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Mardi 27 février 2 27 /02 /Fév 23:31

Stéphanie était depuis longtemps devenu le souffre douleur du campus. Sa façon de se considérer comme la « star campus » avait énervé les autres filles, qui n'avaient qu'une idée :

L'humilier une bonne fois pour toute.
 

Les Cinq titulaires de l'équipe de basket avaient décidé de la « bizuter » à la première occasion.

Un après midi alors que Stéphanie se rendait aux toilettes du gymnase, les filles lui sautèrent dessus pour l'immobiliser.

 

L'une d'elles ayant plusieurs cordes, elle attacha les poignets de Stéphanie .

Une fois les bras en l'air, immobilisés, et dans limpossibilité de se défendre, les filles commencèrent à la déshabiller.

 

Son chemisier fut déboutonné et largement ouvert, puis son soutien-gorge relevé pour mettre à nu ses seins lourds pour son âge.

Les filles après lui avoir enlevé sa jupe lui descendirent le slip sur les genoux.

Pour l'empêcher d'appeler au secours, les filles lui mirent un énorme bout de ruban autocollant noir sur la bouche. Rouge de honte, Stéphanie préférait fermer les yeux pour ne pas montrer aux autres filles sa gène. Une des filles ayant trouvé dans les vestiaires les baguettes de tambour des « pom-pom girl », elle s'en servi pour commencer à flageller le corps de Stéphanie.


Au bout de quelques minutes de supplice les filles amenèrent Stéphanie sur le sol recouvert de moquette, et elles entreprirent de l'attacher, les fesses à l'air, avec les menottes dans le dos cette fois.

Afin de l'immobiliser complètement, ses pieds furent liés avec la corde qui permettait de faire sécher les serviettes de toilettes. Sandra qui semblait bien connaître les noeuds, relia la corde qui liait ses chevilles aux menottes. Cela empêchait Stéphanie de se relever et elle était contrainte de rester dans cette position, le cul prêt à recevoir son chatiment.

 

Tournant le dos à l'entrée des toilettes, elle donnait un spectacle comique, ses fesses ainsi exposées, écartées et à la vue de tous ceux qui se rendraient aux toilettes. Stéphanie avait beau essayer de cacher ses fesses avec ses mains, elle n'y arrivait pas et son cul était maintenant à la merci des baguettes.

Le signal fut donné par l'une des filles qui signifia à Stéphanie qu'elle recevrait dix coups sur les fesses. La fessée commença sous les cris étouffés par le ruban adhésif. Stéphanie essayait sans succès de bouger pour éviter les coups.

"Maintenant on va lui raser le minou" proposa Sandra
"Oui  coupouns lui les poils pour qu'elle soit encore plus visible"
L'une des filles alla cherché dans son armoire de toilette une bombe de mousse à raser et un rasoir jetable.

Maintenue par les plus grandes elle se tenait debout prête à subir ce dernier outrage.
Sandra commenca à lui enduire le pubis de mousse, pendant qu'une autre fille lui maintenait les cuisses ouvertes.



Une fois bien enduite de mousse à raser, Sandra commenca à lui tondre le ventre et le tour du sexe. Petit à petit, tous ces poils partaient et l'on commencait à voir parfaitement son sexe de jeune fille.


Le rasoir finissait son oeuvre et Stéphanie ne pouvait plus cacher son intimitée à nos regards.
Les lèvres de son sexe étaient rougies par le passage du rasoir.


Une fois complètement rasée, elle fut rattachée les mains derrière le dos et le jambes repliées afin de bien montrer sa nudité.

Humiliée au plus profond d'elle-même, Stéphanie compris qu'elle allait devoir affronter l'humiliation suprême : être découverte par les autres élèves dans cette position, nue, le cul offert les mains attachée dans le dos que l'on ne pourrait certainement détacher qu'en se rendant à l'atelier du concierge. S'en était trop, elle se mit à pleurer, s'allongea sur le sol et attendit la suite des événements.

Elle se laissa faire lorsqu'elle fut découverte par les autres filles. Heureusement, il n'y avait pas de garçon témoin de la scène et les autres filles eurent pitié d'elle. Cette après midi de cauchemar rendit Stéphanie beaucoup moins sure d'elle, pour le reste de l'année.

Par claire - Publié dans : bizutages
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Dimanche 25 février 7 25 /02 /Fév 12:16

Elisabeth était la plus dévergondée du dortoir des terminales. Nous nous doutions qu’elle entretenait avec Florence une relation homosexuelle. A plusieurs reprises Elisabeth avait été surprise entrain de prendre Florence par la main.

 

Dans les douches de l’internat, elles étaient systématiquement à coté et il était évident que leurs échanges de regards trahissaient leur plaisir à se regarder réciproquement. Plusieurs fois, Elisabeth avait proposé à Florence de lui laver le dos, mais notre présence avait fait reculer cette dernière.

 

Un mercredi après midi, alors que toutes les autres terminales décidaient de sortir en ville, Elisabeth et Florence décidèrent de rester dans la chambrée. Persuadés qu’elles allaient en profiter pour avoir des relations sexuelles, nous avons décidé de les surprendre.

 

Afin de ne pas éveiller leurs soupçons, nous annonçons que nous allons toutes au cinéma pour voir le dernier James Bond. Elles tombent dans notre stratagème et nous regardent partir avec satisfaction. Elles savent qu’elles vont disposer de plus de deux heures pour être seules dans le dortoir.

 

Un bon quart d’heure après que nous soyons sortis de la chambrée. Elisabeth décide de passer à l’action. Elle commence à déshabiller Florence et l’allonge sur son lit pour la caresser. Bien plus avancée dans sa sexualité, elle sort de son placard une petite boite en carton et en extirpe un vibromasseur chromé du plus bel effet. Florence encore vierge le regarde avec étonnement.

 

Florence a un corps d’enfant pour son âge. De tout petits seins et un ventre encore imberbe. C’est certainement ce qui a plu à Elisabeth. Profiter de ce corps d’adolescente doit lui procurer une forte excitation.

 

En position assise sur le lit Florence voit le vibromasseur s’avancer vers son sexe encore vierge. Elisabeth appui avec douceur le métal contre le clitoris de Florence et met en marche le vibromasseur ce qui provoque une réaction immédiate chez Florence.

 

Elisabeth a maintenant décidé de lui introduire le vibro dans la chatte. Elle lui fait replier les jambes en arrière afin de faciliter son introduction. Cuisses écartées, dos appuyé contre le mur de la chambre, Florence ferme les yeux et se laisse faire sans dire un mot.


Après plusieurs essais infructueux causés par sa virginité, Elisabeth fait allonger Florence sur le lit. Elle lui écarte au maximum les cuisses et recommence son va et vient afin de forcer le passage. Elle commence à déflorer se sexe qui est encore vierge à 17 ans.


 

Depuis le début de leur jeu, nous suivons leurs ébats par le vasistas du couloir. Il est situé en hauteur et chaque fille montée sur une chaise peut suivre en restant sur la pointe des pieds la scène. Les deux filles n’imaginent absolument pas que depuis le début elles sont sous les regards de toutes internes de la chambrée.

Au moment ou Elisabeth pense réussir à dépuceller Florence, nous entrons toutes en même temps dans la chambre. Honteuse d’être surprise dans leurs ébats, Florence s’enroule dans la couverture du lit pour cacher sa nudité, elle se met à pleurer en cachant son visage.

Elisabeth décontenancée, reste là devant nous sans pouvoir bouger, en petite culotte, les seins à l’air.

 

«  Salope tu n’a pas honte de profiter d’une plus jeune pour assouvir ta perversion » lui dit la délégué de classe.

Florence continue de pleurer en se rhabillant.

« Il faut la punir cette salope, lui faire payer son viol » cria Brigitte

Joignant le geste à la parole elle sauta sur Elisabeth et la plaqua par terre. Les autres filles en firent de même et en quelques secondes Elisabeth se retrouva immobilisée. Geneviève prit son foulard pour attacher les mains d’Elisabeth dans son dos, afin quelle ne puisse plus se défendre.

 

« On va la foutre à poil sur la pelouse du collège, cette salope » proposa Dominique.

«  Il faut aller chercher des cordes au gymnase » compléta Caroline.

 

Deux filles partirent chercher des cordes et pendant ce temps, les autres filles transportèrent pendant ce temps Elisabeth à l’extérieur. Heureusement pour nous, il n’y avait personne aujourd’hui sur la pelouse du collège et l’on pu choisir le meilleur emplacement pour faire subir à Elisabeth son châtiment bien mérité.

 

Elle fut allongée sans ménagement sur la pelouse les bras et les jambes écartées au maximum.

Geneviève qui ne manquait pas d’initiative était allé récupérer une dizaine de pieux en bois qui servaient à tenir les plantes le long du mur.

 

Après avoir planté dans la pelouse les pieux pour pouvoir y attacher Elisabeth, Geneviève donna l’ordre de passer les cordes autour des poignets, des chevilles et des genoux d’Elisabeth afin de pouvoir la maintenir plaquée au sol, et dans la position la plus écartée possible.

Une fois les cordes en place elle ne pouvait cacher son sexe épilé. Sa posture était humiliante et obscène. Elle gesticulait dans tous les sens pour se détacher, mais lui était impossible de se relever et de serrer les jambes pour nous cacher sa nudité.

 

Geneviève la plus remontée avait disposé un pieu entre les fesses d'Elisabeth.Elle prit en main le martinet qui servait au gardien pour les chiens et commenca à lui labourer le cul. 

Aprés un bonne vingtaine de coups sur les fesses étaient de plus en plus rouges, les filles  décidèrent d'attacher Elisabeth de manière qu'elle ne puisse en aucun cas se détacher.

On lui lia donc les chevilles aux poignets pour bloquer toute tentative de mouvement et le haut de ses cuisses fut attaché à un pieu bien enfoncé dans le sol.
Une autre corde fut passé autour de ses seins et de son dos, pour la bloquer sur le côté.
Le piège était parfait et elle ne pouvait absolument plus bouger.


Une fois le ligotage terminée, on annonça à Elisabeth qu’elle resterait là , attachée à poil, le cul à l'air, jusqu’au soir. Ce serait sa punition. Son humiliation serait terrible dans le cas ou des élèves passeraient par le jardin du collège. Mais elle l'avait bien mérité !!!!

Elle eu beau supplier qu'on la détache, aucune fille ne céda.


Nous avons vu bien tard dans la soirée, le jardinier qui passant dans le jardin s'étonna de voir une forme bizzare étendue sur la pelouse du collège et fut donc le premier à profiter du spectacle. Malheureusement pour Elisabeth, au même moment, la classe de première "A" rentrait d'une sortie collective.

Ils eurent le privilège de voir Elisabeth dans la tenue d'eve, se tortillant dans tous les sens pour essayer de cacher sa nudité. Les rires et les moqueries fusaient et ce deavait être terrible pour elle d'entendre les commentaires les plus divers, sur la forme de ses fesses, sur la grosseur de sa poitrine, sur son sexe poilue. Un vrai cauchemard !!!

Par Martine - Publié dans : bizutages
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Dimanche 25 février 7 25 /02 /Fév 00:16

Je m’appelle Anne et avec mes deux inséparables Sylvie et Jocelyne, nous avions décidé de bizuter Olivier, le petit amis de Sylvie, qui depuis quelques semaines la trompait sans remords avec une « pétasse de terminale ».

 

Un samedi après midi, Sylvie fait venir Olivier chez elle sous prétexte de lui donner des corrections de bac blanc. Olivier qui ne se doute de rien sonne à l’heure prévue.

 

Jocelyne et moi restons cachés dans la salle de bains qui communique directement avec la chambre de Sylvie.

Après lui avoir remis les corrections promises, Sylvie demande gentiment à Olivier, s’il est d’accord pour réaliser avec elle un phantasme qui lui fait faire des rêves érotiques régulièrement.

 

Olivier amusé par cette demande, lui donne son accord pour l’aider à réaliser son souhait.

 

« Tu sais Olivier, j’aimerais pouvoir t’attacher sur mon lit et abuser de toi. Une sorte de viol simulé en sorte ».

« Ok pour moi » répond Olivier tout excité.

Sylvie le déshabille rapidement et lui demande de s’allonger sur le lit. Elle lui demande d’écarter au maximum ses bras et ses jambes. Une fois Olivier en position écartelé dans ce grand lit en bois dont les montants et la tête de lit sont très solides, elle attache avec des cordes les poignets et les chevilles de son petit ami.

"Je vais t'accorder un petit plaisir avant de te faire souffrir"lui dit Sylvie.
Elle tien dans ses mains un petit objet en cuir rouge. C'est un séparateur de testicules. Elle prend délicatement les bourses d'Olivier et avec un doigt expert elle enfonce l'une d'elle dans le bas ventre d'Olivier en la massant avec douceur pour la faire rentrer dans son corps.

Jocelyne regarde avec attention et étonnement car elle ne connaissait pas cette méthode. En quelques instants, l'une des deux couilles d'Olivier est rentrée dans son ventre.

 Elle saisit alors l'autre testicules et en un tour de main l'emprisonne dans le petit sac en cuir rouge.
Le second testicule est emprisonné et cela donne à Olivier une drôle de morphologie.
Son unique testicule apparent  ressort comme une petite balle de ping pong qui attend son joueur.

Sylvie commence à lui caresser le testicule pour le faire bander. Olivier trés excité par ces caresses ne resiste pas longtemps et un superbe érection permet maintenant à Sylvie de lui pratiquer une magnifique fellation sous le regard amusée de Jocelyne.



Elle le fait jouir une première fois et récolte l'integralité de sa semence dans sa bouche.
"Gros dégouttant, tu ne peux pas te retenir" lui dit-elle en colère.
"Nous allons te punir sévèrement".
Sylvie passe un foulard derrière la tête d’Olivier et lui dit que cela sera plus excitant dans le noir.

 

Il ne se doute de rien et cela la rend folle d’excitation.

Pour rendre encore plus érotique ce bizutage, nous enlevons nos jupes et restons en sous vêtements. Sylvie va même plus loin et enlève sa culotte.

 

Elle décide de s’asseoir carrément nue sur la tête d’Olivier qui ainsi ne pourra pas nous entendre monter sur le lit. Olivier est surpris de cette initiative et il essaye de secouer la tête pour libérer son nez qui pénètre au fond de la raie des fesses de Sylvie. Une odeur forte lui empli les narines.

 

Pendant ce temps, nous sommes montés sur le lit après avoir vidé la buanderie de toutes les pinces à linges disponibles. Pendant que je branle Olivier, Jocelyne pose à toute vitesse les pinces à linge sur la peau des couilles d’Olivier.



Les  pinces lui ornent bien vite son sexe tendu et gonflé à la fois par le plaisir et par la douleur.

Olivier se rend compte qu’il vient de tomber dans un piège et nos rires lui font vite comprendre que Sylvie n’est pas seule.

 

Une fois les pinces bien accrochés à ses couilles, nous le laissons sur le lit et nous nous rhabillons pour aller faire un tour en ville.

 

Sylvie dévoile enfin à Olivier les vrais raisons de son supplice :

«  Et ta pute de terminale, elle te fait des trucs comme ça ? Ca m’étonnerait !!!

« Tu vas voir, la pression des pinces va te faire éjaculer plusieurs fois et tu ne pourra pas débander tant qu’elles resteront en place.

Quand tu auras fini de jouir tout seul sur ton ventre, nous reviendrons te délivrer, mais cela va prendre du temps, alors on sort faire des courses.

 

Après deux bonnes heures de shoping, nous sommes retournés dans la chambre pour voir comment Olivier vivait cette humiliation.

 

Le spectacle était comique. Le ventre d’Olivier était recouvert de sperme. Il avait donc du éjaculer plusieurs fois et abondamment. Son pénis toujours gonflé était rouge violacé et le fait de bander depuis maintenant presque trois heures, devait y être pour beaucoup.

 

Afin d’empêcher toute réaction violente de la part d’Olivier, nous sommes restées à coté de Sylvie pendant qu’elle détachait Olivier. Tout honteux de nous exposer sa verge gluante sous le nez, il se rhabilla et fila sans dire un mot. Il n’avait même pas pensé à se nettoyer !!!

 

Cette après midi restera un très bons souvenir pour nous. Pour Olivier, je ne suis pas sure.

Par Anne - Publié dans : bizutages
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Vendredi 23 février 5 23 /02 /Fév 00:42

Il y a quelques mois j’ai répondu à une annonce sur un site internet de Bondage. Cette annonce était rédigée de la façon suivante :

Femme âge 30 ans cherche homme du même âge pour partager ma passion du bondage et du SM soft. Je reçois chez moi.

 

Après plusieurs échanges sur MSN, nous convenions d’un rendez vous pour un week-end. Etant célibataire, je pouvais facilement bloquer tout un week-end pour vivre pleinement cette expérience nouvelle pour moi. J’ai toujours été tenté par des expériences de SM léger, mais je n’avais jamais osé franchir le pas.

 

Le samedi matin suivant, je me retrouvais devant la porte d’entrée d’une belle villa située à la sortie Ouest de Bourges. Une ravissante jeune femme m’ouvrit la porte en me souhaitant la bienvenue.

Si vous en êtes d’accord, vous m’appellerez « Maîtresse » et je vous appellerez «  mon jouet ». Si c’est vous qui gagnez le tirage au sort, nous inverserons les noms.

La ravissante brune qui me faisait face me conduisit dans une grande pièce ou sur la table centrale était posée une grande coupe. Devant une piste de dés. A l’intérieur quatre dés blancs et un dés rouge.

 

Elle me dit qu’à l’intérieur de la coupe il y avait une vingtaine de scénarios et supplices numérotés et que le perdant au lancer de dés devrait les subir. A chaque fois le dés rouge permettrait de savoir qui serait le Maître et l’esclave, le plus petit chiffre étant bien évidement le perdant.

La pièce située juste à coté était entièrement aménagée pour le « sm ». Elle allait être notre « salle de jeux ».

Premier lancer de dés rouge : Je gagne la partie et lance es quatre dés blancs. Je sors le papier plié portant le numéro 16 qui est le chiffre du total obtenu.

Je lis : L’esclave recevra un lavement et subira un examen médical complet.

 

Je conduis mon jouet devant la table de gynécologie et lui intime l’ordre de se déshabiller entièrement. Une fois nue devant moi, je la contemple en détail. Son corps est superbe, ses seins lourds mais fermes, ses hanches fines et son pubis finement rasé laisse entrevoir les lèvres fines de son sexe. Elle s’installe sur la table de travail et pose ses talons sur les reposes pieds qui écartent ses jambes au maximum.

 

 Je constate que des lanières sont installées sur la table et j’y passe donc les poignets et les chevilles de ma victime pour l’immobiliser. Une autre lanière est destinée à passer autour du ventre.

 

Pour augmenter les sensations, je décide de bâillonner ma victime à l’aide du « bâillon boule » qui est posé sur une étagère. Je lui bande également les yeux avec un bandeau identique à ceux que l’on nous donne dans les avions.

 

J’indique à ma victime qu’elle va recevoir un lavement de deux litres et qu’elle va devoir conserver le liquide pendant quinze minutes avant d’être délivrée. Je prépare donc la poire à lavement et la remplie d’eau froide. La poire contient un demi-litre de liquide.

Pour faciliter l’introduction, je passe du lubrifiant sur l’anus de ma victime.

 

Ses sphincters semblent relativement souples et j’en conclu qu’elle une adepte de la sodomie.

J’enfonce le bout de la poire dans son anus qui n’oppose aucune résistance. Je presse lentement la poire pour en vider le contenu et recommence trois autres fois l’opération.

 

« Mon jouet » a maintenant presque deux litres dans le rectum et des gargouillements commencent à ce faire entendre. Elle commence à se tortiller sur la table, et je règle le minuteur que j’ai trouvé sur 15 minutes. Je préviens ma victime qu’elle n’a pas le droit de se vider avant que la sonnerie ne retentisse et que je vienne là délivrer. Si je vois par terre de l’eau, elle recevra une fessée en gage de punition.

Pendant ce temps j’en profite pour faire l’inventaire des instruments. C’est impressionnant, il y dans cette pièce tout ce que l’on peut trouver dans les catalogues d’articles SM. On ne va pas s’ennuyer.

 

Lorsque la sonnerie du minuteur retentie, je constate qu’elle n’a rien laissé couler de son ventre. Elle se contorsionne de plus en plus pour lutter contre la pression du liquide. Je vois ses sphincters se contracter et son anus aller d’avant en arrière prêt à exploser.

 
 Je la détache et elle s’en va en courant vers les toilettes pour se soulager en toute intimité.

De la ou je suis, j'entends le liquide sortir de son postèrieur. Elle se vide en longs jets continus. La pression des deux litres d'eau a fait son effet.

 Quelques minutes après elle sort de la douche en peignoir blanc. Elle est superbe. Elle me remercie d’avoir respecté le temps et de ne pas avoir abusé de la situation. Pour me remercier elle pose ses lèvres humides sur les miennes et m’offre un baiser merveilleux.


Une fois rhabillée, elle me propose de déjeuner et d’évoquer librement nos phantasmes respectifs. Après un repas fort agréable, nous retournons dans notre sale de jeu.

Là je comprends immédiatement que c’est à mon tour de devenir l’esclave.

Elle jette les dés et tire le papier numéro 8.

Elle m’annonce le scénario : Je vais devoir me mettre nu devant elle et me masturber le plus vite possible. Toute les quinze secondes elle jettera un dés et comptabilisera la somme obtenue jusqu’à ce que je jouisse. Le nombre total équivaudra au nombre de coups que je recevrais sur les fesses en guise de punition.

Je réalise donc immédiatement que le nombre peut être très important si ne j’arrive pas à jouir rapidement.

 Je me déshabille entièrement et lui fait face. Ainsi nu devant elle, je n’ai aucune envie de bander et mon sexe pend lamentablement entre mes cuisses.


Elle me donne le top du départ et je me concentre afin d’activer mon érection, je me caresse lentement afin de provoquer une érection durable. Une fois ma verge bien raide, j’accélère le mouvement et ferme les yeux pour mieux vivre cette situation.


J’entends régulièrement ma maitresse qui annonce un nouveau chiffre. Je me masturbe de plus en plus vite par peur d’atteindre un chiffre insupportable par la suite.

Je finis par jouir dans ma main et j’entends prononcer le chiffre 44

 

Ma maitresse me dit que je dois avaler immédiatement ma propre semence afin de ne pas tacher le sol. Je m’exécute, mais c’est la première fois que je goute mon sperme et cela me fait un drôle d’effet. Elle me conduit dans l’autre pièce et me dit de monter sur le chevalet en bois qui ressemble à un cheval d’arçon et de m’allonger à plat ventre. Les quatre pieds sont munis de bracelets qu’elle me fixe aussitôt aux poignets et aux chevilles. A l'aide d'une corde elle m'enserre et me plaque le ventre contre le cuir de l'appareil.

 

Je suis maintenant immobilisé les jambes et les bras écartées, les fesses en position pour recevoir ma punition. Mon sexe pend maintenant entre mes cuisses tiré en arrière par ma position allongée, et je devine quelques goutes de sperme qui s’échappent encore et tombent sur le sol. Comme pour augmenter mon angoisse, elle fait claquer un fouet au dessus de mon dos. Je commence à avoir peur.


 La réaction ne se fait pas attendre, ma maitresse et folle de rage et me dit que cela est inadmissible. Elle sort de la pièce et revient en portant dans ces bras un grand bol.

Elle remplie de glaçons un petit sac plastic. Une fois rempli elle le passe entre mes fesses et emprisonne mon sexe et mes testicules dans le sac. Elle le fixe a l’aide d’un rouleau de scotch en faisant un nombre de tours importants autour de mes cuisses. Je me retrouve le sexe entièrement entouré de glace et j’éprouve une terrible sensation de brulure.

 

Pour accentuer mon humiliation elle écarte mes fesses av c ses mains et commence à jouer avec mon anus. Un premier doigt qui semble être lubrifié pénètre à l’intérieur et entame un va et vient rapide. Manifestement elle cherche à distendre mes sphincters.


Elle se retire puis enfonce d’un coup sec un vibro masseur qu’elle fixe à l’aide du rouleau de scotch afin qu’il ne ressorte pas. Elle le met en marche. Un mouvement  à l’intérieur de mon anus et une vibration m’indiquent qu’il doit s’agir d’un gode articulé et vibrant. Soudain j’entends le bruit d’une pompe et je me rends compte que le gode et un gode gonflable. Elle le gonfle irrémédiablement et je sens mon anus se distendre comme jamais. Je laisse échapper un petit cris qui la fait stopper le gonflage. J’ai l’impression que mon anus va exploser.

 
Maintenant tu es prêt pour recevoir la fessée, dit-elle.

Elle a dans la main une raquette en bois et les coups commencent à tomber lentement régulièrement sur la surface de mes fesses. Chaque coup est donné avec précision et mes fesses commencent à bruler. Au trentième coup je demande grâce et pour seule réponse elle augmente la vitesse du gode électrique.

Je ne bouge plus et attend sagement le quarante quatrième coup de peur d’avoir à subir une autre punition.

Je reste pendant de longues minutes la tête en bas en essayant de reprendre mes esprits.


 Elle m’enlève le sac de glaçons qui a partiellement fondu et commence à me caresser les testicules avec ses mains comme pour les réchauffer. Elle me masse également la verge et une fois mon érection revenue, elle commence à me masturber avec ses mains. Lentement, régulièrement. C’est très agréable, surtout qu’elle en profite pour relâcher la pression de la pompe du gode gonflable. Mon anus reprend une taille normale et cela me fait du bien.

 

Comme pour me récompenser de mon courage et de mon stoïcisme, elle s’assoit sous mes fesses et sa bouche avale mes deux testicules en même temps tandis qu’elle continue de me branler. Elle joue avec sa langue sur mes deux boules qui roulent à l’intérieur de sa bouche.

Je suis au bord de l’explosion. Elle doit s’en rendre compte car elle me prend la verge avec les mains pour la mettre au fond de sa bouche à la place de mes bourses réchauffées.

 

Sa langue joue avec le bout de mon gland et je ne peux retenir mon éjaculation. Elle reste en place et reçoit intégralement au fond de sa gorge ma semence.

Elle se relève, fait le tour du chevalet s’agenouille devant mon visage, me prend la tête avec ses mains et m’embrasse et me faisant ouvrir la bouche à l’aide de ses doigts qui appuient sur mes joues. Je sui obliger d’ouvrir la bouche et elle en profite pour me rendre ce que je viens de lui donner. Elle me dit doucement dans l’oreille : « Retour à la case départ ». Tout mon sperme se retrouve à nouveau au fond de ma gorge.

 

Une fois avalé, elle me détache et me conduit à la salle de bain pour que je puisse prendre une douche réparatrice. Elle reste devant moi pendant ma toilette intime et entreprends elle-même de me sécher. Je dois avouer que cela est très agréable.

 

Ma maîtresse me dit gentiment qu’il est temps de partir et que je devrais la rappeler pour le prochain week-end.


 

 
 
Par Hervé - Publié dans : bizutages
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Jeudi 22 février 4 22 /02 /Fév 21:30

J’ai eu moi aussi à subir un bizutage lors de ma deuxième année de fac à Grenoble. Les anciens avaient choisis six filles et six garçons qui devaient être bizutés ce jour là.

 

Nous avons été conduit à la sorti de la ville et nous nous sommes retrouvé les douze bizuts dans la forêt qui borde la banlieue.

 

Là il nous a été demandé d’enlever tous nos vêtements. Je vis la fille se déshabiller en même temps que moi, sans oser se rebeller. Elle portait un tout petit slip façon "panthère", elle le fit descendre lentement le long de ses cuisses pour ne pas l'abimer, et je pu voir sa toison taillée trés court qui laissait entrevoir son sexe. Elle se rasait déjà, c'était étonnant pour une fille de son âge.



Une fois tous déshabillés nous avons été mis par couples. Personnellement j’étais avec une fille que je connaissais pas du tout et notre embarra été réciproque.

 

Nous avons été attachés l’un contre l’autre, mon torse et mon ventre plaqué contre son dos.

Mes mains furent passées autour de sa taille et plaquées sur sa poitrine qui était volumineuse. Les mains de la fille dont j’ignorais le nom furent tirées vers le bas. La corde qui liaient ses poignets étaient passées dans son dos et fut passée entre mes jambes afin que ses deux mains soit en contact direct avec mon sexe. Je sentais ses doigts qui effleuraient mes testicules, la tension des cordes l’obligeait à maintenir ses mains entre mes jambes. J’essayais de ne plus penser car j’avais très peur de me mettre à bander.

 

Mais ce n’était pas fini. Une fois mes mains plaqués sur ses seins, de nouveaux tours de films plastic furent fait afin de bloquer tout mouvement de bras de ma part. Je sentais sous mes doigts le bout de ses tétons qui semblaient durcis par le froid.

Afin de nous attacher très prés l’un de l’autre nous avons été enroulés avec un rouleau de film transparent étirable. Nos deux corps été tellement serrés l’un contre l’autre que malgré ses deux mains qui tentaient de faire barrage, j’avais le sexe qui rentrait dans ses fesses.

 

Une fois empaquetés et réduits à la position de statue vivante, on a mis à chacun de nous, un bonnet sur la tête afin de nous empêcher de voir la suite du bizutage. 

 

Nous étions pieds nus et le sol était froid, soudain on a commencé à nous faire tourner pour nous faire perdre le sens de l’orientation. Après plusieurs minutes nous nous sommes retrouvés apparemment seuls dans la forêt, incapable de voir ou nous devions marcher pour chercher du secours. Nous ne pouvions pas nous asseoir car les liens étaient trop serrés.

 

Plantés là, sans pouvoir réagir, nous essayons de bouger pour essayer de détendre nos liens. A chaque mouvement je sentais les deux mains de la fille qui s’appuyaient sur mon sexe et sur mes testicules. Je ne pouvais arrêter mon érection. La fille avait beau essayer de placer ses mains autrement, rien n’y faisait le contact était toujours aussi direct.

 

Soudain une douleur violente sur les fesses me fit crier de toutes mes forces. On me frappait les fesses certainement avec une branche, car je sentais à chaque coup la morsure de quelque chose de fin et très souple qui me déchirait le derrière.

Un des garçons dit à haute voix : Tant que tu banderas tu recevras des coups sur les fesses.

Au dixième coup je ne bandais absolument plus et ma seule obsession était d’essayer d’éviter les coups en me déplaçant au hasard.

 

Au bout de quelques minutes d’interruption, on nous enleva les bonnets qui nous empêchaient de voir. Les six autres « couples » étaient également attachés de la même manière à côté de nous. Le maître de cérémonie nous dit que des paires de ciseaux étaient posées autour de nous et qu’ne cherchant bien nous pourrions les trouver et parvenir à nous détacher. Nos vêtements étaient suspendus à des branches d’arbres, nous n’aurions plus qu’à les récupérer.

Le groupe d’ancien nous abandonnât et les six couples de bizuts commencèrent à chercher les paires de ciseaux.

Pour ma part, j’ai vite repérer une paire et il a fallu nous allonger par terre pour que ma « compagne » puisse avec ses mains attraper la paire de ciseaux qui se trouvait maintenant entre mes jambes sous mes bourses. Mes mains étant emprisonnées sous le film plastic, je ne pouvais pas m’en servir pour essayer de nous délivrer. Seule ma compagne d’infortune pouvait avec ses doigts attraper les ciseaux. Après de longues minutes, elle réussit à couper la corde qui liait ses poignets. La suite ne fut qu’un jeu d’enfant et au bout de quelques minutes nous étions libérés. Les premiers à avoir réussi aidaient maintenant les autres et c’était assez amusant de voir déambuler des corps nus en pleines forêts. Aucun de nous n’avait pensé à se rhabiller. En priorité il fallait délivrer tout le monde, qu’importe la pudeur. Au point ou nous en étions cela ne servait à rien de vouloir cacher notre nudité.

 

Ce bizutage a eu un effet très positif par la suite car il a véritablement soudé les 12 bizuts et tout le reste de l’année le « groupe des 12 » est resté très lié. Cette épreuve ayant été vécue de manière collective nous a rapproché et par la suite nous sommes devenus des amis inséparables. Nous nous voyons ou nous appelons toujours régulièrement. Nous organisons même chaque année une journée en mémoire de notre aventure.

 
Par Marc - Publié dans : bizutages
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