enlevés les uns après les autres. Aprés mon maillot, puis mon short, ce fut au tour de mon slip. L'un des joueur de l'aquipe tirait dessus pour le faire descendre sur mes chevilles. Les bras maintenus par les autres garçons, je ne pouvais empêcher cette "mise à l'air".


 Une fois nu comme un ver, les joueurs firent un mur devant moi et me poussèrent dehors à l’extérieur des vestiaires. Je ne savais pas comment et ou me cacher, et j’ignorais comment allait se terminer ce nouveau supplice. J’étais une fois encore dans une position ou tout le monde pouvait me voir dans une position ridicule. Je tapais à la porte du vestiaire mais elle était maintenu fermée par les garçons qui riaient et se moquaient de moi en criant tous en cœur, « il est à poil dehors, il a une petite bite ». Cette épisode me reste encore aujourd’hui gravé dans ma tête car je dus affronter les regards des joueurs de l’autre équipe qui sortaient des vestiaires en riant de me voir à poil dans la cour du stade avec les deux mains devant mon sexe pour essayer de cacher ma petite verge. Au bout d’un temps qui me paru être une éternité, la porte des vestiaires s’ouvrit enfin et je pus, sous les rires et les vexations, me rhabiller et rejoindre le minibus qui attendait pour le retour à Montpellier. Le voyage en cars fut aussi très pénible car je dus supporter pendant le trajet les moqueries des plus vindicatifs à mon encontre.

 

Je savais bien que lors des derniers matchs à disputer j’allais certainement avoir encore à supporter les moqueries et les brimades.

 

Le match suivant, une étrange impression me fit penser que quelque chose se préparait à mon encontre. A voir certains chuchoter dans mon dos, j’étais sur que j’allais à nouveau être la cible des plus forts.

A la fin du match, je compris soudain que mes craintes étaient exactes. Toujours les mêmes à me faire subir les pires humiliations. Je fus plaqué au sol par les plus forts qui me tenaient fermement après m’avoir à nouveau plaqué une serviette sur le visage et sur la bouche.

Ne pouvant me libérer car l’un deux était allongé sur mon ventre, je finis par capituler et cessait de gigoter dans tous les sens.

Une fois mon slip enlevé, mes jambes furent écartés par des mains fermes et je sentis une drôle de sensation sur mon sexe. Je finis par comprendre ce qui m’arrivait. Ils étaient en train de m’enduire le sexe et l’entre jambe de mousse à raser. J’entendais le bruit de la bombe qui se vidait sur moi, pendant qu’une main inconnue étalait la mousse sur mon pubis, mon sexe, mes testicules et mon anus. J’avais envie de vomir tant était grande cette nouvelle humiliation devant toute l’équipe.

 

« Le rasoir » cria l’un deux. Je venais de comprendre que j’allais être « tondu » pour le plus grand plaisir de mes bourreaux. Je sentis le rasoir passer sur mon pubis et enlever au fur et à mesure les poils qui cachaient un peu ma petite verge.


Puis ce fut le moment le pire. L’une d’eux me tira le sexe vers le haut afin de pouvoir passer le rasoir sur mes bourses et sur la peau ainsi que de chaque coté de mon anus. Ils riaient et faisaient des réflexions sur la taille de ma verge qui finit par se tendre sous la pression de la main qui la tirait vers le haut.

J’étais entrain de perdre les quelques poils qui me faisaient un piètre rempart à ma nudité.

Le plus humiliant et le rasage de mes testicules. Bien en vue de tous et qui petit à petit perdent eux aussi leurs quelques poils. Je vais ressembler à un bébé.


Le rasoir fait son oeuvre et je vais bientôt me retrouvrer sans aucun poil sur le pubis.
Les rires vont fuser.

Une fois le rasage de mon sexe fini l'un  des joueurs tira mon sexe vers le haut en prenant dans ses mains la peau de mes testicles. Il tendait la peau pour bien montrer à tous le rasage parfait qui avait enlevé tous les poils.

Lorsque le rasoir passa sur mon anus et entre mes fesses, je ne pus contenir des larmes et c’est certainement ce qui m’a évité que le supplice continue car m’entendant sangloter, les garçons décidèrent de me laisser aller me rincer et me nettoyer dans les douches. Je filais sous la douche sans demander mon reste et je fus obligé de me laver devant les regards moqueurs.
 

Je voyais maintenant le résultat. Je me retrouvais sans aucun poil sur le pubis, rasé sur tout le sexe, même entre les fesses. Mon sexe ressemblait à un cou de poulet plumé, je sentais une légère brule sur mes bourses et mon anus due à la fraicheur de la bombe de mousse mentholée qui me chauffait et me brulait. J’étais ridicule et mon sexe ainsi exposé paraissait encore plus petit. Je pus voir dans la glace ce spectacle de désolation qui allait mettre plusieurs mois à repousser.

 
Par bonheur la fin de saison approchait et je jurais de ne plus retourner dans ce club de foot à la prochaine rentrée.
 
Par Eric - Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:33

    UNE CURIEUSE EXPERIENCE QUI TOURNE AU CAUCHEMARD

J'avais environ quatorze ans et nous étions en vacances à la grande motte. Mes parents ne venant à l'appartement qu'aprés le travail, nous étions tous les deux en fin d'aprés midi dans ma chambre avec Mireille, la trés mignone voisine qui habitait l'appartement situé deux étages en dessous du notre. Nous avions fait connaissance grace à la bande de copains qui jouait au foot le soir sur la plage devant l'immeuble.

Je fus trés surpris lorsqu'aprés avoir embrassé pour la première fois avec la langue, Mireille me demanda de me mettre debout devant elle. Je n'osais pas refuser et le faible éclairage de la pièce me mettait en confiance. La suite allait me donner tort.

Une fois debout devant elle, Mireille me demanda de fermer les yeux et de ne pas les rouvrir tant qu'elle ne m'en aurait pas fait  la demande. Intrigué par sa demande, je m'exécutais. Elle me passa devant les yeux un tissu qu'il me sembla reconnaitre et qui devait être son haut de maillot.

Elle plaqua sur mes yeux le tissu et serra fort derrière ma tête afin que je ne puisse plus rien voir. Pour le moment cela était plutot agréable.
 
Une fois le bandeau sur les yeux, elle m'embrassa sur la bouche et me dit de ne plus bouger.
Je sentis alors ses mains s'approcher de la ceinture de mon bermudas et aprés l'avoir défaite elle fit tomber le bermudas sur mes pieds. J'étais donc devant elle, vétu seulement de mon tee shirt et de mon maillot de bain.

Je sentis soudain ses deux mains prendre les bords de mon maillot, de chaque coté de mon corps et elle le fit descendre lentement  pour le laisser  baissé au niveau de mes genoux. Je devais être stupide dans cette position.

Elle eu soudain un petit éclat de rire qu'elle ne pu tout à fait garder pour elle. Je me rendais compte quelle venait de mettre sous ces yeux mon sexe, trop petit pour mon age et surtout elle avait certainement la vision amusée de voir sous mon petit pénis recroquevillé et mes petites testicules qui ballotaient en dessous.

J'étais mort de honte et je ne savais pas quoi faire ni quelle attitude adopter. Le fait d'avoir le visage recouvert me permettait heureusement de cacher mon humiliation.
Je restais là debout alors que ( pour une raison que je ne pourrais expliquer et qui devait être plus de la curiosité que l'envie de me faire honte ) elle se mit à soulever mon sexe pour jouer avec mes bourses. Elle les soupesait et le faisait rouler dans ces mains. elle tirait doucement la peau pour tester son élasticité. Elle se mit à pincer légèrement le bout de mon sexe et attendait une réaction.
Il était certain que ce n'était pas le premier sexe de garcon quelle tenait dans ces mains. Cette idée accentuait ma gène.

Cette facon de faire et de tirer sur ma verge m'avait  provoqué une érection et cette  situation était pour moi trés nouvelle et un peu génante. J'étais nu , les yeux bandés devant une fille qui jouait avec mon sexe comme on joue avec de la pâte à modeler et qui ne manquerais pas de faire des comparaisons avec les autres garcons.




Mireille du se rendre compte de ma gène car elle se remis debout pour m'embrasser et me defaire mon bandeau. je ne pouvais dire un mot et c'est elle qui parla la première.

Quelques mots qui me firent du bien et  m'évitèrent de m'enfuir ou de me mettre à pleurer de honte.

"Ce n'est pas important pour moi le fait que tu ais un petit sexe, chacun est comme il est. Regarde mes seins, ils sont aussi trés petits et je m'en contente".

C'était la phrase que j'attendais. Depuis une première "mise à l'air"  de l'an dernier devant les filles sur la plage, je n'osais plus approcher une fille.

Le souvenir de cet aprés midi fut pour moi un bon souvenir au final.

Aprés m'avoir dit cela, elle me remis mon maillot en place aprés avoir joué une dernière fois avec mon pénis qui était déjà tout recroquevillé, elle repris son haut de maillot, l'ajusta sur sa poitrine et me fit comprendre qu'il était temps de rejoindre les autres copains sur la plage.

Avant de partir, je lui fit promettre de ne pas parler aux autres filles de mon anatomie. En se retournant elle me dit: On verra !!!

Cette phrase me trotta quelques jours dans la tête.

Je constatais les jours suivants que les quatre autres filles de l'immeuble me regardaient différements et cela m'agaçait car j'avais un doute sur le silence de Mireille.

Je finis par la prendre à part sur la plage pour lui dire qu'elle était dégeulasse de ne pas avoir su tenir sa langue. De loin les copains me voyaient parler avec elle et je ne voulait pas donner l'image d'un faible. Pour une raison que je ne m'explique pas encore aujourd'hui, je giflai Mireille qui ne voulait avouer sa trahison. J'avais voulu jouer le dur pour craner devant les autres et j'allais le regretter. Mireille se retourna et partis sans répondre à ma gifle.

Le lendemain sur la plage avec les copains, pas un mot sur l'incident ni des uns ni des autres. Je pensais l'affaire classée.

En mileu d'aprés midi la plage de la grande motte était bondée et ne pouvant plus jouer au volley toute la bande decida d'aller se baigner. Une fois dans l'eau je réalisais le traquenard dans lequel je venais de tomber.

Les quatre filles venaient de bondir sur moi. Ayant de l'eau jusqu'à la poitrine, il m'était difficile de m'esquiver. Une d'elle me prit dans ses bras pour bloquer mes mouvements pendant que deux autres me tenaient les bras. La dernière plongea sous l'eau et m'enleva mon maillot avec une rapidité qui me laissa sans réaction.Je me retourvais nu entourés de plein de gens.
 Aprés m'avoir repoussé sous l'eau pour me faire boire a tasse, les quatre filles sortirent de l'eau en riant et en me laissant  dans l'eau sans maillot avec autour de moi des dizaines et des dizaines de personnes qui ne manqueraient pas de se moquer  de moi et de rire du comique de la situation. Mireille du bord de la plage me montra mon maillot en le faisant tourner au dessus de sa tête. Elle se retournèrent en pouffant de rire et quittèrent la plage.

J'étais cloué dans l'eau , nu comme un ver, heureusement caché par  le bouillonement des vagues.  Au bout  d'une heure, je commencais à avoir froid et mes mains étaient boursoufflées par le fait de rester caché dans l'eau. Les copains étaient partis eux aussi en me laissant seul et sans aucun moyen d'avoir de l'aide. En fait  ils étaient tous cachés derrières les vitres de l'appartement de Mireille et attendaient de voir ma réaction. Les garçons avaient  obéis aux filles qui leur avaient demandé de ne pas intervenir. Je devais payer au prix fort mon geste.

Le temps passait et je ne savait pas comment sortir de l'eau. Deplus ou aller, ma soeur était justement là cet aprés midi et elle était partie avec des amis en voiture.Aucun doute elle avait fermé l'appartement. Impossible donc de me réfugier à la maison. J'étais piégé.

Soudain je cru défaillir, une soudaine envie me tordit le ventre, certainement le froid, l'angoisse  et le fait de rester dans l'eau depuis maintenant plus de deux heures. Je ne pouvais plus tenir, il me fallait m'éloigner des baigneurs pour ne pas me vider devant eux. Mon ventre était pris de gargouillements qui me faisait craindre le pire.

Comment faire, ma punition prenait un tournant inattendu et je ne savais pas comment faire. Je ne pouvais plus me retenir et je sentais mes sphincters se ralacher petit à petit malgré mes contractions pour lutter.

Au bout de quelques minutes ,n'y tenant plus je décidait de sortir de l'eau en courrant pour aller rejoindre les wc en bois installés au bord de la jetée. C'était ma seule chance. Je me mis à courir sans regarder autour de moi, le plus vite possible pour atteindre la porte des toilettes avant de me vider pendant le trajet.
Je transpirais à grosses goutes en sentant le liquide chaud qui commencait à couler entre mes cuisses, et à chaque nouvelle foulée je commencait à me vider laissant derrière moi la traçe de cette dhiarée incontrolable. Je dus ralentir ma course car en courant je ne pouvais me contracter pour espérer garder en moi ce liquide qui ne demandait qu'à s'expulser.

Cette fois je voyais les regards des gens qui à la fois surpris et amusés me montraient du doigt. J'avais l'impression que toute la plage me regardait , encore une centaine de mètres pour atteindre les wc publics. J'essayais tant bien que mal de courir avec une main devant pour cacher mon sexe et une autre derrière pour tenter  de retenir le liquide qui me secouait les entrailles.

J'arrivais enfin aux toilettes et me ruait à lintérieur. Par bonheur un wc était libre. Je n'ose imaginer ce qui se serait produit si les deux  wc avaient été occupés !!!

Aprés être resté un long moment à me soulager et  à reprendre mon souffle, je réalisait qu'il allair falloir ressortir et que le cauchemat allait recommencer. Je reflechissait à l'attitude à adopter.
Le plus simple était d'aller me cacher dans le parking souterrain de l'immeuble en attendant le retour de ma soeur. Il y avait une autre solution qui était de rejoindre l'appartement de Mireille pour espérer récupérer mon maillot. Allait elle accepter de m'ouvrir ? Les copains allaient ils aussi se moquer de moi ?

Pour le parking mon affolement et mon manque de calme m'avait fait oublier qu'il fallait un bip électronique pour y accéder, donc de ce coté aucune solution. Il ne me restait plus qu'à sortir en trombe des toilettes et courir sans m'arréter jusqu'à la porte de l'appartement de Mireille.

Lorsque la porte se mit à battre, poussée par un inconnu qui souhaitait prendre ma place, j'ouvris sans même regarder qui était devant moi et je me remis à courir les deux mains devant moi pour avaler au plus vite les deux cents mètres qui me séparaient de l'immeuble et les trente cinq marches d'escaliers qu'ils me fallaient monter pour ariver devant la porte de l'appartement.

Je sentais à nouveau revenir les contractions dans mon ventre et un peu de liquide chaud et collant continuait de couler lentement le long de mes jambes. J'avais envie de pleurer, de mourir tant cette épreuve ne cessait de tourner au cauchemard. Je croisait même  des amis de mes parents qui ne manqueraient pas de les informer de ma façon "originale" de marcher dans la rue.

Aprés un temps qui me parru une éternité j'arrivais devant la porte de Mireille. Elle était grande ouverte. Je me ruait sans chercher à comprendre dans la salle de bain et sans même réflechir à savoir si l'on me regardait, je fit couler la douche pour me rincer, me laver et me réchauffer.

J'avais tiré le rideau pour procéder à ma toilette intime et au bout d'un moment je vis une main ouvrir le rideau.
J'étais couvert de savons et je ne savais pas comment cacher ma nudité car je tenais le savon d'une main et le douche de l'autre.



C'était Marianne qui avait assisté à tout mon calvaire et qui avait décidé de me venir en aide. en m'apportant un maillot.
Les autres, garcons et filles, tous décidés à me punir jusqu'au bout  en accord avec Mireille, étaient restés tous hilares sur le balcon de l'appartement  pour suivre intégralement ma sortie de l'eau devant tout le monde, ma course tout nu sur la plage, mon sprint sur la corniche pour rejoindre les wc publics et enfin pour s'amuser à me voir courir et slalomer entre les voitures et les passants en continuant de me vider le ventre.

Marianne me fit passer un peignoir que j'enfilait immédiatement s'en me faire prier. Rouge de honte devant le spectacle que je leur avait offert à tous, je preférais partir tout de suite pour attendre devant la porte de notre appartement deux étages plus haut. Mas soeur ne tarderais pas à rentrer, il me faudrait patienter.

Bien évidement je n'ai rien dit à ma soeur de ma mésaventure lorsquelle est rentrée avec ses amis et qu'elle s'est étonnée de me voir attendre seul devant la porte. Je me suis bien gardé également d'en reparler le lendemain avec mes copains. Mais tous avaient un petit sourire au coin de la bouche et Mireille semblait maintenant être la "chef de bande" des filles.
Par Alain - Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus